De plus nous savons tous que ce RN est une opposition fantoche comme LFI et que finalement ils œuvrent tous dans le même sens....Patchouli38 a écrit : ↑07 octobre 2024 14:31Ils ont tous des gamelles aux fesses mais le RN est bien le premier a fabriqué de fausses preuves de travail. Alors, pour certains, être crapule oui mais jusqu'au bout.scorpion3917 a écrit : ↑07 octobre 2024 14:26
Oui oui évidemment mais vous savez ils ont tous de sacrées gamelles au c...tous partis confondus.....
Eux peut être plus que les autres, j en sais rien mais n imaginez pas qu il y les vertueux d un côté et les crapules de l autre......
Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.
Edmund Burke.
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Tout à fait et cela se résume à ceci : le pouvoir, encore le pouvoir et rien que le pouvoir. Le reste, ils s'en fichent : les français, la dette, etc.scorpion3917 a écrit : ↑07 octobre 2024 14:37De plus nous savons tous que ce RN est une opposition fantoche comme LFI et que finalement ils œuvrent tous dans le même sens....Patchouli38 a écrit : ↑07 octobre 2024 14:31
Ils ont tous des gamelles aux fesses mais le RN est bien le premier a fabriqué de fausses preuves de travail. Alors, pour certains, être crapule oui mais jusqu'au bout.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Ha! ils se sont eut être rendus compte que leur défense a la con avait du plomb dans l'aile....
ils ont sans doute pensé que la justice allait au procès la fleur au fusil.....Procès des assistants parlementaires du RN : les avocats du parti et de Marine Le Pen demandent un report
Les avocats du parti et de sa cheffe de file, Marine Le Pen, reprochent au tribunal d’avoir « élargi » les faits reprochés à leurs clients. Ils ont présenté une demande de renvoi.
Ils dénoncent « un élargissement » des faits reprochés au cours de l’audience. La défense de Marine Le Pen et du Rassemblement national, jugés depuis la semaine dernière au côté de 24 autres personnes pour des soupçons d’emplois fictifs d’assistants de députés européens, a demandé lundi un report du procès.
Les avocats de la défense sont arrivés lundi armés de leurs « conclusions » et de leurs demandes de renvoi, invitant le parquet à saisir de nouveau les juges d’instruction pour qu’ils donnent enfin une « interprétation précise invariable intangible » de ce qui doit être jugé.
En cause, trois tableaux que la présidente Bénédicte de Perthuis avait présentés à l’audience pour que chacun « y voie clair » dans ce dossier complexe, où l’on parle d’une vingtaine de contrats et d’autant de prévenus, de détournement de fonds publics, de complicité ou de recel, lors d’une période s’étalant sur plus de 10 ans (2004-2016).
Appel à participation pour le forum
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
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Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
coucou
ils n'ont pas fini de se faire élargir
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Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Au suivant !
« Tout le monde faisait ça » : au procès du RN, les aveux maladroits de l'ex-eurodéputé FN Fernand Le Rachinel
L’ex-député européen FN a reconnu, lundi 7 octobre, devant le tribunal, que ses assistants parlementaires n’ont jamais travaillé pour lui mais pour Jean-Marie Le Pen, en qualité de secrétaire et de chauffeur. Mais, selon lui, « tout le monde faisait cela ».
Le tribunal correctionnel de Paris a connu défenses plus heureuses. Les assistants de Fernand Le Rachinel, entre 2004 et 2009, n’ont pas travaillé directement pour lui ? Première réponse de l’intéressé à la barre : « Lors de mon premier mandat, entre 1994 et 1999, nous fonctionnions déjà comme cela. » Premier à être auditionné dans ce procès des assistants parlementaires des eurodéputés FN/RN entre 2004 et 2016, le chef d’entreprise normand est apparu fébrile, confus, devant un tribunal par moments stupéfait par ses digressions et anecdotes parfois improbables.
Fernand Le Rachinel est poursuivi pour détournements de fonds publics, pour avoir embauché Thierry Légier et Micheline Bruna, à la demande de Jean-Marie Le Pen, reconnaît le prévenu. « Cela ne me convenait pas car j’étais très impliqué dans mon mandat mais c’était le fonctionnement », a-t-il expliqué.
Il ajoute, comme l’a fait Marine Le Pen la semaine dernière, que l’ensemble des collaborateurs formaient un « pool », un groupe dans lequel chaque député était censé pouvoir piocher pour être aidé, en fonction des besoins du moment. « Certes, sur le papier, c’était Micheline Bruna et Thierry Légier. Mais deux autres m’ont assisté dans mes dossiers, mesdames Bardi et Salagnac. En quelque sorte, ils étaient interchangeables, nos assistants. » Ce qui va à l’encontre du règlement du Parlement européen.
« Le Parlement européen était au courant et aurait dû nous prévenir »
De plus, le récit de Fernand Le Rachinel contredit la défense de Marine Le Pen selon laquelle « le Parlement européen reproche à nos assistants d’avoir fait de la politique ». Dans le cas de Thierry Légier et Micheline Bruna, était-ce vraiment le cas ? Le premier était en réalité le garde du corps de Jean-Marie Le Pen, ce qu’a reconnu son employeur officiel, ajoutant tout de même : « À Bruxelles, il était chargé de la sécurité du groupe. »
« Mais si Jean-Marie Le Pen n’y était pas, Thierry Légier n’était pas là non plus ? » a questionné la présidente du tribunal. « En effet », a reconnu le prévenu, penaud. Or, les contrats en question stipulent bien, comme l’a rappelé le tribunal, « la nature des tâches d’assistant parlementaire ouvrant (ou non) droit à prise en charge », et excluraient, selon l’accusation, les missions de sécurité.
Quant à la seconde, Micheline Bruna, elle était l’assistante personnelle de Jean-Marie Le Pen, travaillant dans son domaine de Montretout. « Elle était en charge du secrétariat, du courrier, des groupes de visiteurs et m’appelait quand Jean-Marie Le Pen souhaitait me voir, pour prendre rendez-vous », a détaillé Fernand Le Rachinel.
Pour autant, celui-ci a continué à se dire « consterné » de se retrouver devant la justice. D’une part, car, dit-il, « des députés de tous partis et de tous les pays fonctionnaient de la même façon ». D’autre part, car « le Parlement européen était au courant et aurait dû nous prévenir ».
Un argument qui a fait bondir la présidente : « Vous êtes chef d’entreprise dans une société, on a besoin de vous dire que c’est un abus de bien social de rémunérer quelqu’un qui travaille en fait pour l’entreprise de votre cousin ? » « Ce n’est pas comparable à une entreprise car l’argent aurait été dépensé de toute façon. Si Jean-Marie Le Pen avait mis les bons noms devant les bonnes cases, cette somme aurait de toute façon été dépensée », a-t-il revendiqué, remettant en cause l’idée d’un préjudice. En quittant la barre, Fernand Le Rachinel lâche un long souffle. Sa douloureuse audition est terminée, mais ses propos pourraient peser lourd à la fin de ces deux mois de procès.
https://www.humanite.fr/politique/marin ... e-rachinel
« Tout le monde faisait ça » : au procès du RN, les aveux maladroits de l'ex-eurodéputé FN Fernand Le Rachinel
L’ex-député européen FN a reconnu, lundi 7 octobre, devant le tribunal, que ses assistants parlementaires n’ont jamais travaillé pour lui mais pour Jean-Marie Le Pen, en qualité de secrétaire et de chauffeur. Mais, selon lui, « tout le monde faisait cela ».
Le tribunal correctionnel de Paris a connu défenses plus heureuses. Les assistants de Fernand Le Rachinel, entre 2004 et 2009, n’ont pas travaillé directement pour lui ? Première réponse de l’intéressé à la barre : « Lors de mon premier mandat, entre 1994 et 1999, nous fonctionnions déjà comme cela. » Premier à être auditionné dans ce procès des assistants parlementaires des eurodéputés FN/RN entre 2004 et 2016, le chef d’entreprise normand est apparu fébrile, confus, devant un tribunal par moments stupéfait par ses digressions et anecdotes parfois improbables.
Fernand Le Rachinel est poursuivi pour détournements de fonds publics, pour avoir embauché Thierry Légier et Micheline Bruna, à la demande de Jean-Marie Le Pen, reconnaît le prévenu. « Cela ne me convenait pas car j’étais très impliqué dans mon mandat mais c’était le fonctionnement », a-t-il expliqué.
Il ajoute, comme l’a fait Marine Le Pen la semaine dernière, que l’ensemble des collaborateurs formaient un « pool », un groupe dans lequel chaque député était censé pouvoir piocher pour être aidé, en fonction des besoins du moment. « Certes, sur le papier, c’était Micheline Bruna et Thierry Légier. Mais deux autres m’ont assisté dans mes dossiers, mesdames Bardi et Salagnac. En quelque sorte, ils étaient interchangeables, nos assistants. » Ce qui va à l’encontre du règlement du Parlement européen.
« Le Parlement européen était au courant et aurait dû nous prévenir »
De plus, le récit de Fernand Le Rachinel contredit la défense de Marine Le Pen selon laquelle « le Parlement européen reproche à nos assistants d’avoir fait de la politique ». Dans le cas de Thierry Légier et Micheline Bruna, était-ce vraiment le cas ? Le premier était en réalité le garde du corps de Jean-Marie Le Pen, ce qu’a reconnu son employeur officiel, ajoutant tout de même : « À Bruxelles, il était chargé de la sécurité du groupe. »
« Mais si Jean-Marie Le Pen n’y était pas, Thierry Légier n’était pas là non plus ? » a questionné la présidente du tribunal. « En effet », a reconnu le prévenu, penaud. Or, les contrats en question stipulent bien, comme l’a rappelé le tribunal, « la nature des tâches d’assistant parlementaire ouvrant (ou non) droit à prise en charge », et excluraient, selon l’accusation, les missions de sécurité.
Quant à la seconde, Micheline Bruna, elle était l’assistante personnelle de Jean-Marie Le Pen, travaillant dans son domaine de Montretout. « Elle était en charge du secrétariat, du courrier, des groupes de visiteurs et m’appelait quand Jean-Marie Le Pen souhaitait me voir, pour prendre rendez-vous », a détaillé Fernand Le Rachinel.
Pour autant, celui-ci a continué à se dire « consterné » de se retrouver devant la justice. D’une part, car, dit-il, « des députés de tous partis et de tous les pays fonctionnaient de la même façon ». D’autre part, car « le Parlement européen était au courant et aurait dû nous prévenir ».
Un argument qui a fait bondir la présidente : « Vous êtes chef d’entreprise dans une société, on a besoin de vous dire que c’est un abus de bien social de rémunérer quelqu’un qui travaille en fait pour l’entreprise de votre cousin ? » « Ce n’est pas comparable à une entreprise car l’argent aurait été dépensé de toute façon. Si Jean-Marie Le Pen avait mis les bons noms devant les bonnes cases, cette somme aurait de toute façon été dépensée », a-t-il revendiqué, remettant en cause l’idée d’un préjudice. En quittant la barre, Fernand Le Rachinel lâche un long souffle. Sa douloureuse audition est terminée, mais ses propos pourraient peser lourd à la fin de ces deux mois de procès.
https://www.humanite.fr/politique/marin ... e-rachinel
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
On comprend mieux pourquoi Marine le Pen souhaitait le report du procès.
Procès des assistants parlementaires du FN : le garde du corps Thierry Légier se dépeint en fidèle "couteau suisse" de Jean-Marie Le Pen
L'actuel responsable de la sécurité de Jordan Bardella a été entendu lundi au sujet de ses missions auprès de l'ex-eurodéputé Fernand Le Rachinel, alors qu'il était aussi, à l'époque, garde du corps de Jean-Marie Le Pen.
Il assume la "double casquette". L'ancien garde du corps de Jean-Marie Le Pen, Thierry Légier, est le premier ancien assistant parlementaire européen à avoir été interrogé au procès du Rassemblement national et de 25 de ses actuels ou anciens membres. En costume-cravate, ce sexagénaire à la carrure massive – 1,90 pour 97 kilos – s'est avancé à la barre du tribunal correctionnel de Paris, lundi 7 octobre, pour expliquer son travail auprès de l'ex-eurodéputé Fernand Le Rachinel entre 2005 et 2009, alors qu'il était en même temps le garde du corps du président du parti d'extrême droite, qui s'appelait alors Front national. A l'entendre, le point de départ de cette "double" mission est tout simple : "C'est Jean-Marie Le Pen qui m'a demandé d'aller le voir pour signer le contrat."
A cette époque, Thierry Légier est l'ombre du patron frontiste depuis plus de dix ans. Cet ancien militaire a été embauché en 1992 pour assurer la sécurité de Jean-Marie Le Pen en remplacement de Robert Moreau, une ancienne gloire du catch des années 60 surnommée "le Bourreau de Béthune", raconte Le Figaro(Nouvelle fenêtre). "J'ai commencé au Parlement européen pour remplacer mon prédécesseur, qui avait occupé pendant huit ans la même fonction, expose l'auteur du livre Mission Le Pen. C'est pour ça que je m'étonne que personne ne soit venu me dire que j'étais dans l'illégalité."
"Je faisais confiance au député"
Comme les 12 assistants parlementaires de ce dossier, Thierry Légier est poursuivi pour recel de détournement de fonds publics. La justice lui reproche notamment d'avoir bénéficié d'un confortable salaire versé par l'institution européenne – plus de 5 000 euros par mois – pour assister l'élu Fernand Le Rachinel alors qu'il protégeait "365 jours sur 365" Jean-Marie Le Pen, comme l'a assuré aux juges son ancienne compagne. Cette dernière a également glissé qu'elle ne l'avait jamais vu rédiger de notes, lui qui ne savait pas écrire. Thierry Légier hausse les épaules, met ces déclarations sur le compte d'un "divorce conflictuel" : "Ça fait cinq ans que mon fils ne vient plus chez moi."
Pas de quoi attendrir le tribunal ni le parquet, qui tentent de comprendre la nature de ses interventions comme assistant parlementaire. "Que pensez-vous du fait que l'on vous fasse signer un contrat avec une personne qui n'est pas vraiment votre employeur ?", demande la présidente, Bénédicte de Perthuis. Le prévenu ne se cache pas d'avoir "entendu dans la presse" parler de "mutualisation des postes" pour les eurodéputés du FN. "Je faisais confiance au député", ajoute-t-il. Lequel ? Jean-Marie Le Pen, lui aussi député européen à cette époque, ou Fernand Le Rachinel ?
"Vu les menaces qu'il y avait sur le groupe [de députés FN], je m'occupais de la sécurité lors des déplacements. Je faisais des journées entre 12 et 16 heures par jour."
"J'étais le couteau suisse de la sécurité, poursuit le garde du corps au crâne parsemé de cheveux blanchis. Je m'occupais aussi bien des visiteurs, des rendez-vous avec des députés d'autres nationalités ou des réunions dans un des cinq bars du Parlement européen." Le procureur insiste : "Mais vous étiez plus souvent à Saint-Cloud [où se trouvaient le domicile de Jean-Marie Le Pen et le siège du parti] ou à Bruxelles ?" Thierry Légier, qui a raconté dans son livre avoir suivi Jean-Marie Le Pen jusqu'en Irak pour rencontrer le dictateur Saddam Hussein, illustre de nouveau sa fidélité sans faille à son ancien patron, désormais âgé de 96 ans : "J'accompagne Monsieur Le Pen à chaque session parlementaire, une fois par mois à Strasbourg, et aux mini-sessions à Bruxelles tous les mois." "Quand Jean-Marie Le Pen n'est pas à Bruxelles, vous n'êtes pas à Bruxelles ?", relève le magistrat. "Tout à fait." "Donc vous ne travaillez pas pour monsieur Le Rachinel quand Jean-Marie Le Pen n'est pas à Bruxelles ?" "Tout à fait." Un point pour l'accusation.
"Je n'ai plus de souvenir, c'est vieux"
Un peu plus tôt dans la journée, Fernand Le Rachinel avait reconnu à la barre avoir écrit en 2008 à Thierry Légier pour lui demander de "réaffecter" ses activités à son service. "Il est nécessaire que vous m'apportiez directement votre concours", peut-on lire sur cette missive, projetée à l'audience. L'ancien élu de 82 ans, alors en conflit avec le Front national, avait reçu une fin de non-recevoir par courrier. Face au document affiché sur le grand écran de la salle d'audience, le garde du corps ne se souvient pas de l'avoir écrit ni signé.
Peut-être la réponse lui avait-elle été soufflée par l'ex-trésorier du parti, Wallerand de Saint-Just, suggère le tribunal ? "Je n'ai plus de souvenir, c'est vieux", souffle le prévenu. "Je vous rafraîchis la mémoire", relance la procureure, en lui rappelant qu'il a bénéficié, au passage, d'une indemnité de licenciement de 29 000 euros versée par le Parlement européen. "C'est la loi !", bougonne depuis son banc l'ex-eurodéputé et autre prévenu Bruno Gollnisch, qui sera entendu mardi.
Aujourd'hui, Thierry Légier n'est plus salarié du parti. Mais il est toujours garde du corps du président du Rassemblement national, Jordan Bardella. Il encourt dix ans de prison et 375 000 euros d'amende.
https://www.francetvinfo.fr/politique/f ... 24111.html
On est mal Marine...on est mal.
Procès des assistants parlementaires du FN : le garde du corps Thierry Légier se dépeint en fidèle "couteau suisse" de Jean-Marie Le Pen
L'actuel responsable de la sécurité de Jordan Bardella a été entendu lundi au sujet de ses missions auprès de l'ex-eurodéputé Fernand Le Rachinel, alors qu'il était aussi, à l'époque, garde du corps de Jean-Marie Le Pen.
Il assume la "double casquette". L'ancien garde du corps de Jean-Marie Le Pen, Thierry Légier, est le premier ancien assistant parlementaire européen à avoir été interrogé au procès du Rassemblement national et de 25 de ses actuels ou anciens membres. En costume-cravate, ce sexagénaire à la carrure massive – 1,90 pour 97 kilos – s'est avancé à la barre du tribunal correctionnel de Paris, lundi 7 octobre, pour expliquer son travail auprès de l'ex-eurodéputé Fernand Le Rachinel entre 2005 et 2009, alors qu'il était en même temps le garde du corps du président du parti d'extrême droite, qui s'appelait alors Front national. A l'entendre, le point de départ de cette "double" mission est tout simple : "C'est Jean-Marie Le Pen qui m'a demandé d'aller le voir pour signer le contrat."
A cette époque, Thierry Légier est l'ombre du patron frontiste depuis plus de dix ans. Cet ancien militaire a été embauché en 1992 pour assurer la sécurité de Jean-Marie Le Pen en remplacement de Robert Moreau, une ancienne gloire du catch des années 60 surnommée "le Bourreau de Béthune", raconte Le Figaro(Nouvelle fenêtre). "J'ai commencé au Parlement européen pour remplacer mon prédécesseur, qui avait occupé pendant huit ans la même fonction, expose l'auteur du livre Mission Le Pen. C'est pour ça que je m'étonne que personne ne soit venu me dire que j'étais dans l'illégalité."
"Je faisais confiance au député"
Comme les 12 assistants parlementaires de ce dossier, Thierry Légier est poursuivi pour recel de détournement de fonds publics. La justice lui reproche notamment d'avoir bénéficié d'un confortable salaire versé par l'institution européenne – plus de 5 000 euros par mois – pour assister l'élu Fernand Le Rachinel alors qu'il protégeait "365 jours sur 365" Jean-Marie Le Pen, comme l'a assuré aux juges son ancienne compagne. Cette dernière a également glissé qu'elle ne l'avait jamais vu rédiger de notes, lui qui ne savait pas écrire. Thierry Légier hausse les épaules, met ces déclarations sur le compte d'un "divorce conflictuel" : "Ça fait cinq ans que mon fils ne vient plus chez moi."
Pas de quoi attendrir le tribunal ni le parquet, qui tentent de comprendre la nature de ses interventions comme assistant parlementaire. "Que pensez-vous du fait que l'on vous fasse signer un contrat avec une personne qui n'est pas vraiment votre employeur ?", demande la présidente, Bénédicte de Perthuis. Le prévenu ne se cache pas d'avoir "entendu dans la presse" parler de "mutualisation des postes" pour les eurodéputés du FN. "Je faisais confiance au député", ajoute-t-il. Lequel ? Jean-Marie Le Pen, lui aussi député européen à cette époque, ou Fernand Le Rachinel ?
"Vu les menaces qu'il y avait sur le groupe [de députés FN], je m'occupais de la sécurité lors des déplacements. Je faisais des journées entre 12 et 16 heures par jour."
"J'étais le couteau suisse de la sécurité, poursuit le garde du corps au crâne parsemé de cheveux blanchis. Je m'occupais aussi bien des visiteurs, des rendez-vous avec des députés d'autres nationalités ou des réunions dans un des cinq bars du Parlement européen." Le procureur insiste : "Mais vous étiez plus souvent à Saint-Cloud [où se trouvaient le domicile de Jean-Marie Le Pen et le siège du parti] ou à Bruxelles ?" Thierry Légier, qui a raconté dans son livre avoir suivi Jean-Marie Le Pen jusqu'en Irak pour rencontrer le dictateur Saddam Hussein, illustre de nouveau sa fidélité sans faille à son ancien patron, désormais âgé de 96 ans : "J'accompagne Monsieur Le Pen à chaque session parlementaire, une fois par mois à Strasbourg, et aux mini-sessions à Bruxelles tous les mois." "Quand Jean-Marie Le Pen n'est pas à Bruxelles, vous n'êtes pas à Bruxelles ?", relève le magistrat. "Tout à fait." "Donc vous ne travaillez pas pour monsieur Le Rachinel quand Jean-Marie Le Pen n'est pas à Bruxelles ?" "Tout à fait." Un point pour l'accusation.
"Je n'ai plus de souvenir, c'est vieux"
Un peu plus tôt dans la journée, Fernand Le Rachinel avait reconnu à la barre avoir écrit en 2008 à Thierry Légier pour lui demander de "réaffecter" ses activités à son service. "Il est nécessaire que vous m'apportiez directement votre concours", peut-on lire sur cette missive, projetée à l'audience. L'ancien élu de 82 ans, alors en conflit avec le Front national, avait reçu une fin de non-recevoir par courrier. Face au document affiché sur le grand écran de la salle d'audience, le garde du corps ne se souvient pas de l'avoir écrit ni signé.
Peut-être la réponse lui avait-elle été soufflée par l'ex-trésorier du parti, Wallerand de Saint-Just, suggère le tribunal ? "Je n'ai plus de souvenir, c'est vieux", souffle le prévenu. "Je vous rafraîchis la mémoire", relance la procureure, en lui rappelant qu'il a bénéficié, au passage, d'une indemnité de licenciement de 29 000 euros versée par le Parlement européen. "C'est la loi !", bougonne depuis son banc l'ex-eurodéputé et autre prévenu Bruno Gollnisch, qui sera entendu mardi.
Aujourd'hui, Thierry Légier n'est plus salarié du parti. Mais il est toujours garde du corps du président du Rassemblement national, Jordan Bardella. Il encourt dix ans de prison et 375 000 euros d'amende.
https://www.francetvinfo.fr/politique/f ... 24111.html
On est mal Marine...on est mal.
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Plus le procès avance, plus on se rend compte que le RN fait tout pour se débarrasser de ce procès. Tous les moyens sont bons. A quel titre ?
Et bien, quand on affiche ce type de posture et que les interventions des premiers accusés plaident contre MLP, on se rend compte que les soupçons se transforment en "confirmation d'emplois fictifs". Marine Le Pen sereine ? De l'extérieur surement, de l'intérieur surement pas.
Et bien, quand on affiche ce type de posture et que les interventions des premiers accusés plaident contre MLP, on se rend compte que les soupçons se transforment en "confirmation d'emplois fictifs". Marine Le Pen sereine ? De l'extérieur surement, de l'intérieur surement pas.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Sœur Emmanuelle
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Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Bruno fait son show.
Au procès du RN, la (mauvaise) leçon de droit de Bruno Gollnisch : « Madame la présidente, vous devriez vous rallier à mon avis, cela économiserait du travail à votre tribunal »
Récit A la barre ce mardi, l’ancienne figure du parti d’extrême droite Bruno Gollnisch a tenté de remettre en cause la compétence du tribunal qui doit le juger.
Après deux bonnes heures d’audience, bien chargées, la présidente du tribunal propose une pause. « Vous devez être fatigué Monsieur Gollnisch, on va s’interrompre quelques minutes. » Le dos voûté, la démarche il est vrai un peu lente, l’ex-numéro deux du Front national (devenu le RN) et ancien candidat malheureux à la succession de Jean-Marie Le Pen rassure le tribunal sur sa forme : « Vous savez à l’Assemblée nationale, je suis déjà resté debout beaucoup, beaucoup plus longtemps. » Petits rires étouffés dans la salle.
Depuis le début du procès des assistants parlementaires du FN devant le tribunal correctionnel de Paris, le lundi 30 septembre, Bruno Gollnisch, 74 ans, trépignait sur le banc des prévenus, parlant parfois à haute voix sans y être invité, demandant la parole de façon impromptue, marmonnant.
Ce mardi 8 octobre, le voilà enfin à la barre, et comme prévu, l’ancien député parle beaucoup, se défendant avec acharnement. Mais la logorrhée juridique de l’ancien professeur de droit public, teintée de mauvaise foi, est bien souvent indigeste ou hors sujet.
https://www.nouvelobs.com/justice/20241 ... bunal.html
Au procès du RN, la (mauvaise) leçon de droit de Bruno Gollnisch : « Madame la présidente, vous devriez vous rallier à mon avis, cela économiserait du travail à votre tribunal »
Récit A la barre ce mardi, l’ancienne figure du parti d’extrême droite Bruno Gollnisch a tenté de remettre en cause la compétence du tribunal qui doit le juger.
Après deux bonnes heures d’audience, bien chargées, la présidente du tribunal propose une pause. « Vous devez être fatigué Monsieur Gollnisch, on va s’interrompre quelques minutes. » Le dos voûté, la démarche il est vrai un peu lente, l’ex-numéro deux du Front national (devenu le RN) et ancien candidat malheureux à la succession de Jean-Marie Le Pen rassure le tribunal sur sa forme : « Vous savez à l’Assemblée nationale, je suis déjà resté debout beaucoup, beaucoup plus longtemps. » Petits rires étouffés dans la salle.
Depuis le début du procès des assistants parlementaires du FN devant le tribunal correctionnel de Paris, le lundi 30 septembre, Bruno Gollnisch, 74 ans, trépignait sur le banc des prévenus, parlant parfois à haute voix sans y être invité, demandant la parole de façon impromptue, marmonnant.
Ce mardi 8 octobre, le voilà enfin à la barre, et comme prévu, l’ancien député parle beaucoup, se défendant avec acharnement. Mais la logorrhée juridique de l’ancien professeur de droit public, teintée de mauvaise foi, est bien souvent indigeste ou hors sujet.
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Il a quand même donné un cours magistral en droit à tous les magistrats présents sur ce que sera les conclusions lorsque cela sera examiné en cassationCorvo a écrit : ↑09 octobre 2024 07:47 Bruno fait son show.
Au procès du RN, la (mauvaise) leçon de droit de Bruno Gollnisch : « Madame la présidente, vous devriez vous rallier à mon avis, cela économiserait du travail à votre tribunal »
Récit A la barre ce mardi, l’ancienne figure du parti d’extrême droite Bruno Gollnisch a tenté de remettre en cause la compétence du tribunal qui doit le juger.
Après deux bonnes heures d’audience, bien chargées, la présidente du tribunal propose une pause. « Vous devez être fatigué Monsieur Gollnisch, on va s’interrompre quelques minutes. » Le dos voûté, la démarche il est vrai un peu lente, l’ex-numéro deux du Front national (devenu le RN) et ancien candidat malheureux à la succession de Jean-Marie Le Pen rassure le tribunal sur sa forme : « Vous savez à l’Assemblée nationale, je suis déjà resté debout beaucoup, beaucoup plus longtemps. » Petits rires étouffés dans la salle.
Depuis le début du procès des assistants parlementaires du FN devant le tribunal correctionnel de Paris, le lundi 30 septembre, Bruno Gollnisch, 74 ans, trépignait sur le banc des prévenus, parlant parfois à haute voix sans y être invité, demandant la parole de façon impromptue, marmonnant.
Ce mardi 8 octobre, le voilà enfin à la barre, et comme prévu, l’ancien député parle beaucoup, se défendant avec acharnement. Mais la logorrhée juridique de l’ancien professeur de droit public, teintée de mauvaise foi, est bien souvent indigeste ou hors sujet.
https://www.nouvelobs.com/justice/20241 ... bunal.html
Où là ce sera l'application des textes du code pénal et non l'interprétation qui en est faite
Pour info par le passé alors que condamné en première et seconde instance à propos de racisme , il avait été relaxé en cassation
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... f8d5356897
Une carrière a enseigner le droit rend plus compétent que ceux qui vous jugent
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Ça y est vous avez craqué !vivarais a écrit : ↑09 octobre 2024 08:37Il a quand même donné un cours magistral en droit à tous les magistrats présents sur ce que sera les conclusions lorsque cela sera examiné en cassationCorvo a écrit : ↑09 octobre 2024 07:47 Bruno fait son show.
Au procès du RN, la (mauvaise) leçon de droit de Bruno Gollnisch : « Madame la présidente, vous devriez vous rallier à mon avis, cela économiserait du travail à votre tribunal »
Récit A la barre ce mardi, l’ancienne figure du parti d’extrême droite Bruno Gollnisch a tenté de remettre en cause la compétence du tribunal qui doit le juger.
Après deux bonnes heures d’audience, bien chargées, la présidente du tribunal propose une pause. « Vous devez être fatigué Monsieur Gollnisch, on va s’interrompre quelques minutes. » Le dos voûté, la démarche il est vrai un peu lente, l’ex-numéro deux du Front national (devenu le RN) et ancien candidat malheureux à la succession de Jean-Marie Le Pen rassure le tribunal sur sa forme : « Vous savez à l’Assemblée nationale, je suis déjà resté debout beaucoup, beaucoup plus longtemps. » Petits rires étouffés dans la salle.
Depuis le début du procès des assistants parlementaires du FN devant le tribunal correctionnel de Paris, le lundi 30 septembre, Bruno Gollnisch, 74 ans, trépignait sur le banc des prévenus, parlant parfois à haute voix sans y être invité, demandant la parole de façon impromptue, marmonnant.
Ce mardi 8 octobre, le voilà enfin à la barre, et comme prévu, l’ancien député parle beaucoup, se défendant avec acharnement. Mais la logorrhée juridique de l’ancien professeur de droit public, teintée de mauvaise foi, est bien souvent indigeste ou hors sujet.
https://www.nouvelobs.com/justice/20241 ... bunal.html
Où là ce sera l'application des textes du code pénal et non l'interprétation qui en est faite
Pour info par le passé alors que condamné en première et seconde instance à propos de racisme , il avait été relaxé en cassation
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... f8d5356897
Une carrière a enseigner le droit rend plus compétent que ceux qui vous jugent
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
ne vendez pas trop la peau de l'ours avant de l'avoir tué.vivarais a écrit : ↑09 octobre 2024 08:37Il a quand même donné un cours magistral en droit à tous les magistrats présents sur ce que sera les conclusions lorsque cela sera examiné en cassationCorvo a écrit : ↑09 octobre 2024 07:47 Bruno fait son show.
Au procès du RN, la (mauvaise) leçon de droit de Bruno Gollnisch : « Madame la présidente, vous devriez vous rallier à mon avis, cela économiserait du travail à votre tribunal »
Récit A la barre ce mardi, l’ancienne figure du parti d’extrême droite Bruno Gollnisch a tenté de remettre en cause la compétence du tribunal qui doit le juger.
Après deux bonnes heures d’audience, bien chargées, la présidente du tribunal propose une pause. « Vous devez être fatigué Monsieur Gollnisch, on va s’interrompre quelques minutes. » Le dos voûté, la démarche il est vrai un peu lente, l’ex-numéro deux du Front national (devenu le RN) et ancien candidat malheureux à la succession de Jean-Marie Le Pen rassure le tribunal sur sa forme : « Vous savez à l’Assemblée nationale, je suis déjà resté debout beaucoup, beaucoup plus longtemps. » Petits rires étouffés dans la salle.
Depuis le début du procès des assistants parlementaires du FN devant le tribunal correctionnel de Paris, le lundi 30 septembre, Bruno Gollnisch, 74 ans, trépignait sur le banc des prévenus, parlant parfois à haute voix sans y être invité, demandant la parole de façon impromptue, marmonnant.
Ce mardi 8 octobre, le voilà enfin à la barre, et comme prévu, l’ancien député parle beaucoup, se défendant avec acharnement. Mais la logorrhée juridique de l’ancien professeur de droit public, teintée de mauvaise foi, est bien souvent indigeste ou hors sujet.
https://www.nouvelobs.com/justice/20241 ... bunal.html
Où là ce sera l'application des textes du code pénal et non l'interprétation qui en est faite
Pour info par le passé alors que condamné en première et seconde instance à propos de racisme , il avait été relaxé en cassation
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... f8d5356897
Une carrière a enseigner le droit rend plus compétent que ceux qui vous jugent
c'est peut être l'inverse qui va se produire, les documents à charge sont là, et les esbroufes (hors sujet) de cette racaille ne sont que cosmétiques et ça les juges le savent.
le théatre, les juges savent aussi l'arrêter.
Appel à participation pour le forum
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
"nul bien sans peine".....
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Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
On ne se débarrasse pas d'un procès ..
Quand la justice se donne la peine ..
ça tient jusqu'au verdict ..
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La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
On sent la mauvaise foi du RN dès le début du procès :
- victimisation de la principale accusée qui se plaint d'une soit-disante vengeance de l'Union Européenne
- demande de report du procès par les avocats des accusés
- demi-aveux de certains des accusés tel que le garde du corps de Jean-Marie Le Pen
- Bruno Goldmisch, donneur de leçon au jury du tribunal
Il n'y a pas à dire, mais le RN renforce ma conviction qu'il y a bien eu emplois fictifs à grande échelle au sein du RN et que ce parti multiplie les escouades pour tenter de se tirer d'affaire. Que ce parti continue ainsi car il s'enfonce de jour en jour dans la mauvaise foi et ses contradictions, cela finira par peser lourd dans le verdict.
- victimisation de la principale accusée qui se plaint d'une soit-disante vengeance de l'Union Européenne
- demande de report du procès par les avocats des accusés
- demi-aveux de certains des accusés tel que le garde du corps de Jean-Marie Le Pen
- Bruno Goldmisch, donneur de leçon au jury du tribunal
Il n'y a pas à dire, mais le RN renforce ma conviction qu'il y a bien eu emplois fictifs à grande échelle au sein du RN et que ce parti multiplie les escouades pour tenter de se tirer d'affaire. Que ce parti continue ainsi car il s'enfonce de jour en jour dans la mauvaise foi et ses contradictions, cela finira par peser lourd dans le verdict.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
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Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Patchouli38 a écrit : ↑09 octobre 2024 09:44 On sent la mauvaise foi du RN dès le début du procès :
- victimisation de la principale accusée qui se plaint d'une soit-disante vengeance de l'Union Européenne
- demande de report du procès par les avocats des accusés
- demi-aveux de certains des accusés tel que le garde du corps de Jean-Marie Le Pen
- Bruno Goldmisch, donneur de leçon au jury du tribunal
Il n'y a pas à dire, mais le RN renforce ma conviction qu'il y a bien eu emplois fictifs à grande échelle au sein du RN et que ce parti multiplie les escouades pour tenter de se tirer d'affaire. Que ce parti continue ainsi car il s'enfonce de jour en jour dans la mauvaise foi et ses contradictions, cela finira par peser lourd dans le verdict.
Mais le RN n'a jamais nié que ses assistants parlementaires ont contribué comme pour l'ensemble de tous les autres formations politiques à des tâches internes au parti. Il n'y a aucune contradictions, la défense du RN ne porte pas sur la réalité de ces faits mais sur la latitude d'utilisation de ces emplois.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
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Re: Le procès du Front National et de Marine le pen commence aujourd'hui.
Et les malversations qui vont avec .gare au gorille a écrit : ↑09 octobre 2024 14:45Patchouli38 a écrit : ↑09 octobre 2024 09:44 On sent la mauvaise foi du RN dès le début du procès :
- victimisation de la principale accusée qui se plaint d'une soit-disante vengeance de l'Union Européenne
- demande de report du procès par les avocats des accusés
- demi-aveux de certains des accusés tel que le garde du corps de Jean-Marie Le Pen
- Bruno Goldmisch, donneur de leçon au jury du tribunal
Il n'y a pas à dire, mais le RN renforce ma conviction qu'il y a bien eu emplois fictifs à grande échelle au sein du RN et que ce parti multiplie les escouades pour tenter de se tirer d'affaire. Que ce parti continue ainsi car il s'enfonce de jour en jour dans la mauvaise foi et ses contradictions, cela finira par peser lourd dans le verdict.
Mais le RN n'a jamais nié que ses assistants parlementaires ont contribué comme pour l'ensemble de tous les autres formations politiques à des tâches internes au parti. Il n'y a aucune contradictions, la défense du RN ne porte pas sur la réalité de ces faits mais sur la latitude d'utilisation de ces emplois.
Quand on voit que le père lepen s’est payé du vin et des putes avec…
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"nul bien sans peine".....
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