Je suis d'accord, les institutions de la 5 eme République sont d'inspiration gaullo-bonapartiste. Il faut qu'il y ai un chef qui se dégage et un leader qui s'impose sinon ces primaires vont être une machine à perdre. D'ailleurs au sein même du PS il y a beaucoup de mouvances qui sont souvent contradictoires: la ligne de Montebourg/ celle de Valls, Chevenement/ Aubry ou Hollande. Leur seul chance de gagner c'est le rejet et le ras le bol des français envers Sarkozy.Agatha a écrit : Bien avant la chute du préféré des sondages, quelques socialistes avaient flairé le piège des ces primaires.
Elles allaient démontrer les divisons, donner une mauvaise image du PS et en somme avoir des conséquences négatives durant la campagne électorale présidentielle.
Et aujourd'hui ce piège se referme encore un peu plus !
Mais que diable ont-ils été faire dans cette galère ?
Cette guerre d'égos, que l'on connait et qui perdure depuis tant d'années déjà dans ce parti, va s'intensifier ; les leaders ont été incapables de s'entendre entre eux pour désigner un leadership ; certains ont triché aux élections internes pour propulser M Aubry, première secrétaire et il reste donc des rancœurs.
Mais aujourd'hui, il est bien tard pour changer les règles du jeu.....mais pourtant certains y songent !
http://www.lexpress.fr/actualite/politi ... tml?xtor=x
A noter aussi qu'il n'y plus que 15% d'ouvriers qui font confiance au PS contre 35% au FN. Les bobos votent au centre ou écolo, quel électorat leur reste t-il ?