On nous dit que les ampoules basse consommations sont très biens pour la planète et notre santé, économiques, finalement en y regardant de plus près il n'en est rien. Elles sont en plus bien plus chères que les ampoules classiques...
Elles contiennent du mercure et émettent de puissants champs électromagnétiques.
A qui profite le crime encore une fois...
http://www.santepublique-editions.fr/im ... atique.jpg
Ampoules "basse consommation"
Re: Ampoules "basse consommation"
Elles cumulent quatre inconvénients majeurs : elles contiennent du mercure, très toxique, que l’on retrouvera un jour en mer, et elles émettent à la fois des UV, des radiofréquences et des basses fréquences, ce qui en fait le produit le plus polluant à avoir été commercialisé à des centaines de millions d’unités sur l’ensemble de la planète.
Leur principe de fonctionnement : des électrodes serties aux extrémités d’un tube de verre envoient des radiofréquences pour ioniser le mercure présent sous forme de vapeur et générer des ultraviolets qui sont rendus visibles par des poudres fluorescentes.
À l’allumage, des ingénieurs de l’École supérieure d’électricité (Supelec) ont enregistré des pics de radiofréquences jusqu’à 380 volts par mètre. Et chaque lampe éteinte émet un champ résiduel de 0,3 volt par mètre !
Autre inconvénient : le gaz de mercure fuit au fur et à mesure de leur utilisation.
Les publicités de Recylum concernant leur collecte sont mensongères : les lampes collectées ne sont pas recyclées, elles sont cassées et stockées dans des lieux ouverts.
Le mercure des centaines de millions de lampes fabriquées chaque année se retrouvera un jour dans la mer, donc dans la chaîne alimentaire. Or le mercure, qui traverse la barrière placentaire, provoque malformations fœtales, retards de développement, autisme et maladie d’Alzheimer.
Vous saurez en lisant ce dossier pourquoi il faut absolument éviter ces ampoules et les enlever de chez vous sans attendre leur interdiction à compter de 2020, prévue par la convention de Minamata signée à Genève le 19 janvier 2013 par 140 États.
Annie Lobé Journaliste d’investigation scientifique indépendante
Leur principe de fonctionnement : des électrodes serties aux extrémités d’un tube de verre envoient des radiofréquences pour ioniser le mercure présent sous forme de vapeur et générer des ultraviolets qui sont rendus visibles par des poudres fluorescentes.
À l’allumage, des ingénieurs de l’École supérieure d’électricité (Supelec) ont enregistré des pics de radiofréquences jusqu’à 380 volts par mètre. Et chaque lampe éteinte émet un champ résiduel de 0,3 volt par mètre !
Autre inconvénient : le gaz de mercure fuit au fur et à mesure de leur utilisation.
Les publicités de Recylum concernant leur collecte sont mensongères : les lampes collectées ne sont pas recyclées, elles sont cassées et stockées dans des lieux ouverts.
Le mercure des centaines de millions de lampes fabriquées chaque année se retrouvera un jour dans la mer, donc dans la chaîne alimentaire. Or le mercure, qui traverse la barrière placentaire, provoque malformations fœtales, retards de développement, autisme et maladie d’Alzheimer.
Vous saurez en lisant ce dossier pourquoi il faut absolument éviter ces ampoules et les enlever de chez vous sans attendre leur interdiction à compter de 2020, prévue par la convention de Minamata signée à Genève le 19 janvier 2013 par 140 États.
Annie Lobé Journaliste d’investigation scientifique indépendante
Re: Ampoules "basse consommation"
Bon d'accord, les ampoules fluocompactes contenaient du mercure, qui est un métal toxique.
Je parle au passé car c'est une technologie en voie de disparition, elles sont remplacées par les ampoules LED, plus performantes et qui ne contiennent pas de mercure. Je ne ne dis pas qu'elles ne causent aucune pollution à un stade ou un autre de leur cycle de vie, mais pas par le mercure.
Divers passages posent problème dans le texte cité:
C'est du grand n'importe quoi !
Pour n'en citer que deux.
A fuir donc.
Je parle au passé car c'est une technologie en voie de disparition, elles sont remplacées par les ampoules LED, plus performantes et qui ne contiennent pas de mercure. Je ne ne dis pas qu'elles ne causent aucune pollution à un stade ou un autre de leur cycle de vie, mais pas par le mercure.
Divers passages posent problème dans le texte cité:
C'est une habitude regrettable, attribuer le maladies dont les causes sont mal connues au produit qu'on veut stigmatiser.Annie Lobé a écrit : le mercure, qui traverse la barrière placentaire, provoque malformations fœtales, retards de développement, autisme et maladie d’Alzheimer.
J'aimerais bien savoir comment une ampoule qui n'est pas alimentée en énergie peut produire un rayonnement électromagnétique.Annie Lobé a écrit :À l’allumage, des ingénieurs de l’École supérieure d’électricité (Supelec) ont enregistré des pics de radiofréquences jusqu’à 380 volts par mètre. Et chaque lampe éteinte émet un champ résiduel de 0,3 volt par mètre !
C'est du grand n'importe quoi !
Pour n'en citer que deux.
A fuir donc.