Politique anti-discrimination: lettre envoyée aux entreprises françaises

[Yaroslav]

Des politiques de quotas par rapport à l'embauche, je ne crois pas qu'il en existe beaucoup en Europe.

Il y en a pour les personnes handicapées, qui sont d'ailleurs reconnues par la loi française.
Donc les entreprises concernées seraient sans doute amenées à ne plus embaucher de personnes handicapées pour faire plaisir à Trump.

Je pense qu'il y a des entreprises qui fixent des quotas minimums de femmes pour certains de leurs postes.

Sinon, je ne vois aucune entreprise, en France et dans l'immense majorité des pays européens, fixer des quotas basés sur l'ethnie, la religion ou les orientations sexuelles. Ces dispositifs n'existent pas en France.

Par contre, il y a des initiatives dans les entreprises pour prôner l'égalité et l'inclusion (sans parler de critères d'embauche).
Ces actions visant à lutter contre les discriminations sont-elles concernées par l'offensive réactionnaire de Trump à l'international ?

[Pierre30]

Je crois avoir mis un adjectif: " outrancier". Une politique de discrimination positive n'est pas forcément outrancière.

Bien sûr que si. Pendant 40 ans de vie professionnelle comme cadre, j'ai vu des carrières très belles se faire sur des critères d'appartenance politiques (PS, EELV) , syndicaux (CFDT), communautaires religieux (juifs, protestants, musulmans) ou communautaires autres (franc-maçons, LGBT, féministes). Cela va d'ailleurs assez souvent ensemble.
Pour moi, conservateur RPR/UMP/LR un peu raide, j'ai du me battre pour être promu jusqu'à un rang assez élevé. Je n'avais pas choisi la bonne boîte au départ, les bons wagons), je ne travaille pas chez Bolloré ou Michelin.
Le résultat est que les états-majors de nos grands groupes sont surchargés d'incompétents, de gens de salons parisiens, de filous qui d'ailleurs se battent entre eux comme des crabes dans un panier. Il y un coût très lourd associé.
Chaque semaine il y a dans nos grands groupes des événements transversaux au delà des nécessaires journées "séminaires cadres dirigeants" , "journées tech", "journées sécurité", "journées cybersécurité". En plus , semaines"diversité", "biodiversité", "climat", "des femmes", "inclusion LGBT" , "handicapés". Et cela occupe du monde et coûte un pignon de dingue.
Le mouvement inverse a commencé aux USA il y a 2 ou 3 ans, les conseils d'administration et les assemblées générales d'actionnaires ont commencé à rappeler que l'objet social d'un groupe coté en bourse est de gagner de l'argent, et que toutes ces dépenses se font aux frais de l'actionnaire. Trump s'est engouffré dans la brèche. Le phénomène est en train de traverser l'Atlantique.

La bagarre pour les postes existe partout. Il se crée des réseaux naturellement. Dans ma boîte on appelle ça des mafias ! Anciens de telle école... Ces réseaux sont même parfois basés sur l'origine géographique . Mais il ne s'agit pas du tout de discrimination positive et je ne crois pas que ça se passe de façon différente aux USA dans les boîtes privées.
La particularité chez nous, c'est que l'état se mêle de nommer le dirigeant dans certaine grosses boîtes comme EDF. Mais la politique joue probablement aussi aux USA.

Quant à la sensibilisation sur les thèmes sociaux, c'est une façon d'améliorer l'image de la boîte auprès du public (clients, actionnaires) et surtout pour attirer les salariés. Une boîte d'assurance, c'est pas très sexy pour attirer les jeunes, par exemple. Alors tout est bon ...

[vivarais]

Bien sûr que si. Pendant 40 ans de vie professionnelle comme cadre, j'ai vu des carrières très belles se faire sur des critères d'appartenance politiques (PS, EELV) , syndicaux (CFDT), communautaires religieux (juifs, protestants, musulmans) ou communautaires autres (franc-maçons, LGBT, féministes). Cela va d'ailleurs assez souvent ensemble.
Pour moi, conservateur RPR/UMP/LR un peu raide, j'ai du me battre pour être promu jusqu'à un rang assez élevé. Je n'avais pas choisi la bonne boîte au départ, les bons wagons), je ne travaille pas chez Bolloré ou Michelin.
Le résultat est que les états-majors de nos grands groupes sont surchargés d'incompétents, de gens de salons parisiens, de filous qui d'ailleurs se battent entre eux comme des crabes dans un panier. Il y un coût très lourd associé.
Chaque semaine il y a dans nos grands groupes des événements transversaux au delà des nécessaires journées "séminaires cadres dirigeants" , "journées tech", "journées sécurité", "journées cybersécurité". En plus , semaines"diversité", "biodiversité", "climat", "des femmes", "inclusion LGBT" , "handicapés". Et cela occupe du monde et coûte un pignon de dingue.
Le mouvement inverse a commencé aux USA il y a 2 ou 3 ans, les conseils d'administration et les assemblées générales d'actionnaires ont commencé à rappeler que l'objet social d'un groupe coté en bourse est de gagner de l'argent, et que toutes ces dépenses se font aux frais de l'actionnaire. Trump s'est engouffré dans la brèche. Le phénomène est en train de traverser l'Atlantique.

La bagarre pour les postes existe partout. Il se crée des réseaux naturellement. Dans ma boîte on appelle ça des mafias ! Anciens de telle école... Ces réseaux sont même parfois basés sur l'origine géographique . Mais il ne s'agit pas du tout de discrimination positive et je ne crois pas que ça se passe de façon différente aux USA dans les boîtes privées.
La particularité chez nous, c'est que l'état se mêle de nommer le dirigeant dans certaine grosses boîtes comme EDF. Mais la politique joue probablement aussi aux USA.

Quant à la sensibilisation sur les thèmes sociaux, c'est une façon d'améliorer l'image de la boîte auprès du public (clients, actionnaires) et surtout pour attirer les salariés. Une boîte d'assurance, c'est pas très sexy pour attirer les jeunes, par exemple. Alors tout est bon ...

Vous avez raison ; lorsque l'on est issu d'une grande école on st incité par celle ci à favoriser ceux qui sont issus de la même école
il n'y a rien de mafieux car toutes les grandes école le font et à compétences égales autant favoriser les siens
Ce serait mafieux si cela favoriserait des incompétents
Mais les grandes écoles qui font ces démarches auprès des anciens ne proposent pas les canards boiteux

[Cépajuste]

Si j'ai bien compris le contenu de cette lettre
Ce n'est pas les entreprises française qui fabriquent en france et exportent aux USA (les USA n'ayant aucuns moyens de contrôle en france du CV des salariés)
Mais pour les entreprises françaises installées aux USA et uniquement pour l'accès au marché public et non privé
Alors "BOF"

Ce n'est pas évident, car la lettre n'a pas été adressée aux filiales françaises basées aux USA, mais aux sièges des groupes situés en France. Certaines entreprises françaises qui n'ont pas de filiale aux USA ont également reçu cette lettre...

[LeGrandNoir]

Si j'ai bien compris le contenu de cette lettre
Ce n'est pas les entreprises française qui fabriquent en france et exportent aux USA (les USA n'ayant aucuns moyens de contrôle en france du CV des salariés)
Mais pour les entreprises françaises installées aux USA et uniquement pour l'accès au marché public et non privé
Alors "BOF"

Ce n'est pas évident, car la lettre n'a pas été adressée aux filiales françaises basées aux USA, mais aux sièges des groupes situés en France. Certaines entreprises françaises qui n'ont pas de filiale aux USA ont également reçu cette lettre...

Ce n'est parce qu'elles n'ont pas de filiales aux USA qu'elles n'y exportent pas.

[papibilou]

Je crois avoir mis un adjectif: " outrancier". Une politique de discrimination positive n'est pas forcément outrancière.

Bien sûr que si. Pendant 40 ans de vie professionnelle comme cadre, j'ai vu des carrières très belles se faire sur des critères d'appartenance politiques (PS, EELV) , syndicaux (CFDT), communautaires religieux (juifs, protestants, musulmans) ou communautaires autres (franc-maçons, LGBT, féministes). Cela va d'ailleurs assez souvent ensemble.
Pour moi, conservateur RPR/UMP/LR un peu raide, j'ai du me battre pour être promu jusqu'à un rang assez élevé. Je n'avais pas choisi la bonne boîte au départ, les bons wagons), je ne travaille pas chez Bolloré ou Michelin.
Le résultat est que les états-majors de nos grands groupes sont surchargés d'incompétents, de gens de salons parisiens, de filous qui d'ailleurs se battent entre eux comme des crabes dans un panier. Il y un coût très lourd associé.
Chaque semaine il y a dans nos grands groupes des événements transversaux au delà des nécessaires journées "séminaires cadres dirigeants" , "journées tech", "journées sécurité", "journées cybersécurité". En plus , semaines"diversité", "biodiversité", "climat", "des femmes", "inclusion LGBT" , "handicapés". Et cela occupe du monde et coûte un pignon de dingue.
Le mouvement inverse a commencé aux USA il y a 2 ou 3 ans, les conseils d'administration et les assemblées générales d'actionnaires ont commencé à rappeler que l'objet social d'un groupe coté en bourse est de gagner de l'argent, et que toutes ces dépenses se font aux frais de l'actionnaire. Trump s'est engouffré dans la brèche. Le phénomène est en train de traverser l'Atlantique.

Ne pas confondre la discrimination positive qui consiste à favoriser l'ascension des personnes appartenant à une communauté ou un groupe moins favorisé, tels que Noirs, femmes, homosexuels etc ... avec l'utilisation souvent abusive des réseaux qui permettent au contraire à des personnes appartenant à des réseaux prééminents d'accéder à des postes de responsabilités pour lesquelles ils ne sont pas suffisamment mis en concurrence avec d'autres candidats potentiels. Ainsi on peut regretter que sur l'ensemble du CAC 40 seule une entreprise, Orange, soit dirigée par une femme (et c'est seulement parce que cette femme a été nommée par l'Elysée.

[UBUROI]

Bien sûr que si. Pendant 40 ans de vie professionnelle comme cadre, j'ai vu des carrières très belles se faire sur des critères d'appartenance politiques (PS, EELV) , syndicaux (CFDT), communautaires religieux (juifs, protestants, musulmans) ou communautaires autres (franc-maçons, LGBT, féministes). Cela va d'ailleurs assez souvent ensemble.
Pour moi, conservateur RPR/UMP/LR un peu raide, j'ai du me battre pour être promu jusqu'à un rang assez élevé. Je n'avais pas choisi la bonne boîte au départ, les bons wagons), je ne travaille pas chez Bolloré ou Michelin.
Le résultat est que les états-majors de nos grands groupes sont surchargés d'incompétents, de gens de salons parisiens, de filous qui d'ailleurs se battent entre eux comme des crabes dans un panier. Il y un coût très lourd associé.
Chaque semaine il y a dans nos grands groupes des événements transversaux au delà des nécessaires journées "séminaires cadres dirigeants" , "journées tech", "journées sécurité", "journées cybersécurité". En plus , semaines"diversité", "biodiversité", "climat", "des femmes", "inclusion LGBT" , "handicapés". Et cela occupe du monde et coûte un pignon de dingue.
Le mouvement inverse a commencé aux USA il y a 2 ou 3 ans, les conseils d'administration et les assemblées générales d'actionnaires ont commencé à rappeler que l'objet social d'un groupe coté en bourse est de gagner de l'argent, et que toutes ces dépenses se font aux frais de l'actionnaire. Trump s'est engouffré dans la brèche. Le phénomène est en train de traverser l'Atlantique.

Ce que tu décris c'est le"réseautage", les "entre soi".
La discrimination positive ne concerne en France que l'inclusion des handicapés et l'égalité de rémunération et la présence dans les CA des femmes.
Point barre.
Quant aux USA et Trump, belle réussite que son cercle rapproché de patrons des ministères recruté par copinage et népotisme où l'incompétence le dispute à la servilité devant Néron

Écrit tôt ce matin, mais conforme à ce qu'est la France.
Quant aux minorités qui peuvent justifier d' éléments objectifs de discrimination, par exemple, aux USA, ce fait scandaleux d'avoir virer manu militari les transgenres de certains emplois fédéraux, les syndicats comme le mien seraient descendus dans la rue pour les défendre.
Mais nous avons la chance d'avoir en France des relations sociales, malgré les difficultés, de grande qualité, efficaces, réactives, grâce à un ensemble de structures associatives, "para-publiques" comme certaines de nos agences que la droite voue aux gémonies, et les syndicats représentés dans tous les secteurs prof...
Le "wokisme" comme l'"islamo gauchisme" sont des épouvantails pour neuneus réac, bigotins, identitaires etc...

Ce qui a été vraiment "épouvantable", pauvres gens, c'est l'omerta qui a entouré depuis 200 ans les scandales des établissements confessionnels catholiques. Et ça, mon pauvre Blanquer, on t'a pas entendu!

[vivarais]

Ce que tu décris c'est le"réseautage", les "entre soi".
La discrimination positive ne concerne en France que l'inclusion des handicapés et l'égalité de rémunération et la présence dans les CA des femmes.
Point barre.
Quant aux USA et Trump, belle réussite que son cercle rapproché de patrons des ministères recruté par copinage et népotisme où l'incompétence le dispute à la servilité devant Néron

Écrit tôt ce matin, mais conforme à ce qu'est la France.
Quant aux minorités qui peuvent justifier d' éléments objectifs de discrimination, par exemple, aux USA, ce fait scandaleux d'avoir virer manu militari les transgenres de certains emplois fédéraux, les syndicats comme le mien seraient descendus dans la rue pour les défendre.
Mais nous avons la chance d'avoir en France des relations sociales, malgré les difficultés, de grande qualité, efficaces, réactives, grâce à un ensemble de structures associatives, "para-publiques" comme certaines de nos agences que la droite voue aux gémonies, et les syndicats représentés dans tous les secteurs prof...
Le "wokisme" comme l'"islamo gauchisme" sont des épouvantails pour neuneus réac, bigotins, identitaires etc...

Ce qui a été vraiment "épouvantable", pauvres gens, c'est l'omerta qui a entouré depuis 200 ans les scandales des établissements confessionnels catholiques. Et ça, mon pauvre Blanquer, on t'a pas entendu!

Tous comme l'es images d'Epinal sur le RN que l'on brandit en croquemitaines et que vous faites si bien en boucle
Mais des neuneus à part celui qui en parle (pensant pouvoir faire gober des choses ) il n'y en a pas
Chacun à son propre avis par constat personnel comme le neuneu

[Victor]

Toutes ces politiques de discrimination positive sont terrifiantes.
Elles sont à l'opposé de nos valeurs, c'est à dire à la méritocratie républicaine.
Promouvoir ou embaucher des personnes non pas en fonction de leur expérience ou de leur compétence mais en fonction de leur couleur de peau, de leur sexe, de leur religion ou de je ne sais quoi d'autre .. Comment peut-on se dire républicain et défendre ce genre de choses ???

[mic43121]

Toutes ces politiques de discrimination positive sont terrifiantes.
Elles sont à l'opposé de nos valeurs, c'est à dire à la méritocratie républicaine.
Promouvoir ou embaucher des personnes non pas en fonction de leur expérience ou de leur compétence mais en fonction de leur couleur de peau, de leur sexe, de leur religion ou de je ne sais quoi d'autre .. Comment peut-on se dire républicain et défendre ce genre de choses ???

Mais non Victor tu cherches une secrétaire ..
Tu as le choix .;entre un canon avec de gros nibards et une femme quelconque avec le même diplôme ..
Si c'est ta bonne femme qui choisit elle va prendre la deuxième
Mais si c'est toi qui louche sur les ballons ..

[Victor]

Toutes ces politiques de discrimination positive sont terrifiantes.
Elles sont à l'opposé de nos valeurs, c'est à dire à la méritocratie républicaine.
Promouvoir ou embaucher des personnes non pas en fonction de leur expérience ou de leur compétence mais en fonction de leur couleur de peau, de leur sexe, de leur religion ou de je ne sais quoi d'autre .. Comment peut-on se dire républicain et défendre ce genre de choses ???

Mais non Victor tu cherches une secrétaire ..
Tu as le choix .;entre un canon avec de gros nibards et une femme quelconque avec le même diplôme ..
Si c'est ta bonne femme qui choisit elle va prendre la deuxième
Mais si c'est toi qui louche sur les ballons ..

ça dépend.
Si je dois absolument améliorer mon image auprès des bien-pensants, je choisirais une noire, sans-papier, ancienne femme de ménage exploitée.
Là j'aurais tout bon.

[Yaroslav]

Toutes ces politiques de discrimination positive sont terrifiantes.
Elles sont à l'opposé de nos valeurs, c'est à dire à la méritocratie républicaine.
Promouvoir ou embaucher des personnes non pas en fonction de leur expérience ou de leur compétence mais en fonction de leur couleur de peau, de leur sexe, de leur religion ou de je ne sais quoi d'autre .. Comment peut-on se dire républicain et défendre ce genre de choses ???

Ces politiques n'existent pas en Europe, ou peu.
Mais vous occultez volontairement le fait que lorsque ces politiques existent, elles relèvent de systèmes de compensation.
Les femmes et les minorités ne sont pas naturellement embauchées à hauteur de leur expérience et de leur compétence, tout le problème vient de là.
Les quotas visent à obtenir artificiellement les promotions et les embauches qui se pratiqueraient si les discriminations naturelles sur le sexe, les origines, les orientations n'existaient pas.
Cela dit, Mic a raison, il y a d'autres critères "injustes" de sélection. En particulier les beaux gosses et les belles filles ont naturellement bien plus de chances d'obtenir un emploi ou une promotion, toutes choses égales par ailleurs.

[Victor]

Toutes ces politiques de discrimination positive sont terrifiantes.
Elles sont à l'opposé de nos valeurs, c'est à dire à la méritocratie républicaine.
Promouvoir ou embaucher des personnes non pas en fonction de leur expérience ou de leur compétence mais en fonction de leur couleur de peau, de leur sexe, de leur religion ou de je ne sais quoi d'autre .. Comment peut-on se dire républicain et défendre ce genre de choses ???

Ces politiques n'existent pas en Europe, ou peu.
Mais vous occultez volontairement le fait que lorsque ces politiques existent, elles relèvent de systèmes de compensation.
Les femmes et les minorités ne sont pas naturellement embauchées à hauteur de leur expérience et de leur compétence, tout le problème vient de là.
Les quotas visent à obtenir artificiellement les promotions et les embauches qui se pratiqueraient si les discriminations naturelles sur le sexe, les origines, les orientations n'existaient pas.
Cela dit, Mic a raison, il y a d'autres critères "injustes" de sélection. En particulier les beaux gosses et les belles filles ont naturellement bien plus de chances d'obtenir un emploi ou une promotion, toutes choses égales par ailleurs.

Elles existent, malheureusement, dans toutes les grandes entreprises. Elles affichent toutes clairement ces politiques "inclusives" dans toutes leurs communications.
Il n'y a que les PME qui font encore comme elles veulent.

[Patchouli38]

Ces politiques n'existent pas en Europe, ou peu.
Mais vous occultez volontairement le fait que lorsque ces politiques existent, elles relèvent de systèmes de compensation.
Les femmes et les minorités ne sont pas naturellement embauchées à hauteur de leur expérience et de leur compétence, tout le problème vient de là.
Les quotas visent à obtenir artificiellement les promotions et les embauches qui se pratiqueraient si les discriminations naturelles sur le sexe, les origines, les orientations n'existaient pas.
Cela dit, Mic a raison, il y a d'autres critères "injustes" de sélection. En particulier les beaux gosses et les belles filles ont naturellement bien plus de chances d'obtenir un emploi ou une promotion, toutes choses égales par ailleurs.

Elles existent, malheureusement, dans toutes les grandes entreprises. Elles affichent toutes clairement ces politiques "inclusives" dans toutes leurs communications.
Il n'y a que les PME qui font encore comme elles veulent.

Je possède une reconnaissance RQTH et je l'indiquais dans mon CV. On m'a conseillé de le supprimer car les préjugés étaient et sont encore présents dans notre société. Ainsi, si vous mettez RQTH, certaines entreprises pensent de suite aux dépenses à effectuer pour aménager le poste, alors que certains handicaps n'ont pas besoin d'aménagement.
De ce fait, un taux d'embauche a été instauré car les personnes en situation de handicap subissent, encore aujourd'hui, une discrimination importante.