Non; L'immigration n'a jamais existée sur toute la période que je précise.CrazyMan a écrit : ↑29 avril 2021 14:37En fait, c'est surtout que la signification du mot "étranger" n'a pas eu la même signification en tout temps.stirnersept9 a écrit : ↑29 avril 2021 14:27 A tous ceux, ces faux patriotes, faux français, et français de papiers anti Droite par stupidité et inculture
je vous remercie de me permettre de remettre l'histoire de la France dans le bon ordre.
A bientôt, mes amis.
Car , puisque certains ne me croient pas quand je dis que pendant 1 000 ans ( 1 300 ) la France s'est passée d'immigration
et quand des mensonges sont écrits ici en affirmant que la France a toujours été une terre d'immigration
je dois prouver que ce que je dis est vérité historique.
Il y a une époque où "l'étranger" pouvait provenir d'un village à 30km puisque les transports étaient bien moins développés.
Tu as raison de dire que l'immigration n'a pas toujours été importante en France, même s'il y a eu certaines périodes avec des migrations celtiques et germaniques.
Il y a aussi eu des formes de migrations "forcées" avec le commerce triangulaire.
Néanmoins, l'histoire ne se limite pas à une période s'étalant sur 1300 ans. L'immigration fait partie de l'histoire de la France, même si cela n'a pas toujours été le cas, ne t'en déplaise.
La France en 1300 ans s'est bâtie sur des achats ( La Provence par exemple,) des mariages, des alliances.
Jamais avec une immigration.
A la marge quelques conquêtes , vikings en Normandie et suite à la guerre de trente ans par des suisses et des alémaniques ( quasiment idem) dans l'est, en Alsace.
A l'ère de la révolution industrielle, des immigrés européens, de même culture, de même religion,, Polonais, Italiens au début
puis Portugais, yougoslaves( époque plus récente). Quelques arabes aussi.
Aucun problème.
Et puis sont arrivés tous ces types venus du sud, qui ne pouvaient pas sacquer les français
et qui leur collent aux basques
Depuis, problème. Guerre de religion, de culture, de civilisation.
Deux cultures qui ne peuvent pas s'assimiler.
Dont l'une n'est pas chez elle
et n'a rien à fiche chez moi.