Au contraire, nous n'aurions plus que des juges ultra-politisés, et ce serait pire.le chimple a écrit : ↑02 avril 2025 09:42Ca aurait l'avantage de brasser la corporation à l'image des français suivant le choix de leur gouvernement et ne pas se trainer comme aujourd'hui , des magistrats politisés un max !
Normalement , c'est le peuple qui décide qui doit se présenter et doit être élu , aujourd'hui en France , ce sont les juges !
La présidence Trump, second mandat mouvementé
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Le Chimple, lui faudrait des épinards pour sa cervelle. Notre Popeye se fissure.
Le "peuple" est con, l'élite doit être diplômée et consacrée par l'élite à la sortie de leur cursus.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
C'est un Chimplet, cétou.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Non, ce n'est pas un poisson d'avril tardif. Nous sommes le 3 avril 2025 et c'est vrai, vraiment vrai : Les membres du personnel diplomatique américain en Chine ne sont plus autorisés de baiser des chinois ou des chinoises :
Land of the Free
https://www.newsweek.com/us-bans-sex-be ... rt-2054727Le gouvernement américain a promulgué une interdiction générale des relations amoureuses ou sexuelles entre le personnel du gouvernement américain et les citoyens chinois en Chine, une mesure sans précédent depuis la guerre froide, a rapporté l'Associated Press.
Quatre personnes ayant une connaissance directe des nouvelles règles ont confirmé à l'AP que la politique est entrée en vigueur en janvier, peu avant que l'ambassadeur américain Nicholas Burns ne quitte son poste à Pékin. Elle s'applique à l'ensemble du personnel diplomatique américain, aux membres de leur famille et aux sous-traitants disposant d'une habilitation de sécurité et stationnés dans les installations américaines en Chine continentale et à Hong Kong.

Land of the Free

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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Le pire n'est pas certain quand on voit la politisation de la magistrature française.LeGrandNoir a écrit : ↑03 avril 2025 00:04Au contraire, nous n'aurions plus que des juges ultra-politisés, et ce serait pire.le chimple a écrit : ↑02 avril 2025 09:42
Ca aurait l'avantage de brasser la corporation à l'image des français suivant le choix de leur gouvernement et ne pas se trainer comme aujourd'hui , des magistrats politisés un max !
Normalement , c'est le peuple qui décide qui doit se présenter et doit être élu , aujourd'hui en France , ce sont les juges !
Au contraire, je pense que l'idée du chimple est intéressante. Qu'une partie des juges soient élus ne pourrait pas faire de mal à notre système judiciaire.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Elus et sur quelle base ? Parce qu'il est sympa ? Qu'il correspond à ton idéologie ? Comment pouvez-vous élire un juge sans rien connaître de son CV ?Victor a écrit : ↑03 avril 2025 15:47Le pire n'est pas certain quand on voit la politisation de la magistrature française.LeGrandNoir a écrit : ↑03 avril 2025 00:04
Au contraire, nous n'aurions plus que des juges ultra-politisés, et ce serait pire.
Au contraire, je pense que l'idée du chimple est intéressante. Qu'une partie des juges soient élus ne pourrait pas faire de mal à notre système judiciaire.
Le Peuple est facilement manipulable et tout serait fait pour orienter son vote, par de la propagande dont l'extrême-droite est habituée.
Non, on ne change pas les règles parce qu'elles ne vous plaisent pas.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Les règles ne sont pas gravées dans le marbre.Patchouli38 a écrit : ↑03 avril 2025 15:53Elus et sur quelle base ? Parce qu'il est sympa ? Qu'il correspond à ton idéologie ? Comment pouvez-vous élire un juge sans rien connaître de son CV ?
Le Peuple est facilement manipulable et tout serait fait pour orienter son vote, par de la propagande dont l'extrême-droite est habituée.
Non, on ne change pas les règles parce qu'elles ne vous plaisent pas.
Quand un système dysfonctionne comme le notre, c'est qu'il est temps d'y faire des réformes profondes.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
le systeme ne dysfonctionne pas.Victor a écrit : ↑03 avril 2025 15:58Les règles ne sont pas gravées dans le marbre.Patchouli38 a écrit : ↑03 avril 2025 15:53
Elus et sur quelle base ? Parce qu'il est sympa ? Qu'il correspond à ton idéologie ? Comment pouvez-vous élire un juge sans rien connaître de son CV ?
Le Peuple est facilement manipulable et tout serait fait pour orienter son vote, par de la propagande dont l'extrême-droite est habituée.
Non, on ne change pas les règles parce qu'elles ne vous plaisent pas.
Quand un système dysfonctionne comme le notre, c'est qu'il est temps d'y faire des réformes profondes.
le systeme a des défaut et des qualités, comme pour tout.
la France est le 7eme pays du monde en PIB, c'est qu'il est plutôt meilleur que dans beaucoup d'autres pays.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Stellantis va supprimer temporairement 900 emplois aux Etats-Unis après les droits de douane
DETROIT (Reuters) - Le constructeur automobile Stellantis NV, maison-mère de Peugeot ou encore de Ram et Jeeps, a annoncé jeudi qu'il allait procéder au licenciement temporaire de 900 employés dans cinq de ses usines américaines, une mesure liée à la mise en pause de sa production sur deux sites au Canada et au Mexique après l'annonce de droits de douane par l'administration Trump. "Stellantis
DETROIT (Reuters) - Le constructeur automobile Stellantis NV, maison-mère de Peugeot ou encore de Ram et Jeeps, a annoncé jeudi qu'il allait procéder au licenciement temporaire de 900 employés dans cinq de ses usines américaines, une mesure liée à la mise en pause de sa production sur deux sites au Canada et au Mexique après l'annonce de droits de douane par l'administration Trump.
"Stellantis continue d'évaluer les effets des droits de douane américains récemment annoncés sur les véhicules importés et poursuivra ses échanges avec l'administration américaine sur ces changements de politique", a indiqué le directeur des opérations du groupe pour la région Amériques, Antonio Filosa, dans une lettre adressée aux employés.
"L'interruption temporaire de la production dans certaines de nos usines d'assemblage canadiennes et mexicaines figurent parmi les mesures immédiates que nous devons prendre, ce qui aura un impact sur plusieurs de nos sites américains de production de groupes motopropulseurs et d'emboutissage qui soutiennent ces activités", a-t-il précisé.
L'usine d'assemblage de Windsor, au Canada, où est fabriqué le monospace Chrysler Pacifica, sera fermée pour deux semaines et celle de Toluca, au Mexique, où sont construits la Jeep Compass et la Jeep Wagoneer S, durant le mois d'avril.
(Rédigé par Kalea Hall et David Shephardson; avec la contribution de Nora Eckert; version française Zhifan Liu, édité par Blandine Hénault)
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Matrix, monarchie et culte du QI : Curtis Yarvin, le gourou du trumpisme qui veut éteindre la démocratie
L’ingénieur informatique et blogueur «néoréactionnaire» est devenu une référence de l’extrême droite américaine, de J. D. Vance à Tucker Carlson. Ses idées ouvertement obscurantistes s’inscrivent dans le courant de pensée des «Lumières noires».
Cheveux longs et perfecto sur les épaules, on pourrait croire qu’il s’inspire de Slash, le guitariste des Guns N’Roses. Sa pensée radicale pourrait se résumer dans le titre du tout premier album du groupe américain : Appetite for Destruction. La comparaison s’arrête là entre les légendaires rockeurs et Curtis Yarvin, ingénieur informatique et blogueur «néoréactionnaire» qui irrigue le trumpisme new look, du vice-président des Etats-Unis J. D. Vance, qui dit adhérer à ses idées, à l’ex-animateur de Fox News et relais de thèses complotistes Tucker Carlson, qui l’invite dans ses shows. Curtis Yarvin, 51 ans, qui s’ébroue depuis 2020 sur sa page Gray Mirror, à laquelle ses fans peuvent s’abonner pour 100 dollars par an, veut mettre fin à la démocratie, «une expérience ratée», et prône le retour à la monarchie, mais dirigée par un entrepreneur de la Tech.
Sa philosophie ouvertement obscurantiste tient dans un concept aux accents ténébreux : les «Lumières noires» (Dark Enlightenment, en VO), inventé par le théoricien britannique Nick Land en écho aux Lumières du XVIIIe siècle, qu’il faudrait éteindre. Quelques jours avant l’investiture de Donald Trump, l’idéologue a donné un entretien au New York Times où il a déclaré ne pas croire «du tout au vote» et a estimé que l’Amérique devait surmonter sa «phobie des dictateurs». S’il est difficile de connaître son influence réelle sur les cercles de pouvoirs trumpiens, certaines de ses intuitions se révèlent aujourd’hui troublantes : le 17 janvier 2022, un mois avant l’invasion russe en Ukraine, il appelait à «donner à la Russie carte blanche sur le continent» européen.
Nouveau prophète de l’extrême droite américaine, Curtis Yarvin, que Libération a tenté de joindre en vain, vient des confins du Web viriliste. Il se fait connaître dans les années 2000 sous le pseudonyme «Mencius Moldbug», avec lequel il publie ses premières notes de blog. Ses obsessions antidémocratiques plaisent à l’Alt-Right 2.0, cette mouvance au pessimisme radical qui, sous couvert d’humour douteux, entretient des penchants racistes et antisémites.
En 2007, Curtis Yarvin publie son «argumentaire contre la démocratie : dix pilules rouges», référence explicite à la main tendue de Morpheus à Neo dans Matrix : pilule bleue, il se rendort ; pilule rouge, il accède à la vérité. Un classique de la culture complotiste en ligne, repris plus tard par Elon Musk sur Twitter (devenu X) : «Take the red pill.» Mais c’est en 2017, lorsque Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump, le cite comme référence que son nom perce dans le débat public.
Curtis Yarvin s’inscrit dans le courant du «techno-monarchisme»
En ligne, ses textes difficilement lisibles jusqu’au bout démontrent une pensée erratique. «Ce sont souvent une succession d’élucubrations invérifiables parsemées de références historiques et littéraires», observe Maya Kandel, chercheuse spécialiste des Etats-Unis. Curtis Yarvin, qui se décrit comme un «seigneur sith», tel Palpatine travaillant à la restauration de l’Empire, se vit en activiste antisystème, soit contre ce qu’il désigne la «cathédrale», prétendue alliance des médias «mainstream» et du monde universitaire «woke» à déboulonner. L’ancien étudiant à Berkeley (Californie) propose de remplacer le pouvoir démocratiquement élu par un «CEO national», un PDG qui dirigerait le pays comme une entreprise, «de façon très verticale».
Couplant puissance technologique et autoritarisme, le gourou s’inscrit ainsi dans le courant du «techno-monarchisme», variante de la broligarchie, ce groupe de milliardaires de la Tech et de la finance hostiles à l’Etat. «Yarvin Curtis est utile aux entrepreneurs de la Tech, car il offre une justification pratique aux inégalités et à l’accumulation de richesses par quelques-uns», analyse Maya Kandel. Pour lui, tous les individus ne sont pas égaux, et le régime démocratique, supposé antiméritocratique, bride les compétences intellectuelles de grands chefs d’entreprise. Son raisonnement épouse le «culte du QI» dans le monde de la Silicon Valley, relève l’historien canadien Quinn Slobodian, auteur du Capitalisme de l’apocalypse ou le rêve d’un monde sans démocratie (Seuil).
Une question : Trump est-il un bon PDG de la nation, aux yeux de Curtis Yarvin ? «Franchement, je lui donne un C-», tacle le blogueur sur Gray Mirror, le 7 mars, reconnaissant toutefois au chef d’Etat un début de mandat «sans précédent de l’échelle de Richter». Mais, poursuit-il, «il ne peut pas rester à son niveau actuel de pouvoir – qui est trop élevé pour être soutenu, mais trop bas pour réussir. Il doit continuer à faire des choses qui n’ont jamais été faites auparavant. Dès qu’il cesse d’accélérer, il se bloque et explose». Curtis Yarvin ou la fin de la démocratie à toute berzingue.
https://www.liberation.fr/idees-et-deba ... V5EDNPIGA/
L’ingénieur informatique et blogueur «néoréactionnaire» est devenu une référence de l’extrême droite américaine, de J. D. Vance à Tucker Carlson. Ses idées ouvertement obscurantistes s’inscrivent dans le courant de pensée des «Lumières noires».
Cheveux longs et perfecto sur les épaules, on pourrait croire qu’il s’inspire de Slash, le guitariste des Guns N’Roses. Sa pensée radicale pourrait se résumer dans le titre du tout premier album du groupe américain : Appetite for Destruction. La comparaison s’arrête là entre les légendaires rockeurs et Curtis Yarvin, ingénieur informatique et blogueur «néoréactionnaire» qui irrigue le trumpisme new look, du vice-président des Etats-Unis J. D. Vance, qui dit adhérer à ses idées, à l’ex-animateur de Fox News et relais de thèses complotistes Tucker Carlson, qui l’invite dans ses shows. Curtis Yarvin, 51 ans, qui s’ébroue depuis 2020 sur sa page Gray Mirror, à laquelle ses fans peuvent s’abonner pour 100 dollars par an, veut mettre fin à la démocratie, «une expérience ratée», et prône le retour à la monarchie, mais dirigée par un entrepreneur de la Tech.
Sa philosophie ouvertement obscurantiste tient dans un concept aux accents ténébreux : les «Lumières noires» (Dark Enlightenment, en VO), inventé par le théoricien britannique Nick Land en écho aux Lumières du XVIIIe siècle, qu’il faudrait éteindre. Quelques jours avant l’investiture de Donald Trump, l’idéologue a donné un entretien au New York Times où il a déclaré ne pas croire «du tout au vote» et a estimé que l’Amérique devait surmonter sa «phobie des dictateurs». S’il est difficile de connaître son influence réelle sur les cercles de pouvoirs trumpiens, certaines de ses intuitions se révèlent aujourd’hui troublantes : le 17 janvier 2022, un mois avant l’invasion russe en Ukraine, il appelait à «donner à la Russie carte blanche sur le continent» européen.
Nouveau prophète de l’extrême droite américaine, Curtis Yarvin, que Libération a tenté de joindre en vain, vient des confins du Web viriliste. Il se fait connaître dans les années 2000 sous le pseudonyme «Mencius Moldbug», avec lequel il publie ses premières notes de blog. Ses obsessions antidémocratiques plaisent à l’Alt-Right 2.0, cette mouvance au pessimisme radical qui, sous couvert d’humour douteux, entretient des penchants racistes et antisémites.
En 2007, Curtis Yarvin publie son «argumentaire contre la démocratie : dix pilules rouges», référence explicite à la main tendue de Morpheus à Neo dans Matrix : pilule bleue, il se rendort ; pilule rouge, il accède à la vérité. Un classique de la culture complotiste en ligne, repris plus tard par Elon Musk sur Twitter (devenu X) : «Take the red pill.» Mais c’est en 2017, lorsque Steve Bannon, ancien conseiller de Donald Trump, le cite comme référence que son nom perce dans le débat public.
Curtis Yarvin s’inscrit dans le courant du «techno-monarchisme»
En ligne, ses textes difficilement lisibles jusqu’au bout démontrent une pensée erratique. «Ce sont souvent une succession d’élucubrations invérifiables parsemées de références historiques et littéraires», observe Maya Kandel, chercheuse spécialiste des Etats-Unis. Curtis Yarvin, qui se décrit comme un «seigneur sith», tel Palpatine travaillant à la restauration de l’Empire, se vit en activiste antisystème, soit contre ce qu’il désigne la «cathédrale», prétendue alliance des médias «mainstream» et du monde universitaire «woke» à déboulonner. L’ancien étudiant à Berkeley (Californie) propose de remplacer le pouvoir démocratiquement élu par un «CEO national», un PDG qui dirigerait le pays comme une entreprise, «de façon très verticale».
Couplant puissance technologique et autoritarisme, le gourou s’inscrit ainsi dans le courant du «techno-monarchisme», variante de la broligarchie, ce groupe de milliardaires de la Tech et de la finance hostiles à l’Etat. «Yarvin Curtis est utile aux entrepreneurs de la Tech, car il offre une justification pratique aux inégalités et à l’accumulation de richesses par quelques-uns», analyse Maya Kandel. Pour lui, tous les individus ne sont pas égaux, et le régime démocratique, supposé antiméritocratique, bride les compétences intellectuelles de grands chefs d’entreprise. Son raisonnement épouse le «culte du QI» dans le monde de la Silicon Valley, relève l’historien canadien Quinn Slobodian, auteur du Capitalisme de l’apocalypse ou le rêve d’un monde sans démocratie (Seuil).
Une question : Trump est-il un bon PDG de la nation, aux yeux de Curtis Yarvin ? «Franchement, je lui donne un C-», tacle le blogueur sur Gray Mirror, le 7 mars, reconnaissant toutefois au chef d’Etat un début de mandat «sans précédent de l’échelle de Richter». Mais, poursuit-il, «il ne peut pas rester à son niveau actuel de pouvoir – qui est trop élevé pour être soutenu, mais trop bas pour réussir. Il doit continuer à faire des choses qui n’ont jamais été faites auparavant. Dès qu’il cesse d’accélérer, il se bloque et explose». Curtis Yarvin ou la fin de la démocratie à toute berzingue.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé

Mécréant que tu es ...
Je suis choqué ..
Toi , Patchouli , considérez que le peuple français est con ??
Bon , vous n'avez pas forcement tort , de temps en temps , 81 , 2012 ...


...C'est curieux chez les marins , le besoin de faire des phrases ...
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Oh le vilain hors sujetle chimple a écrit : ↑04 avril 2025 09:11![]()
Mécréant que tu es ...
Je suis choqué ..
Toi , Patchouli , considérez que le peuple français est con ??
Bon , vous n'avez pas forcement tort , de temps en temps , 81 , 2012 ...![]()
![]()

bon avant de reprendre, 81 à la limite, mais pauvre hollande, lui qui n'a aucune casserole au cul et qui a essuyé les plâtres de Sarkozy, tu es dur !

bon, il n'a pas eu une politique extravertie, mais au moins, il n'a pas foutu le bordel, ni fait d'emplois fictifs, ni fait de salut Nazis comme la bande à Trump.
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Je pense que la vérité , c'est que si Trump est président , c'est surtout à cause du bilan de Biden et .. de la colistière qui s'est présentée chez les démocrates .Fonck1 a écrit : ↑04 avril 2025 09:15Oh le vilain hors sujetle chimple a écrit : ↑04 avril 2025 09:11
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Mécréant que tu es ...
Je suis choqué ..
Toi , Patchouli , considérez que le peuple français est con ??
Bon , vous n'avez pas forcement tort , de temps en temps , 81 , 2012 ...![]()
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bon avant de reprendre, 81 à la limite, mais pauvre hollande, lui qui n'a aucune casserole au cul et qui a essuyé les plâtres de Sarkozy, tu es dur !
bon, il n'a pas eu une politique extravertie, mais au moins, il n'a pas foutu le bordel, ni fait d'emplois fictifs, ni fait de salut Nazis comme la bande à Trump.
Si ça avait été un Obama , je doute que Trump ait gagné , non ??
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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
le bilan de Biden est pas si mal, même si pas parfait.le chimple a écrit : ↑04 avril 2025 09:24Je pense que la vérité , c'est que si Trump est président , c'est surtout à cause du bilan de Biden et .. de la colistière qui s'est présentée chez les démocrates .Fonck1 a écrit : ↑04 avril 2025 09:15
Oh le vilain hors sujet![]()
bon avant de reprendre, 81 à la limite, mais pauvre hollande, lui qui n'a aucune casserole au cul et qui a essuyé les plâtres de Sarkozy, tu es dur !
bon, il n'a pas eu une politique extravertie, mais au moins, il n'a pas foutu le bordel, ni fait d'emplois fictifs, ni fait de salut Nazis comme la bande à Trump.
Si ça avait été un Obama , je doute que Trump ait gagné , non ??
bon il était trop vieux et s'y sont prit comme des manches, tout cela n’était pas naturel, ils ont bien chié dans la colle, c'est un fait.
mais ce n’était pas une raison pour élire un dictateur !
Si ça avait été Obama, personne ne pouvait gagner contre lui

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Re: La présidence Trump, second mandat mouvementé
Tiens...face aux rétorsions de Trump envers l'Europe et plus précisément la France, qu'aurait Fait La Pen, nouveau soutien de Trump, au pouvoir? à part se coucher?
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