Ouais, mais enfin là, y a eu des morts, c'est comme quand Accoyer dit que Hollande, ça serait les mêmes effets qu'une guerre.tisiphoné a écrit : en même temps c'est Mélenchon qui a commencé en parlant de capitaine de pédalo
Y a des cons à l'UMP.
Ouais, mais enfin là, y a eu des morts, c'est comme quand Accoyer dit que Hollande, ça serait les mêmes effets qu'une guerre.tisiphoné a écrit : en même temps c'est Mélenchon qui a commencé en parlant de capitaine de pédalo
Jean-Marie Le Pen qui cite désormais Mussolini et traite Mélenchon de "voyou". Guaino qui perd ses nerfs en direct, Guéant qui qualifie le FN de parti "nationaliste et socialiste", retour sur un week-end de haut vol.
La guerre des nerfs s'intensifie à mesure que le premier tour de la présidentielle approche. Si les candidats tentent de rester relativement courtois pour ne pas nuire à leur stature présidentielle, leurs entourages se lâchent, aussi bien au Parti socialiste qu'à l'UMP ou au Front national. Insultes, point Godwin, invectives, le week-end a été l'occasion d'un vrai match de boxe entre les partis, et c'était à celui qui assenait l'uppercut le plus vigouroux à son adversaire.
"Terrorisme" et "grand-banditisme" à l'UMP
Dimanche, Najat Vallaud-Belkacem, porte-parole de François Hollande, publie un communiqué incendiaire où elle condamne le bilan et la campagne de Nicolas Sarkozy. Jusque là, rien de nouveau, pourrait-on penser. Mais les termes utilisés sont pour le moins virulents et ont choqué la majorité présidentielle.
Après avoir comparé le candidat UMP à Silvio Berlusconi et Vladimir Poutine "avec le vide idéologique de l'un, et la brutalité des méthodes de l'autre", elle file la métaphore du hors-la loi...
"Le Nicolas Sarkozy qu'on cherche à vendre aux Français est un faux, une contrefaçon, un produit de contrebande imaginé par des cerveaux d'extrême-droite, et revendu par des valets sans morale comme Xavier Bertrand qui ne prennent même plus la peine de justifier l'injustifiable en préférant insulter l'adversaire (...) Nicolas Sarkozy a gouverné en bande à part, il fait campagne en bande organisée."
L'UMP n'a pas tardé à réagir. Le député Franck Riester estime que "Najat Vallaud-Belkacem a franchi une étape supplémentaire dans l'antisarkozysme érigé en stratégie politique. [Ses] déclarations sont une succession d'injures plus abominables les unes que les autres et indignes du débat démocratique."
Le FN, un parti non républicain, "nationaliste et socialiste"
Qu'est-il arrivé à Claude Guéant dimanche? Invité sur Radio J, le ministre de l'Intérieur s'est offert son propre point Godwin après en avoir été la cible à plusieurs reprises. Interrogé sur la droite de la droite, le ministre de l'Intérieur s'est emporté: "le masque tombe, Marine Le Pen a essayé de donner des nouvelles couleurs au Front national [...] mais de temps à autre on sent que l'armure se fend et que le naturel revient [...] Ce n'est pas un parti républicain de mon point de vue, c'est un parti qui est nationaliste et socialiste."
La référence à peine voilée au "national-socialisme", donc au "nazisme" n'a pas franchement plu à la candidate du Front national qui a annoncé qu'elle porterait plainte contre lui. Le numéro deux du parti, Louis Aliot, a par ailleurs demandé la démission de Claude Guéant.
Mussolini mon ami
Jean-Marie Le Pen serait-il un boulet dans la campagne de dédiabolisation menée par le Front national en vue de faire élire sa fille? Après avoir déclenché une vive polémique en citant l'écrivain collaborationniste Robert Brasillach à la fin du meeting de Lille le patriarche a voulu désamorcer la situation dans son journal de campagne.
Donc, pour Jean-Marie Le Pen, Brasillach n'est finalement qu'un journaliste un peu incompris, un point de vue largement contestable. Mais la cerise sur le gâteau arrive en toute fin, puisqu'il ajouté une dernière phrase, la phrase de trop: "beaucoup d'ennemis, beaucoup d'honneur", l'un des slogans de Benito Mussolini, dictateur fasciste italien. Pas sûr que cela calme la polémique.
D'autant que le même Le Pen s'est également illustré dimanche soir en traitant Jean-Luc Mélenchon de "voyou" sur l'antenne de Radio France.
Il s'est aussi dit prêt à débattre avec lui, contrairement à sa fille. "Moi, j'offre un débat à M. Mélenchon et je vais lui retirer son caleçon, et je vais montrer ce qu'il est: le candidat des communistes, qui ont du sang sur les mains jusqu'aux coudes." Ca promet...
"Et si je vous traite de sale con?"
Henri Guaino, conseiller spécial de Nicolas Sarkozy qui l'a représenté face à Marine Le Pen jeudi dernier, serait-il en surmenage? Invité samedi sur France 3 pour débattre face à Jérôme Guedj, président PS du Conseil général de l'Essonne, l'éminence grise de l'Elysée a, une fois de plus, perdu son sang-froid. Alors que son opposant socialiste utilisait le terme d'indigne pour qualifier le débat sur l'identité nationale mené par le gouvernement, la plume de Nicolas Sarkozy est sortie de ses gonds.
ca remonte pas la politique de la france"Sidérée." C'est le mot qu'emploie Valérie Trierweiler pour qualifier sa réaction à la charge qu'a menée contre elle, lundi 27 février au matin sur RTL, le chef de l'Etat. "Je suis surprise qu'il ait fait ça lui même. Ce n'est pas du niveau d'un président de la République", explique au Monde la compagne de François Hollande, qui s'affirme néanmoins "pas affectée personnellement. Je ne suis pas à ramasser par terre..."
Mme Trierweiler se trouvait avec M. Hollande quand elle a entendu Nicolas Sarkozy faire mine de s'interroger sur les ondes face aux journalistes de RTL : "Est-ce moi qui travaille dans le groupe de M. Bolloré ? (…) Parce que personne n'a une émission de télévision dans le groupe de M. Bolloré ?"
Une allusion au magazine "Itinéraires", diffusé sur la chaîne télévisée du groupe Bolloré Direct 8 et consacré aux trajectoires d'artistes. Magazine dont elle vient d'enregistrer les deux derniers numéros, vendredi.
>> Lire : Sarkozy à la reconquête de la France populaire
"Jamais il ne serait venu a l'idée de François d'attaquer Carla. Moi non plus. J'ai du respect pour ce qu'elle est", assure Valérie Trierweiler, qui a accompagné quelques instants le candidat socialiste lors de sa visite du salon de l'Agriculture, mardi 28 février. Aux yeux de celle qui partage la vie de M. Hollande, cette attaque en annonce d'autres : "Je pense qu'il faut se préparer a tout."
"QU'IL S'ATTAQUE À VALÉRIE, LE SIGNE DE L'INÉLÉGANCE"
François Hollande en marge du salon, a également fustigé cette manière de Nicolas Sarkozy, la jugeant cavalière. "Qu'il m'attaque moi, autant qu'il voudra, a expliqué le candidat socialiste. C'est une affaire que je règle par les moyens politiques. Mais qu'il s'attaque à Valérie, c'est vraiment le signe de l'inélégance, du défaut de courtoise, surtout quand on est le président sortant."
Et le favori des sondages de poursuivre : "Ça veut dire quoi ? On s'attaque à une compagne, ce qui n'est pas très respectueux, à une journaliste, ce qui est contestable, et à quelqu'un qui travaille dans le groupe Bolloré. Il aurait pu s'en prendre à Lagardère", groupe propriétaire du magazine Paris Match, où Mme Trierweiler est journaliste.
"Lui pense que la violence peut mobiliser son camp. Et qu'une manière de faire oublier le bilan est d'inviter les candidats principaux dans le même champ, la même cour", estime M. Hollande, qui assure pour sa part n'avoir "pas besoin d'attaquer Carla".
je suis d'accord avec ça, mais ce sont des scories inévitables surtout depuis qu'il y a internet pour tout gonfler. Malheureusement, grâce à cause internet le moindre pet qu'un candidat lâche, on le fait renifler à tout le monde, juste pour se faire une idée de ce qu'ils ont mangé au Fouquet's ou à l'autre restaurant où va le concurrent dont je n'ai pas retenu le nom. ah! oui ... Laurent.Fonck1 a écrit : je trouve ça inélégant et inintéressant.
démontrent ils leur vraie face?
enfin il ne s'agit pas de eux.s'ils veulent se pourrir entre eux,je peux comprendre,mais s'en prendre aux compagnes,entre eux,c'est lamentable.Barbapoutre a écrit : je suis d'accord avec ça, mais ce sont des scories inévitables surtout depuis qu'il y a internet pour tout gonfler. Malheureusement, grâce à cause internet le moindre pet qu'un candidat lâche, on le fait renifler à tout le monde, juste pour se faire une idée de ce qu'ils ont mangé au Fouquet's ou à l'autre restaurant où va le concurrent dont je n'ai pas retenu le nom. ah! oui ... Laurent.
Bonjour Fonck!Fonck1 a écrit : raffales qui n'ont toujours pas été vendus d'ailleurs