Guerre en Ukraine : Donald Trump brise l’unité des alliés en lançant, avec Vladimir Poutine, des négociations de paix

[UBUROI]

Les alliés sont unis à Londres

kEIR STARMER dixit:

"Le Royaume-Uni, la France et d'autres travailleront avec l'Ukraine à un plan pour mettre fin aux combats. Nous le présenterons aux Etats-Unis afin d'avancer ensemble."

"Notre position de départ doit être de donner à l'Ukraine (...) une position de force" en vue des négociations, affirme-t-il.

Il annonce

un nouvel accord d'aide de Londres pour l'Ukraine de 3 mrds de £ dont 1,6 milliard de livres en vue de l'acquisition de missiles anti-aériens par Kiev. "Chaque pays doit contribuer dans la mesure de ses moyens" et "prendre sa part du fardeau", plaide-t-il. "Nous allons continuer d'aider l'Ukraine militairement et à maintenir la pression économique sur la Russie",

"L'accord devra impliquer la Russie à la fin, mais nous ne pouvons pas laisser la Russie dicter les termes des garanties de sécurité avant même qu'il y ait un accord de paix."

Pour justifier l'absence de Moscou dans les discussions à ce stade, le Premier ministre britannique dit vouloir "éviter absolument" qu'un futur accord soit "violé par la Russie", comme par le passé.

Il annonce qu'une coalition de pays volontaires garantira par leur présence militaire sur terre et dans les airs que le cessez le feu ne soit pas violé.

[UBUROI]

Et avec Trump et Vance un bon BBQ
Perso j'en mangerai pas.


https://www.theguardian.com/world/live/ ... op-of-blog

Ce que nous savons après le sommet de Londres - résumé
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a annoncé les détails d'un nouveau contrat de financement à l'exportation de 1,6 milliard de livres sterling pour l'Ukraine lui permettant « d'acheter plus de 5 000 missiles de défense aérienne » pour aider la défense du pays contre la Russie après un sommet de Londres avec les dirigeants européens, turcs et canadiens.

Starmer a également confirmé son intention de former « une coalition de volontaires » pour faire respecter un éventuel accord de paix en Ukraine, que le Royaume-Uni était prêt à « soutenir avec des troupes au sol et des avions dans les airs », a-t-il déclaré.

Starmer a insisté sur le fait que les États-Unis sous Donald Trump étaient toujours un allié fiable et a laissé entendre qu'il avait parlé de ses plans avec le président américain.

Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, a déclaré qu'un certain nombre de pays membres de l'OTAN avaient signalé leur intention d'augmenter leurs dépenses de défense , alors qu'il exhortait les médias à « cesser de bavarder sur ce que les États-Unis pourraient ou ne pourraient pas faire », et a insisté sur le fait que le pays restait attaché à l'OTAN.

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré qu'il y avait une prise de conscience croissante de la nécessité de « réarmer l'Europe de toute urgence » , et que les Européens souhaitaient œuvrer à « transformer l'Ukraine en un porc-épic d'acier indigeste pour les envahisseurs potentiels ».

Le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré qu'il espérait que les plans de l'UE, qui seront dévoilés la semaine prochaine, « enverraient une impulsion très claire montrant à Poutine et à la Russie que personne ici, en Occident, n'a l'intention de céder à son chantage et à son agression ».

Mais Tusk a révélé que les pays alliés n'étaient pas entièrement d'accord sur la saisie des actifs russes à l'Ouest, car certains pays « craignaient les conséquences soit pour l'euro, soit pour le système bancaire ».

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau a défendu avec passion le président ukrainien Volodymyr Zelensky , affirmant que dans ses commentaires dans le bureau ovale vendredi, « il a souligné en de nombreux mots que Vladimir Poutine est un menteur et un criminel et qu'on ne peut pas lui faire confiance pour tenir sa parole de quelque façon que ce soit. »