Mesoke a écrit : ↑31 décembre 2024 08:20
papibilou a écrit : ↑30 décembre 2024 20:35
Comme je l'ai dit le risque qu'une personne puisse approcher d'un déchet nucléaire à distance suffisante et suffisamment longtemps pour en mourir est tellement infime que vos zéros seraient nécessaires pour le mesurer, mais après le premier zéro et la virgule.
Le problème de l'énergie nucléaire est qu'il contient l'adjectif "nucléaire" et fait immanquablement penser à Hiroshima. Sauf que ça n'a rien à voir, mais alors rien du tout. Et le terme déchets nucléaires a le même adjectif.
Néanmoins je vais aller dans votre sens en disant avec vous : on n'a pas le droit à l'erreur. Mais c'était aussi le cas chaque fois que l'on a construit une centrale.
Bah euh ... si ça a quand même largement à voir entre un déchet nucléaire et Hiroshima.
On parle bien dans les deux cas d'atomes au noyau instable qui se cassent en morceaux généralement plus petits en émettant du rayonnement électromagnétique suffisamment puissant pour casser des molécules du corps humain, ce qui peut provoquer des dysfonctionnements locaux, genre la production de cellules foireuses, soit un cancer.
C'était totalement incontrôlé à Hiroshima, c'est extrêmement contrôlé pour les déchets nucléaires. Mais atteindre la perfection est sans doute illusoire, et il y aura peut-être un jour un bug dans cette gestion de déchets radioactifs malgré tous les efforts pour les éviter, avec des conséquences fort néfastes.
Encore faut il savoir différencier les différents types de déchets dit nucléaires "TFA" ; " FA " ou " HFA "
Tout dépend du type de rayonnement qu'émet l'isotope et sa durée de vie
Et les déchets nucléaires qui sont en fait à 99 % des déchets technologiques souvent pour simple suspicion de contamination sont conditionnés et stocké en fonction du risque potentiel
Quand aux isotopes issue de la fission nucléaires de plus en plus is ont des applications industrielles
Un exemple de ce que tout le monde devrait avoir chez lui "un détecteur de fumée "
D'où la stupidité de créer une phobie sur ce que l'on appelle déchets nucléaires
Avant certains pour voir avec des verres épais comme des culot de bouteilles et aujourd'hui si leurs verres sont si fins c'est parce que dans leur composition il y a des radioéléments
Un déchet "nucléaire ou pas " est quelque chose dont on n'a pas encore trouvé une application
Parler de conséquences néfastes pour des déchet nucléaires ne tient plus , l'accident pour nous de tchernobyl a libéré une somme faramineuse de ce que l'on nomme " déchets nucléaires " sans que cela ait eu des conséquences néfastes comme prétendues au début pour la population
On suppute quelques cas sont pour autant prouver qu'il y ait une réelle relation
Et le plus flagrant est celui que l'on a tant cité "le cancer de la thyroïde" imputable à l'iode 131
Cet isotope ayant une demi vie de 7 jours lorsque le nuage de Tchernobyl est arrivé sur la france , il n'existait plus
Aujourd'hui depuis que l'accident nucléaire de Tchernobyl l'a démontré , toutes les croyances sur les risques nucléaires ont été inhibés
Même celui du syndrome chinois auquel même les scientifiques pro nucléaires pensaient
Il n'y a pas eu n'on plus d'explosion thermo nucléaire qui aurait rasé l'Ukraine voir l'Europe
On peut aujourd'hui ranger définitivement tous les croquemitaines que l'on brandissait sur le danger nucléaire
La démonstration du contraire a été faite
suffisamment puissant pour casser des molécules du corps humain il y a plus de destructions non de molécule mais de cellules humaines n 'exposant au soleil et chaque été pour avoir un beau teint halé , chacun a plus que son quotat de destruction de cellules avec les UV
Je suis plus inquiet pour ce phénomène de mode dont personne ne tient compte du risque malgré les mises en garde que pour un bug dans la gestion de déchets nucléaires