LeGrandNoir a écrit : ↑14 février 2025 14:08LeGrandNoir a écrit : ↑14 février 2025 07:07 https://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/gr ... 47693.html
"Je m'en fous " disait Piolle le matin même à propos des fusillades. Alors ils sont passés à la grenade. La semaine ils passent au katioucha.Voilà, ma négligence est réparée, vous avez l'article en grande partie.Les propos "explosifs" du maire de Grenoble Eric Piolle avant l'attaque à la grenade
En tenant des propos sur l'insécurité et les fusillades quelques heures avant l'attaque à la grenade à Grenoble, le maire écologiste Eric Piolle concentre les critiques.
Une escalade de la violence et un mode opératoire inédit à Grenoble : mercredi soir, un homme a jeté une grenade dans un bar associatif du quartier du Village olympique faisant 12 blessés dont six en urgence absolue. L’homme suspecté de l’attaque à la grenade avait aussi avec lui une arme automatique.
Le maire écologiste de Grenoble, Eric Piolle, qui s’est rendu sur place dans la soirée est de nouveau au coeur de la polémique en raison des ses positions sur la sécurité et le trafic de stupéfiants. Surtout, des propos rapportés par Libération sur le sujet dans un article publié très peu de temps avant que l’on apprenne l’attaque de mercredi soir enflamment le débat politique.
« Il y a des fusillades partout »
Dans un article consacré à la gestion de l’insécurité dans les villes dirigées par des maires écologistes, nos confrères font témoigner l’élu grenoblois.
L’élu local nie une « hausse de l’insécurité » à Grenoble, mais reconnait une « dégradation de la situation autour du narcotrafic ».
Une « violence inouïe », « impuissance de l’État »
Dans la soirée de mercredi, Eric Piolle a « condamné avec la plus grande fermeté (un) acte criminel d’une violence inouïe ».
« Nous vivons une période d’escalade de violence, à la fois dans sa localisation, dans sa temporalité, souvent en pleine journée », a observé l’édile qui s’est aussi rendu sur les lieux, sans vouloir faire de lien avec « d’autres événements », dans l’attente des résultats de l’enquête.
Ce jeudi, sur BFMTV depuis l’hôpital de Grenoble, le maire dénonce « l’impuissance de l’Etat ». Il va s’entretenir ce vendredi à la mairie avec le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.
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Il n'en reste pas moins que j'invite les électeurs grenoblois à le dégager vite fait dès le 1er tour des municipales en 2026, car l'homme qui éteint l'éclairage public, désarme la police municipale et fait arrêter les programmes d'installation de caméras de surveillance est clairement nuisible.
J'estime que s'obstiner a favoriser la venue de truands dans une grande ville

