«Il est à l’origine du chaos politique» : Charles de Courson appelle Emmanuel Macron à démissionner

[latresne]

Toutes celles et ceux qui demandent la dissolution du Président de la République, ne le font pas "au nom de la France", mais bien plus par intérêt idéologique. Par contre, personne ne se presse pour prendre la place du 1er Ministre, je dirais même, ça ne se bouscule pas. Il faut dire que la place de Président est bien plus alléchante que celle de 1er Ministre ou là, c'est aller au casse-pipe.

Bien résumé.

[LeGrandNoir]

Elle prend donc bien les français pour des cons, surtout ses propres électeurs. La même demandant une justice répressive envers les délinquants et la trouve trop répressive envers sa propre délinquance. Bref, la répression pour les autres et le laxisme pour son parti.
Cela donne une idée de la justice en France si le RN se retrouvait au pouvoir.

En même temps, ses électeurs ...

[lepicard]

bonjour
En résumé , depuis 2018 , le RN +LFI à force d'entretenir la sédition ,sont en passe de finir de détruire la France ,,,, les jambons respectifs en sont ils conscients ????, l'heure n'est elle pas à ôter les œillères ??

LFI et le RN ont beaucoup de défauts, mais jusqu'à présent, ils n'ont jamais exercé le pouvoir... Ils ne sauraient donc être tenus pour responsables de la situation actuelle du pays.

mais bien sur .................. 6 ans de bordel organisé ,avec obligation de jouer du 49.3 pour tenter de réformer quoique ce soit ;
6 ans de chiage dans les bottes uniquement par revanchardise et se renforcer un électorat rétif à tout
6 ans d'opposition stérile bien souvant à la solde de force étrangère
la situation du pays est le reflet de votre état d'esprit , depuis longtemps la France est ingouvernable , et ça nous coute cher

[latresne]

"Toujours l'homme est seul face au mauvais destin".
"Le caractère ,vertu des temps difficiles".
"La difficulté attire l'homme de caractère,car c'est en l'étreignant qu'il se rencontre lui-même".
"Les exigences d'un grand peuple sont à l'échelle de ses malheurs".
"On ne fait rien de grand sans de grands hommes,et ceux-ci le sont pour l'avoir".
Charles de Gaulle.
Et pour en faire rire quelques uns et hurler quelques autres:
"Je suis un monarchiste.La République n'est pas un régime qu'il faut à la France".
A suivre.

[scorpion3917]

Toutes celles et ceux qui demandent la dissolution du Président de la République, ne le font pas "au nom de la France", mais bien plus par intérêt idéologique. Par contre, personne ne se presse pour prendre la place du 1er Ministre, je dirais même, ça ne se bouscule pas. Il faut dire que la place de Président est bien plus alléchante que celle de 1er Ministre ou là, c'est aller au casse-pipe.

Bien résumé.

De Gaulle " après moi ce ne sera pas le grand vide mais le trop plein"

[latresne]

"Toujours l'homme est seul face au mauvais destin".
"Le caractère ,vertu des temps difficiles".
"La difficulté attire l'homme de caractère,car c'est en l'étreignant qu'il se rencontre lui-même".
"Les exigences d'un grand peuple sont à l'échelle de ses malheurs".
"On ne fait rien de grand sans de grands hommes,et ceux-ci le sont pour l'avoir".
Charles de Gaulle.
Et pour en faire rire quelques uns et hurler quelques autres:
"Je suis un monarchiste.La République n'est pas un régime qu'il faut à la France".
A suivre.

Ajout:
"On ne fait rien de grand sans de grands hommes,et ceux-ci le sont pour l'avoir VOULU".

[Georges61]

Il est vrai que par la taille de gaulle (1,96m) était un grand homme, surtout pour son époque, mais uniquement par la taille.

[papibilou]

Il y a une dizaine d'années j'aurais dit que l'histoire vous donnait raison. Depuis on a eu des européennes gagnées par le RN. Et surtout on a eu les 3 blocs actuels qui s'expliquent par l'affaiblissement considérable des 2 partis de gouvernement qu'ont été LR et le PS.

Les 3 blocs existaient déjà en 2022 et pourtant, Macron a obtenu une majorité relative. C'était son deuxième mandat et il était déjà usé. Et surtout, il avait dans son programme la réforme des retraites dont les Français ne voulaient pas. Un nouveau président avec un programme rassembleur aurait pu avoir une majorité absolue.

La situation actuelle est exceptionnelle et elle est due à la dissolution d'un président impopulaire. Il me semble erroné de croire que la situation présente est normale et pourrait se répéter dans d'autres circonstances.

Je pense enfin que, d'une certaine façon, il y a eu une majorité absolue en 2024, celle du « front républicain », sauf que c'était une majorité contre le RN et non une majorité de gouvernement.

De la même manière sur la proportionnelle j'aurais milité il y a quelques années pour une part de proportionnelle mais pas la totalité.
Or nos voisins, Belgique, Italie, Espagne, Allemagne, les Pays-Bas, ont la proportionnelle et s'il est difficile parfois de constituer une coalition, il y parviennent. Et ces coalitions ont l'avantage de constituer des majorités de gouvernement, ce que nous sommes, aujourd'hui, incapables de réaliser chez nous en raison de notre système qui pousse à la constitution de blocs uniquement destinés aux législatives. Nous avons vu avec les européennes qui sont à la proportionnelle des résultats qui pousseront forcément les partis vers des coalitions pour gouverner et non des coalitions pour l'élection.

Il ne vous a pas échappé que les pays que vous citez ont des régimes parlementaires. Nous, nous avons un régime présidentiel. Ce sont les ambitions présidentielles de nos hommes politiques qui les poussent à la rivalité et qui empêchent les compromis et les coalitions. Un scrutin proportionnel avec un régime présidentiel ne ferait qu'apporter encore plus d'instabilité.

La leçon date bien de 2022. Les 3 blocs se dessinaient déjà effectivement en 2022 et si Macron avait obtenu une majorité absolue croyez vous qu'il aurait dissous ? Le problème est qu'il a espéré en que le NFP n'aurait pas le temps de se ressouder puisque ses composantes étaient allés aux européennes séparément et même en s'opposant. Et il a cru, comme vous, qu'il pourrait obtenir une majorité absolue. C'est l'inverse qui s'est passé. Il a toujours en s'alliant avec LR une majorité relative, mais toujours pas absolue et se retrouve encore plus fragilisé. La seule différence entre 2022 et aujourd'hui est que le centre et centre droit sont plus fragilisés.
Conclusions:
1 il n'y a aucune raison pour que si on repasse aux urnes le principe des 3 blocs soit différent.
2 il n'y a aucune raison pour qu'un candidat qui serait élu président obtienne des résultats différents
3 les pays voisins ne sont pas plus instables que le notre
4 les coalitions se font sur la base d'un accord qui permet de légiférer sans motion de censure.
5 nous ne sommes plus dans un régime présidentiel depuis les législatives. Nous étions passés dans un régime parlementaire depuis 2022 sans en avoir pris conscience.

[lepicard]

Les 3 blocs existaient déjà en 2022 et pourtant, Macron a obtenu une majorité relative. C'était son deuxième mandat et il était déjà usé. Et surtout, il avait dans son programme la réforme des retraites dont les Français ne voulaient pas. Un nouveau président avec un programme rassembleur aurait pu avoir une majorité absolue.

La situation actuelle est exceptionnelle et elle est due à la dissolution d'un président impopulaire. Il me semble erroné de croire que la situation présente est normale et pourrait se répéter dans d'autres circonstances.

Je pense enfin que, d'une certaine façon, il y a eu une majorité absolue en 2024, celle du « front républicain », sauf que c'était une majorité contre le RN et non une majorité de gouvernement.

Il ne vous a pas échappé que les pays que vous citez ont des régimes parlementaires. Nous, nous avons un régime présidentiel. Ce sont les ambitions présidentielles de nos hommes politiques qui les poussent à la rivalité et qui empêchent les compromis et les coalitions. Un scrutin proportionnel avec un régime présidentiel ne ferait qu'apporter encore plus d'instabilité.

La leçon date bien de 2022. Les 3 blocs se dessinaient déjà effectivement en 2022 et si Macron avait obtenu une majorité absolue croyez vous qu'il aurait dissous ? Le problème est qu'il a espéré en que le NFP n'aurait pas le temps de se ressouder puisque ses composantes étaient allés aux européennes séparément et même en s'opposant. Et il a cru, comme vous, qu'il pourrait obtenir une majorité absolue. C'est l'inverse qui s'est passé. Il a toujours en s'alliant avec LR une majorité relative, mais toujours pas absolue et se retrouve encore plus fragilisé. La seule différence entre 2022 et aujourd'hui est que le centre et centre droit sont plus fragilisés.
Conclusions:
1 il n'y a aucune raison pour que si on repasse aux urnes le principe des 3 blocs soit différent.
2 il n'y a aucune raison pour qu'un candidat qui serait élu président obtienne des résultats différents
3 les pays voisins ne sont pas plus instables que le notre
4 les coalitions se font sur la base d'un accord qui permet de légiférer sans motion de censure.
5 nous ne sommes plus dans un régime présidentiel depuis les législatives. Nous étions passés dans un régime parlementaire depuis 2022 sans en avoir pris conscience.

en effet le gaulois n'a pas la culture du concensus indispensable pour , De Gaule le savait , d'ou la rédaction de la V constitution
Alors ,en ces temps plus que troubles ,est il pertinent de faire fi de cette évidence quand on voit les conséquences du comportement de notre parlement ?

[jeandu53]

Toutes celles et ceux qui demandent la dissolution du Président de la République, ne le font pas "au nom de la France", mais bien plus par intérêt idéologique. Par contre, personne ne se presse pour prendre la place du 1er Ministre, je dirais même, ça ne se bouscule pas. Il faut dire que la place de Président est bien plus alléchante que celle de 1er Ministre ou là, c'est aller au casse-pipe.

Bien résumé.

Non. Moi, je demande la démission du président, parce que je me soucie de l'intérêt du pays.

[papibilou]

en effet le gaulois n'a pas la culture du concensus indispensable pour , De Gaule le savait , d'ou la rédaction de la V constitution
Alors ,en ces temps plus que troubles ,est il pertinent de faire fi de cette évidence quand on voit les conséquences du comportement de notre parlement ?

Les raisons de De Gaulle étaient surtout qu'il n'avait pas envie de discuter avec des opposants. La culture du compromis ça s'apprend.

[Fonck1]

Bien résumé.

Non. Moi, je demande la démission du président, parce que je me soucie de l'intérêt du pays.

pour cela, il faudrait avoir le niveau pour comprendre le tenants et aboutissants.

[lepicard]

en effet le gaulois n'a pas la culture du concensus indispensable pour , De Gaule le savait , d'ou la rédaction de la V constitution
Alors ,en ces temps plus que troubles ,est il pertinent de faire fi de cette évidence quand on voit les conséquences du comportement de notre parlement ?

Les raisons de De Gaulle étaient surtout qu'il n'avait pas envie de discuter avec des opposants. La culture du compromis ça s'apprend.

y'a pas d'école pour ça en France ,,, il n'y a que des mauvais exemples

[jeandu53]

Non. Moi, je demande la démission du président, parce que je me soucie de l'intérêt du pays.

pour cela, il faudrait avoir le niveau pour comprendre le tenants et aboutissants.

C'est simple à comprendre. La situation actuelle est bloquée. Si Macron dissout en juin, il suscitera le même rejet aux législatives qui suivront, le résultat sera le même. Je ne vois pas comment on peut tenir comme ça jusqu'en 2027. Un nouveau président créera une nouvelle dynamique.

[Fonck1]

pour cela, il faudrait avoir le niveau pour comprendre le tenants et aboutissants.

C'est simple à comprendre. La situation actuelle est bloquée. Si Macron dissout en juin, il suscitera le même rejet aux législatives qui suivront, le résultat sera le même. Je ne vois pas comment on peut tenir comme ça jusqu'en 2027. Un nouveau président créera une nouvelle dynamique.

non, là, vous êtes en train de vous faire votre petite histoire à vous.
si Macron en avait rien à foutre, il aurait démissionné depuis longtemps.
si demain il démissionne, dans tous les cas, vous aurez une assemblée avec 3 tiers.
Nous partons avec une assemblée impossible à diriger.