Si la psychiatre n'avait pas décidé de faire interner ce patient, et qu'elle avait jugé qu'il pouvait vivre normalement, les médecins urgentistes n'avaient pas à s'occuper de cela, et ils devaient faire ce qu'on fait aux urgences, c'est à dire hospitaliser le gars pour plus amples examens et soins ou bien le renvoyer chez lui;Cépajuste a écrit : ↑06 janvier 2025 16:39Le médecin ne devrait pas se limiter à sa spécialité, il devrait analyser le dossier médical du patient, et consulter ses collègues en cas de doute. Dans le cas présent, le patient était suivi dans le même hôpital pour schizophrénie. Compte tenu des risques liés à une sortie prématurée, et au profil du malade, il aurait certainement dû consulter le psy de l'hôpital. Est-ce que le malade était apte juridiquement à signer cette décharge ? Je n'en sais rien. C'est à la justice de décider s'il y a eu négligence ou non.Patchouli38 a écrit : ↑06 janvier 2025 16:02 Je ne connais pas tout les dessous de cette histoire, mais il faut savoir que les médecins avaient prévu d'hospitaliser le patient, mais ce dernier a refusé. Ensuite, ce médecin n'est pas non plus psychiatre, il s'intéresse seulement à tout ce qui concerne sa spécialité.
Un médecin ne peut pas retenir un patient contre sa volonté, même si ce dernier à des troubles psy.
Vous parlez tous bien, mais je ne sais pas si vous êtes jamais allé aux urgences d'un grand hôpital. C'est juste un délire et un enfer partout, des médecins et des infirmiers débordés, les pompiers en ambulance ou en hélico qui amènent des malades de 0 à 100+ ans ou des blessés graves, les alcoolisés et les drogués. Une fois, je suis allé surveiller mon grand-père de 96 ans qui venait d'être envoyé aux urgences avec un AVC avec une blessure à la tête résultant d'une chute consécutive, et j'ai regardé ce qui ce passait indépendamment de mon papy (pour qui les soignants ne pouvaient plus grand-chose, il est décédé 2 mois plus tard); il y avait un givré alcoolisé drogué fou qui a foutu son bazar et qui a fini par s'évader en pyjama dans la nuit noire à 1h du matin.
Les cas sociaux sont un gros problème, là le gars est sorti en signant une décharge quand même, ce n'est pas l'hôpital qui a refusé de le soigner.
Ouh là... Qu'est-ce qui vous prend ? Que sont mes affirmations qui vous déplaisent tant ? Parce que ça m'est toujours pas très clair. Et, je suis très curieux de savoir comment vous pourriez conclure que je fasse partie "des petits agitateurs pro-dictature" et, qui de plus est, "tout simplement" ? Ne serait-ce que de la projection de votre part ? D'autant que les étiquettes que vous essayez de m’accoler ne sont pas vraiment appropriés... bon sauf "écologiste" peut-être, tant qu'on y voit pas une affiliation à un parti politique. 
