Patchouli38 a écrit : ↑18 décembre 2024 12:39
papibilou a écrit : ↑18 décembre 2024 12:12
Dans ma vie professionnelle, il m'est arrivé d'avoir des services qui dépendaient de moi dispersés dans toute la France ( Nantes, Lyon, Paris Metz, Toulouse et Montpellier ). Si j'avais le temps je me déplacais dans un, mais pour parler à tous je faisais des vidéoconférences. Est ce si compliqué de voir et parler à distance ? Conclusion, Bayrou serait bien inspiré à l'avenir de découvrir cette technologie déjà ancienne. Il gagnerait du temps et de l'argent.
Et bien justement, il était en visioconférence avec le Président sur place et son équipe : "Mais cette réunion locale suivait immédiatement celle, à Paris, de la cellule de crise sur la situation à Mayotte après le passage meurtrier du cyclone Chido, présidée par Emmanuel Macron et
à laquelle le chef du gouvernement a donc assisté par visioconférence.".
https://www.20minutes.fr/politique/4129 ... au-mayotte
Malgré les justifications de F. Bayrou, les oppositions se gardent bien de retenir le choix du 1er Ministre d'utiliser la visioconférence.
De dire qu'il se fiche de Mayotte car il n'a pas mis les pieds là-bas est tout simplement inadmissible. F. Bayrou doit construire son gouvernement au plus vite afin de reprendre les rênes de la gestion de la France.
Qu'aurait-il fait de plus à Mayotte, rien.
Oui oui bien sûr Charles.
Je vous signale entre autre que les députés vont prendre 3 semaines de congés.
Le discours de politique générale ben c'est pour mi janvier.
Non non. Dormez tranquillement braves gens, tout va bien se passer.
Pas de gvt. Pas de budget, des milliers de morts à Mayotte et u. 1er ministre qui se fait chahuter dans son propre fief....
Entendu ce matin, hidalgo, la reine de Paris a dépensé 30 000 euros en frais de téléphone lors de son escapade à thaiti....
Tout va bien.
On nous prend pour des cons et vous applaudissez, vous défendez l'indéfendable.
Ben au final je trouve qu'ils devraient vous en piquer le triple !
La seule chose qui permet au mal de triompher est l inaction des hommes de bien.
Edmund Burke.