https://www.nouvelobs.com/justice/20191 ... peens.html
Souhaitons, si Odoul est condamné à de la prison ferme, qu'il ne se radicalise pas.


coincetabulle a écrit : ↑25 octobre 2019 20:21 donc si je comprend bien, corvo est un blaireau lorsqu'il prétend savoir ce que tu penses.
mais du coup toi quand tu pense savoir ce que pense une femme qui porte le voile tu es quoi ?
bravo, tu as deviné, le même blaireau![]()
si le voile n'est pas levé , c'est que rien n'a été trouvéCorvo a écrit : ↑26 octobre 2019 06:23 Il serait temps que la justice lève enfin le voile sur cette affaire d'emplois fictifs !.
https://www.nouvelobs.com/justice/20191 ... peens.html
Souhaitons, si Odoul est condamné à de la prison ferme, qu'il ne se radicalise pas.![]()
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Corvo ne rêvez pas , si la justice n'a rien trouvé dans une affaire aussi simple (alors qu'il s'agit de faits administratifs) après des perquisitions et saisie des livres et disques durs depuis 2014 c'est qu'il n y a rienvivarais a écrit : ↑26 octobre 2019 07:22si le voile n'est pas levé , c'est que rien n'a été trouvéCorvo a écrit : ↑26 octobre 2019 06:23 Il serait temps que la justice lève enfin le voile sur cette affaire d'emplois fictifs !.
https://www.nouvelobs.com/justice/20191 ... peens.html
Souhaitons, si Odoul est condamné à de la prison ferme, qu'il ne se radicalise pas.![]()
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pour les autres partis , les faits étant vrais pour certains , prouvés er reconnus le voile a été levé
ce rappel d'une mise en examen (en tant que témoin assisté puisque non suivi d'inculpation) en avril et rappelé médiatiquement le 25 octobre
tout comme votre rappel
cela est dans quel but
de même que le rappel des faits :
sauf que le préjudices pour la suspicion d'emplois fictifs de 6.5 millions d'euros " c'est pour l'ensemble des partis politiques" et pas uniquement le RN
Mais là encore l'info est tronqué intentionnellement pout faire croire que c'est uniquement le FN qui est concerné pour le montant de cette somme
est ce l'approche des municipales qui motive ce rappel le 25 octobre alors qu'il n'y a aucuns fait nouveau depuis avril 2019
inquiétez vous plutôt des emplois fictifs et autres démêlés judiciaires de votre propre parti ou de celui uniquement pour lequel vous votez
ce qui devrait vous inquiéter c'est votre choix électoral (s'il est cohérent) pas celui des autres
moi je m'en fouts de ce que racontent les médias sur le RN CAR JE NE VOTE PAS POUR LUI PAR INTER FRONTALIER
je m'inquiète seulement de faire le bon choix de vote POUR MON PROPRE INTERET
alors occupez vous de la merde collée à vos propre basques plutôt que de critiquer la merdre qui est sur les basques des autres
Ne soyez pas impatient vivarais tout vient à point à qui sait attendre.vivarais a écrit : ↑26 octobre 2019 07:28Corvo ne rêvez pas , si la justice n'a rien trouvé dans une affaire aussi simple (alors qu'il s'agit de faits administratifs) après des perquisitions et saisie des livres et disques durs depuis 2014 c'est qu'il n y a rienvivarais a écrit : ↑26 octobre 2019 07:22
si le voile n'est pas levé , c'est que rien n'a été trouvé
pour les autres partis , les faits étant vrais pour certains , prouvés er reconnus le voile a été levé
ce rappel d'une mise en examen (en tant que témoin assisté puisque non suivi d'inculpation) en avril et rappelé médiatiquement le 25 octobre
tout comme votre rappel
cela est dans quel but
de même que le rappel des faits :
sauf que le préjudices pour la suspicion d'emplois fictifs de 6.5 millions d'euros " c'est pour l'ensemble des partis politiques" et pas uniquement le RN
Mais là encore l'info est tronqué intentionnellement pout faire croire que c'est uniquement le FN qui est concerné pour le montant de cette somme
est ce l'approche des municipales qui motive ce rappel le 25 octobre alors qu'il n'y a aucuns fait nouveau depuis avril 2019
inquiétez vous plutôt des emplois fictifs et autres démêlés judiciaires de votre propre parti ou de celui uniquement pour lequel vous votez
ce qui devrait vous inquiéter c'est votre choix électoral (s'il est cohérent) pas celui des autres
moi je m'en fouts de ce que racontent les médias sur le RN CAR JE NE VOTE PAS POUR LUI PAR INTER FRONTALIER
je m'inquiète seulement de faire le bon choix de vote POUR MON PROPRE INTERET
alors occupez vous de la merde collée à vos propre basques plutôt que de critiquer la merdre qui est sur les basques des autres
et de nouvelles perquisitions ne donneront rien
pour Cahuzac ou Fillon il n'a pas fallu 6 ans de recherches pour trouver des preuves (6 mois ont suffi )
Je pense que nous ne tenons pas assez compte de ce post mais celui-ci est pourtant d'une importance cruciale car il résume la situation à lui tout seul et finalement clôt définitivement le débat qui s'était installé chez certains.Corvo a écrit : ↑25 octobre 2019 16:04 Et toc !...
Pourquoi une loi pour « interdire le voile » en France aurait peu de chances d’exister
Marine Le Pen a réaffirmé son souhait d’interdire le voile dans « l’intégralité de l’espace public ». Une telle loi aurait toutes les chances d’être censurée.
« Je souhaite que le voile soit interdit dans l’intégralité de l’espace public. » Marine Le Pen a réaffirmé, dimanche 20 octobre, cette proposition récurrente dans son discours lors du « Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro ». La mesure viserait aussi les autres signes religieux, comme la kippa, a précisé la présidente du Rassemblement national : « Nos compatriotes juifs ne posent aucun problème avec la kippa, [mais] je leur demande de faire ce sacrifice. »
Interrogée sur les incertitudes juridiques que poserait une telle loi, Marine Le Pen a rétorqué en citant l’exemple de « la loi sur l’interdiction du voile à l’école » de 2004, qui n’a pas été invalidée. Selon elle, le port du voile dans l’espace public est une « infraction à la laïcité » et son interdiction dans tout l’espace public se justifie au nom de ce principe. L’affaire s’annonce pourtant très complexe juridiquement, voire vouée à l’échec.
Lire notre enquête : « Madame, vous ne partirez pas avec votre foulard » en sortie scolaire POURQUOI C’EST FRAGILE JURIDIQUEMENT
1. La liberté religieuse, un droit fondamental
A écouter Marine Le Pen, il serait simple d’écrire une loi pour restreindre le port des signes religieux. En réalité, le sujet est particulièrement épineux sur le plan juridique. La liberté de conscience et de religion est garantie tant par la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) dans son article 9 que par la Constitution française dans son article premier. Or, ces deux textes priment sur de simples lois dans la hiérarchie des normes juridiques.
Cela ne veut pas dire qu’il est interdit de prendre des mesures sur ce plan, mais ces textes fondamentaux posent des garde-fous. Par exemple, on lit dans la CEDH que « la liberté de manifester sa religion ou ses convictions » ne peut être restreinte qu’au nom de la « sécurité publique », la « protection de l’ordre », « la santé ou la morale publiques » ou encore « la protection des droits et libertés d’autrui ».
Toute loi restreignant la liberté religieuse doit en principe se fonder sur de tels impératifs et de manière proportionnée. Dans le cas contraire, elle s’expose au risque d’être censurée par le Conseil constitutionnel et, donc, de ne jamais entrer en vigueur (comme cela arrive régulièrement sur différents types de mesures). La Cour européenne des droits de l’homme peut, quant à elle, condamner les Etats en cas de non-respect des normes européennes, les incitant fortement à revoir leur copie.
2. Le précédent des arrêtés « antiburkini »
L’exemple des arrêtés « antiburkini », qui se sont multipliés en France à l’été 2016, illustre bien les équilibres qui entrent en compte dans ce sujet. Une trentaine de communes, notamment Villeneuve-Loubet, dans les Alpes-Maritimes, avaient décidé d’interdire le port de tenues « manifestant de manière ostensible une appartenance religieuse lors de la baignade et sur les plages ». Ces textes visaient en fait le mal nommé burkini, une tenue de baignade qui couvre le corps et les cheveux, mais pas le visage.
Mais le Conseil d’Etat a suspendu l’arrêté de Villeneuve-Loubet, le 26 août 2016. Selon cette décision, qui a fait jurisprudence, un maire peut bien prendre des mesures pour réglementer l’accès à la plage ou à la baignade dans sa commune. Mais « les restrictions qu’il apporte aux libertés doivent être justifiées par des risques avérés d’atteinte à l’ordre public ».
En l’espèce, le Conseil d’Etat a estimé que les tenues de baignade, notamment le fameux burkini, n’ont pas engendré de risques de trouble à l’ordre public dans la commune. L’arrêté pris par le maire de Villeneuve-Loubet ne se fondait par ailleurs pas « sur des motifs d’hygiène ou de décence ». Il portait donc « une atteinte grave et manifestement illégale aux libertés fondamentales que sont la liberté d’aller et venir, la liberté de conscience et la liberté personnelle ».
Les mêmes réserves pourraient s’appliquer à une loi visant à interdire le port du voile ou, plus largement, de signes religieux « ostentatoires » dans l’espace public.
3. Les lois de 2004 et 2010 visaient des situations particulières
Des précédents montrent qu’il reste possible de légiférer, mais que chaque mot compte pour éviter la censure. A commencer par la loi de 2004 sur « le port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse » dans les établissements scolaires publics.
La rédaction de ce texte a été largement soupesée. Bien qu’on l’évoque régulièrement dans le débat public comme la « loi sur le voile à l’école », il ne vise pas directement le voile, mais plus largement « le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse ». Et le Conseil d’Etat l’avait jugé conforme à la Constitution.
Autre exemple : la loi de 2010 qui a interdit le port de la burqa ou du niqab dans l’espace public. Cette dernière ne visait pas les signes religieux, mais la dissimulation du visage, présentée comme un potentiel trouble à l’ordre public. Le Conseil constitutionnel a validé le texte du fait des précautions retenues dans sa rédaction, reconnaissant même que le fait pour une femme de dissimuler son visage était assimilable à « une situation d’exclusion et d’infériorité ». Par ailleurs, la peine retenue en cas de manquement à la loi (une contravention de 150 euros) a été estimée « proportionnée » à l’équilibre entre liberté et laïcité.
4. Une loi pour « interdire le voile », mais à quel titre ?
Les deux lois citées précédemment s’appliquent à des situations particulières : la première porte sur les établissements scolaires publics au nom de la neutralité religieuse, la seconde vise la dissimulation du visage plutôt que le voile. Au contraire, une éventuelle loi interdisant le port du voile dans l’espace public serait plus générale et viserait, en fait, la pratique religieuse en elle-même.
Il est difficile de se prononcer sur une loi qui n’est pas rédigée, mais l’affaire s’annonce complexe. En 2016, par exemple, l’entourage de Nicolas Sarkozy avait envisagé d’interdire le voile en s’appuyant sur la jurisprudence qui avait amené à interdire les « lancers de nains », au nom de l’atteinte à la dignité humaine.
Cette piste avait finalement été écartée par l’ancien président de la République. Il faut dire que cette justification avait déjà été jugée fragile par le Conseil d’Etat en 2010. Ce dernier, qui explorait alors le sujet de l’interdiction du voile intégral dans l’espace public, jugeait « discutable juridiquement » d’invoquer la notion de dignité humaine « en particulier dans le cas où le port du voile intégral résulte de la volonté délibérée d’une personne majeure ». Il serait donc compliqué de reprendre cet argument pour le voile « simple ».
Toutes ces difficultés juridiques n’empêchent pas plusieurs responsables politiques d’afficher leur volonté d’interdire le voile dans tout l’espace public, comme Marine Le Pen le fait depuis au moins 2010, sans détailler son projet. Contactée à ce sujet, la présidente du RN n’a pas donné suite à nos demandes de précisions.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/ar ... 55770.html
Source:Libération.Marine Le Pen sur France 2 ce matin l’assure : «Est-ce qu’on avait un problème avec le voile il y a trente ans ? Non. Il y a trente ans, les seules qui portaient le voile, c’était des vieilles Algériennes.» Quelques minutes plus tard, c’est Jordan Bardella qui embraye sur BFM TV. Pour le vice-président du RN (ex-FN), une femme portant le voile porte aussi atteinte à «la laïcité [selon la définition toute personnelle que s’en fait Bardella, ndlr], à la coutume, aux mœurs, à la culture française». «Il y a trente ou quarante ans, le voile n’existait pas. Soit on considère qu’il faut laisser faire, soit on prend des mesures», insiste-t-il.
Il est tout de même amusant de voir les pontes du RN expliquer que le voile est une problématique toute récente en France. Et surtout de parler d’il y a «trente ans» puisque c’est il y a tout juste trente ans pile poil qu’a eu lieu la polémique sur les adolescentes voilées de Creil (Oise). A l’époque, le FN était déjà vent debout contre l’étoffe religieuse.
Jean-Marie Le Pen souhaitait même un référendum sur le tchador en France. Mais le fondateur et président du FN se bornait à viser la religion musulmane. Faut pas déconner non plus. Il défendait ceux qui portent des croix autour du cou. «Ils la portent car ils sont chez eux», assurait-il. Et en 1989, à Lyon, l’extrême droite manifestait contre le voile et l’ouverture d’une mosquée. «Mettez les voiles», affichaient certains militants sur leur pancarte.
Le problème, c'est qu'il est déjà radicalisé !Corvo a écrit : ↑26 octobre 2019 06:23 Il serait temps que la justice lève enfin le voile sur cette affaire d'emplois fictifs !.
https://www.nouvelobs.com/justice/20191 ... peens.html
Souhaitons, si Odoul est condamné à de la prison ferme, qu'il ne se radicalise pas.![]()
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Ce qui est naturellement le cas quand on fait partie d'une secte.Victor a écrit : ↑26 octobre 2019 14:35Le problème, c'est qu'il est déjà radicalisé !Corvo a écrit : ↑26 octobre 2019 06:23 Il serait temps que la justice lève enfin le voile sur cette affaire d'emplois fictifs !.
https://www.nouvelobs.com/justice/20191 ... peens.html
Souhaitons, si Odoul est condamné à de la prison ferme, qu'il ne se radicalise pas.![]()
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Faut-il que vous ayez peu de respect de vous-même pour continuer à nous abreuver de vos pitoyables et calamiteux Céçuikidikiyé, alors qu'on vous a répété à maintes reprises que c'est le niveau zéro de la répartie...!Corvo a écrit : ↑26 octobre 2019 06:03"J'ai toujours aimé les blaireaux qui savent ce que pensent les autres..."The Rat Pack a écrit : ↑25 octobre 2019 20:16
J'ai toujours aimé les blaireaux qui savent ce que pensent les autres... Mais rassurez-vous, le ridicule ne tuant plus, vous avez encore de beaux jours devant vous à nous raconter vos âneries. A moins que vos 3 jours de "vacances" ne vous aient pas servi de leçon...![]()
Dans ce cas vous devez vous adorer voir même vous admirer cher Narcisse Quimperlaid.
Mais rassurez-vous, le ridicule ne tuant plus.
Plus ? vous aurait-il déjà "tué" pour être aussi affirmatif ?
Ben à ce niveau la ce n'est plus une secte mais un parti politique, et même le parti politique le plus important en nombres d'électeurs de notre pays.
La question ne se place pas sur le plan de l'efficacité mais du droit même si sur l'efficacité il y a bien entendu beaucoup à redire car il est évident qu'elle serait inapplicable.
Boff, moi quand je dépasse de 4 km/h la vitesse autorisée je me prend un pv. Et pourtant nous sommes des millions d'automobilistes et il n'y a pas eu besoin de l'intervention de l'armée pour nous faire revenir dans les clous de la république. Tout est une question de volonté politique et de discernement. Un voile discret sur la tête doit pouvoir passer tout aussi bien qu'un béret ou une casquette, mais la nous sommes carrément dans des uniformes répondant aux critères et à la promotion des lois de la Charia. Mêmes des musulmans se mobilisent pour nous dire d'être plus ferme et de ne pas importer ça chez nous. Contrairement à Macron je pense que c'est à notre gouvernance de cogiter pour trouver une parade rapide à ce glissement au lieu de fermer les yeux et de s'en laver les mains.Jiimmy a écrit : ↑26 octobre 2019 15:36La question ne se place pas sur le plan de l'efficacité mais du droit même si sur l'efficacité il y a bien entendu beaucoup à redire car il est évident qu'elle serait inapplicable.
Dans un monde fantasmé où le voile serait interdit, ce qui est impossible comme expliqué plus haut par le post que j'ai cité, les femmes voilées se déplaceraient en groupes et plus seules. Imaginons un équipage de policiers leur demandant d'enlever leur voile ou de s'astreindre au paiement d'une amende, que se passerait-il ?
Un pugilat où les policiers seraient inévitablement pris à partie par des citoyens lambdas, en plus des femmes voilées, se refusant à voir s'appliquer une loi d'apartheid (à raison selon moi, à une loi injuste nul n'est tenu d'obéir). De ce fait, ceux-ci devraient appeler d'autres équipages pour les aider à tenter d'interpeller les personnes mises en cause, puis finalement l'armée puisqu'ils ne pourraient y arriver et au final cette situation se répéterait inlassablement à chaque coin de rue selon les endroits et il serait nécessaire de construire des camps pour concentrer les millions de personnes potentiellement interpellées (une guerre civile en somme).
Mais cela n'arrivera pas puisque comme il a été dit, le droit nous protège de telles dérives fascistes.