Moi non plus. Ca n'empêche qu'ils viendront. Trump s'en fout parce qu'ils ne viendront pas chez lui, donc il s'en fout de la situation en Syrie, grand géostratège qu'il est, mais nous on doit suivre ce qui s'y passe car ça impactera nos sociétés.LeGrandNoir a écrit : ↑10 décembre 2024 00:19 Comme vous voulez, mais moi les chiites pro-iraniens et pro-russes je n'en veux pas.
Syrie: les djihadistes de retour
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Est anormal : la cause ayant disparu "bachar" le besoin aussi a disparuPatchouli38 a écrit : ↑10 décembre 2024 09:14 "Chute de Bachar al-Assad en Syrie : des pays européens suspendent l'examen des demandes d'asile d'exilés syriens, la France "travaille" sur la question
Le ministère de l'Intérieur français a annoncé lundi étudier la possibilité d'"une suspension des dossiers d'asile en cours provenant de Syrie".
Quel avenir pour les demandeurs d'asile syriens en Europe, au lendemain de la chute du régime de Bachar al-Assad en Syrie ? Plusieurs pays européens ont annoncé la suspension de l'examen des demandes d'asile d'exilés syriens, lundi 9 décembre. Le ministère de l'Intérieur français a, quant à lui, déclaré travailler sur "une suspension des dossiers d'asile en cours provenant de Syrie", et cherchait lundi à aboutir rapidement à une décision sur le sujet. Le haut-commissaire de l'ONU aux réfugiés, Filippo Grandi, a appelé à faire preuve "de patience et de vigilance" sur la question.
En Allemagne, pays de l'UE accueillant la plus importante diaspora syrienne, l'Office fédéral de l'immigration et des réfugiés a "décrété [lundi] un gel des décisions pour les procédures d'asile actuellement encore en cours", étant donné "l'incertitude actuelle", a déclaré la ministre de l'Intérieur, Nancy Faeser, dans un communiqué.
Le ministère britannique de l'Intérieur a également annoncé avoir "mis sur pause temporairement" l'examen des demandes d'asile de Syriens au Royaume-Uni, "le temps d'évaluer la situation actuelle". La Suisse a fait de même. Le secrétariat d'Etat aux migrations suisse a précisé n'être "actuellement pas en mesure d'examiner de manière fondée s'il existe des motifs d'asile et si l'exécution d'un renvoi est raisonnablement exigible".
Lundi, les autorités autrichiennes ont elle aussi annoncé suspendre les demandes d'asile d'exilés syriens et préparer "un programme d'expulsion". "A partir de maintenant, l'ensemble des procédures en cours vont être stoppées", a déclaré le ministère de l'Intérieur autrichien. Près de 100 000 Syriens vivent en Autriche et environ 7 000 d'entre eux sont concernés par cette décision. Le cas de ceux qui se sont déjà vu accorder l'asile va également être réexaminé, et le regroupement familial est suspendu.
"Dans ce contexte, j'ai chargé le ministère de préparer un programme de rapatriement et d'expulsion vers la Syrie", a ajouté le ministre de l'Intérieur, Gerhard Karner. "La situation politique en Syrie a fondamentalement changé, avec une soudaine accélération des événements ces derniers jours", a souligné le ministère, jugeant "important de réévaluer la situation". Le chancelier conservateur, Karl Nehammer, a durci les mesures ces dernières années face à la poussée de l'extrême droite en Autriche.
La Suède, le Danemark et la Norvège ont annoncé à leur tour suspendre l'examen des demandes d'asile syriennes lundi après-midi. "Compte tenu de la situation, il n'est tout simplement pas possible d'évaluer les motifs de protection à l'heure actuelle", a défendu Carl Bexelius, responsable des affaires juridiques à l'Office suédois des migrations. La décision suédoise sera officialisée mardi. Les autorités vont aussi suspendre les expulsions, en attendant que la situation politique s'éclaircisse en Syrie.
Au Danemark, la commission de recours des réfugiés a en outre "décidé de reporter la date limite de départ pour les personnes en mesure d'être expulsées vers la Syrie", ce qui concerne 50 cas. A l'été 2020, le pays est devenu le premier Etat de l'Union européenne à réexaminer des centaines de dossiers de réfugiés syriens, au motif que "la situation actuelle à Damas n'est plus de nature à justifier un permis de séjour ou son extension". Dans les faits, il n'y a pas eu de retour forcé de réfugiés syriens vers la Syrie."
https://www.francetvinfo.fr/monde/syrie ... 45281.html
Ils n'ont plu a fuir son oppression politique et les dangers qui vont avec
Ceux qui ont renversé bachar leur demande même de revenir pour redresser le pays
On voit que ceux qui ont trouvé refuge dans les pays voisins retournent chez eux
Pourquoi ceux qui ont trouvé refuge dans l'UE sous ce prétexte ne le feraient pas aussi
Il y a surement de syriens qui ont obtenu un visas pour un autre motif ; pour eux un retour ne les concerne pas vu que leur visas a été obtenu selon les critères qui concerne n'import quel étranger qui désire s'installer dans n'importe quel pays
j'espère que vous avez compris que cela ne concerne que les demandeurs d'asile et non ceux qui ont obtenu un visas pour une immigration utile
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Les chars israélien seraient à 20 km de Damas tandis que Tsahal aurait pris la main sur 9 villages à la frontière syrano libanaise.
Israël entend ne pas se contenter du Golan ( annexé illégalement depuis 1967 et " pour l'éternité" selon Netanyahou) ses forces occupent en plus en ce moment même une zone au delà du Golan, en territoire syrien.
Israël entend ne pas se contenter du Golan ( annexé illégalement depuis 1967 et " pour l'éternité" selon Netanyahou) ses forces occupent en plus en ce moment même une zone au delà du Golan, en territoire syrien.
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Tout à fait. Mais il est rare qu'un islamiste convaincu ( dont la tête est mise à prix plusieurs millions de dollars) devienne un démocrate.
La méfiance est de mise et Israël et les USA ont bien raison de vouloir détruire les stocks d'armes et les avions de combat syriens préventivement.
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Il y a un bon gros espace entre de la dictature islamiste et une démocratie.
En effet je ne crois pas une seule seconde qu'on débouchera sur une démocratie libérale. Perso égoïstement j'espère juste qu'on aura une dictature pas trop méchante et qui s'éloigne de la Russie pour se rapprocher de l'OTAN, vu que les turcs ont largement participé à la chute d'Assad. La Syrie étant un gros point d'appui pour la stratégie russe en Afrique rien qu'avoir un nouveau gouvernement anti-russe aura des répercutions positives à l'international.
En effet je ne crois pas une seule seconde qu'on débouchera sur une démocratie libérale. Perso égoïstement j'espère juste qu'on aura une dictature pas trop méchante et qui s'éloigne de la Russie pour se rapprocher de l'OTAN, vu que les turcs ont largement participé à la chute d'Assad. La Syrie étant un gros point d'appui pour la stratégie russe en Afrique rien qu'avoir un nouveau gouvernement anti-russe aura des répercutions positives à l'international.
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Le Golan est au plus à 60 km de Damas, et encore cela dépend de quel point de Damas qui est une grande ville. Pas étonnant que les chars de Tsahal soient en excursion dans le quartier.Once a écrit : ↑10 décembre 2024 10:09 Les chars israélien seraient à 20 km de Damas tandis que Tsahal aurait pris la main sur 9 villages à la frontière syrano libanaise.
Israël entend ne pas se contenter du Golan ( annexé illégalement depuis 1967 et " pour l'éternité" selon Netanyahou) ses forces occupent en plus en ce moment même une zone au delà du Golan, en territoire syrien.
Les israéliens pilonnent tous les sites d'armes, stockages de munitions et de matériels, minutieusement. Pas question de trop armer HTS et les autres.
Les américains pilonnent Daesh minutieusement, pas question que ceux-là reprennent trop de forces.
Je suppose que la Turquie cogne fort sur les kurdes.
Pas la joie toussa.
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Bon bah voilà, après avoir accordé l’asile à ceux a qui Bachar souhaitait des trucs pas sympa va falloir accorder l’asile à ceux qui souhaitaient ces mêmes trucs pas sympa
Mais bon dans la mesure où il nous faut accueillir les femmes afgannes et dans le même temps accueillir ceux qui font qu’elles viennent ici ........
.Mais bon , comme turcs et kurdes , ils pourront continuer à s’trucider ici, .mais avec une carte Vitale Gold 
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Ces rebelles veulent rassurer dans un premier temps, mais on peut augurer que l'instauration de la charia en Syrie fera partie de leurs projets.
Les règles de cette dernière sont incompatibles avec celles d'un régime démocratique comme l'exposait la Cour Européenne des Droits de l'Homme en 2001 :
« À l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques. La Cour relève que, lues conjointement, les déclarations en question qui contiennent des références explicites à l’instauration de la charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout. Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme, et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique, et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses. »
Les règles de cette dernière sont incompatibles avec celles d'un régime démocratique comme l'exposait la Cour Européenne des Droits de l'Homme en 2001 :
« À l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques. La Cour relève que, lues conjointement, les déclarations en question qui contiennent des références explicites à l’instauration de la charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout. Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme, et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique, et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses. »
Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Pourquoi c'est faux ?...Le président de votre parti et "sa moitié" qui ne sont visiblement pas de votre avis annoncent déjà un déferlement migratoire et les terroristes qui vont avec après la chute du "boucher de Damas".vivarais a écrit : ↑09 décembre 2024 20:09Si vous pouviez éviter de tout ramener à votre phobie quelque soit l'évènementCorvo a écrit : ↑09 décembre 2024 19:22 Réactions......
Chute de Bachar al-Assad : l’extrême droite française regrette le dictateur
La chute du régime syrien et la fuite d’Assad en Russie a provoqué un choc au sein de l’extrême droite hexagonale, du RN aux groupuscules, qui l’a soutenu depuis le début de la révolution.
Alors qu’en Syrie et à travers le monde, des milliers de ses citoyens célèbrent la fin du régime criminel de Bachar al-Assad, l’extrême droite française fait grise mine. Elle qui s’était rangée en ordre de bataille pour défendre le dictateur dès le début de la révolution en 2011, a assisté impuissante à la défaite du «boucher de Damas», dans la nuit de samedi 7 à dimanche 8 décembre, lâché par ses parrains russes et iraniens à la faveur d’une offensive éclair du groupe rebelle islamiste Hayat Tahrir al-Cham.
Marine Le Pen a longtemps défendu le régime syrien et son allié russe. En 2017, après son entrevue avec Poutine à Moscou, elle avait ainsi loué l’intervention de la Russie en Syrie «qui [avait] porté un sérieux coup au fondamentalisme». En 2015, sur LCP, elle rechignait à qualifier Assad de «barbare» et mettait en doute les centaines de milliers de morts avancés par l’Observatoire syrien des droits de l’homme ou les attaques au gaz. Cela lui permettait d’estimer que les Russes ont eu raison d’aider la Syrie contre les rebelles, qu’elle assimilait dans leur ensemble à l’Etat islamique (EI). Depuis ce week-end, la députée du Pas-de-Calais n’a pas commenté la situation en Syrie.
Alors député UMP et désormais eurodéputé RN, Thierry Mariani faisait partie des plus vigoureux défenseurs d’Assad. Il lui avait rendu visite à plusieurs reprises après le début du conflit, allant jusqu’à louer la propreté des rues de Damas ou à se prendre en photo tout sourire avec Nicolas Bay en septembre 2019 en train de déguster du vin français à Saidnaya, à deux pas de la plus terrible prison du régime, qualifiée d’«abattoir humain». Au moins a-t-il le mérite de la constance puisque, ce lundi matin, il a fustigé ceux qui se réjouissent de la chute d’Assad. «Les inconscients et les naïfs finissent toujours par devenir les alliés inconscients des islamistes et du chaos», a-t-il tweeté. En 2015, Marion Maréchal, alors députée FN, souhaitait que la France s’engage fermement au côté du dictateur. «Au FN, nous pensons qu’il faut aller encore plus loin, disait-elle sur Sud Radio. Je pense en effet qu’il faut travailler en partenariat avec ce qu’il reste de l’Etat syrien, de l’armée syrienne contre l’EI.» Oubliant au passage que c’est Bachar al-Assad qui avait sorti des prisons les jihadistes qui deviendraient les cadres de l’Etat islamique, pour discréditer la révolte populaire. Elle non plus n’a pas jugé bon de s’exprimer ce lundi.
Déconfiture du côté de la jeunesse radicale
Et que dire de Frédéric Chatillon, proche parmi les proches de Marine Le Pen et prestataire de ses campagnes présidentielles ? Par le biais de sa société de communication Riwal, il a travaillé pour le ministère du Tourisme syrien en 2009. La même entreprise avait été sollicitée par le régime de Damas trois mois après le début de la révolution, en juin 2011, pour mettre en ligne un éphémère site d’information, en réalité vecteur de propagande : infosyrie.com. En 2012, Riwal ouvre un bureau à Damas et a perçu entre 100 000 et 150 000 euros par an pour faire la réclame du dictateur syrien, comme l’avaient révélé les Panama Papers, une vaste fuite de documents juridiques et financiers. Depuis la chute du régime, Frédéric Chatillon s’est fendu de plusieurs tweets moquant les adversaires du clan Assad et a partagé un visuel où un jihadiste de l’Etat islamique se dévoile sous un déguisement du Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou.
Du côté de la jeunesse radicale d’extrême droite, l’heure est aussi à la déconfiture. «Puisqu’il faut le dire clairement : nous préférons cent fois Assad aux islamistes. Celui qui célèbre la chute d’Assad aujourd’hui se range dans le même camp que les artisans du Bataclan», a ainsi tweeté Raphaël Ayma, leader du groupuscule aixois Tenesoun et éphémère assistant parlementaire RN. Même son de cloche funeste chez Jean-Eudes Gannat, ancien leader de l’Alvarium (dissous par le ministère de l’Intérieur à l’automne 2021) et actuel chef du Mouvement Chouan, qui, dans un long message, a partagé ses souvenirs émus de son passage en Syrie en tant que membre de SOS Chrétiens d’Orient, association accusée de complicité avec le clan Assad, se qualifiant lui-même de «touriste privilégié» : «Si les Européens n’enclenchent pas un nécessaire (et nécessairement sanglant) réveil», ils seraient voués au même sort que la Syrie. «Voici donc, pour la première fois, les Arabes en avance sur nous», conclut-il. Sur un canal Telegram de suprémacistes blancs rassemblant plus de 7 000 personnes, des militants d’extrême droite se sont réjouis de l’accueil de Bachar al-Assad et de ses proches par la Russie, «une bonne nouvelle au milieu du chaos».
https://www.liberation.fr/politique/bac ... VYXUMRHPQ/
çà devient chiant : Bachar est tombé , une autre perspective s'offre au peuple syrien ; point barre
Et l'on espère que ce soit propice pour eux
les autres élucubrations médiatique et votre phobie anti RN on n'en a rien a battre
Elle gonfle déjà assez dans la politique interieure à la france
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Toujours cette collusion entre les extrêmes droites et entre l'extrême droite et les dictateurs.
Et après c'est Mélenchon l'horrible dictateur ...
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
tout autant que pour les autres partisCorvo a écrit : ↑11 décembre 2024 06:44Pourquoi c'est faux ?...Le président de votre parti et "sa moitié" qui ne sont visiblement pas de votre avis annoncent déjà un déferlement migratoire et les terroristes qui vont avec après la chute du "boucher de Damas".vivarais a écrit : ↑09 décembre 2024 20:09
Si vous pouviez éviter de tout ramener à votre phobie quelque soit l'évènement
çà devient chiant : Bachar est tombé , une autre perspective s'offre au peuple syrien ; point barre
Et l'on espère que ce soit propice pour eux
les autres élucubrations médiatique et votre phobie anti RN on n'en a rien a battre
Elle gonfle déjà assez dans la politique interieure à la france
mais votre phonie est le RN
Certains ont la phobie des souris mais ont comme animal de compagnie un hamster alors que les 2 sont de la même espèce
Pour vous c'est pareil vous avez la phobie du RN mai pas pour les autres partis qui sont exactement pareil
quand hollande approuvait la première rébellion suite au printemps arabe , dites nous quelle a été la position des leaders politique pour qui vous votez et combien de délégations parlementaires ont rencontré bachar aprés cela
Pour vous rafraichir la mémoire que vous n'avez pas des positions de chacun à l'époque
https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.html
https://www.lemonde.fr/proche-orient/ar ... _3218.html
il n'y a pas que le RN qui annonce un déferlement terroriste
Déjà la DGSI annonce avoir identifié 27 djihadistes français ; il y a tous les autres qui ont été libérés et se sont dispersés dans la nature
Et l'on se demande i les kurde ne vont pas aussi libérer tous ceux qu'ils détiennent
la crainte ne vient pa du RN mais bien du quai d'orcay
Mais vous ne captez que le dire de votre phobie et en faites écho alors que la préoccupation est générale
Les gens ne sont pas stupides comme vous le croyez mais savent ce que rapporte les infos sur le sujet
Il a même été annoncé u renforcement du contrôle aux frontières de schengen
https://www.francetvinfo.fr/monde/syrie ... 43718.html
Ce n'est pas le RN qui le dit
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l’école de guerre, craint un scénario à l’irakienne. "En mars 2003, la statue de Saddam Hussein était jetée à terre. Cela a débouché sur une guerre civile terrible en Irak, la création de Daesh, les attentats du Bataclan, de Nice, etc. Il est tout à fait possible que la chute de Damas se traduise par les mêmes conséquences", analyse-t-il.
L’organisation des nouveaux maîtres de la Syrie, HTS, est toutefois classée comme terroriste par les États-Unis et l’Union européenne.
Le RN ne fait que répéter ce qui est de l'avis général
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Il y a des témoignages de massacres a Damas et à Homs sur des supposés partisans de l'ancien régime ainsi que sur des figures de minorités religieuses, cette soit disant révolution est en train de se transformer en dictature islamiste , avec un "chef" qui communique pour rassurer les occidentaux...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne
Pierre Desproges
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Je suis assez de cet avis ..sofasurfer a écrit : ↑11 décembre 2024 09:37 Il y a des témoignages de massacres a Damas et à Homs sur des supposés partisans de l'ancien régime ainsi que sur des figures de minorités religieuses, cette soit disant révolution est en train de se transformer en dictature islamiste , avec un "chef" qui communique pour rassurer les occidentaux...
Hassad a fini de torturer , les islamistes prennent le relais ..
Je pense que les syriens n'ont pas fait le plus dur .
Juste un petit regret , que nos petits djihadistes français embastillés là bas n'aient pas été rejoindre leurs vierges

...C'est curieux chez les marins , le besoin de faire des phrases ...
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
C'est la raison pour laquelle je comprends la réaction d'un syrien réfugié en France qui ne veut surtout pas revenir dans son pays d'origine.le chimple a écrit : ↑11 décembre 2024 10:06Je suis assez de cet avis ..sofasurfer a écrit : ↑11 décembre 2024 09:37 Il y a des témoignages de massacres a Damas et à Homs sur des supposés partisans de l'ancien régime ainsi que sur des figures de minorités religieuses, cette soit disant révolution est en train de se transformer en dictature islamiste , avec un "chef" qui communique pour rassurer les occidentaux...
Hassad a fini de torturer , les islamistes prennent le relais ..
Je pense que les syriens n'ont pas fait le plus dur .
Juste un petit regret , que nos petits djihadistes français embastillés là bas n'aient pas été rejoindre leurs vierges![]()
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Re: Syrie: les djihadistes de retour
Pour l'instant on peut imaginer que les rebelles ne font que ce que font généralement des "libérateurs" quand ils prennent un pays dirigé par un oppresseur : éliminer les collabos. On a vu ça en France après la seconde guerre mondiale, pas de raison que les sbires d'Assad n'en souffrent pas de même, qu'ils aient été des fonctionnaires zélés ou des minorités associées au régime, comme les alaouites ou les chrétiens.
C'est très très moche, mais ça ne présage pas encore d'une dictature islamiste.
Et oui, on peut bien comprendre qu'un syrien qui a quitté cette région à cause de sa dangerosité ne souhaite pas y retourner maintenant. Quitter une guerre civile pour en trouver une autre qui peut aboutir à un régime islamiste répressif n'est pas franchement un choix logique.
C'est très très moche, mais ça ne présage pas encore d'une dictature islamiste.
Et oui, on peut bien comprendre qu'un syrien qui a quitté cette région à cause de sa dangerosité ne souhaite pas y retourner maintenant. Quitter une guerre civile pour en trouver une autre qui peut aboutir à un régime islamiste répressif n'est pas franchement un choix logique.