à l’origine la savane se sont adaptées à la vie urbaine. Kinshasa, Abidjan, Dakar… les villes d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale sont ainsi devenues des terreaux favorables à
une maladie qui touchent désormais 300 000 personnes par an et contre laquelle il n’existe encore aucun vaccin.

Source : IRD, 22 juillet 2009