Wall Street chute fortement à la clôture, les investisseurs craignent une récession aux USA

[Fonck1]

il y a des faits en directs, et ils sont là :

[Corvo]

Commence sérieusement à yoyoter de la touffe le Donald.

Acier, aluminium, voitures : Trump attise la guerre commerciale avec le Canada, avant un énième rétropédalage
publié le 11 mars 2025 à 15h51
(mis à jour le 11 mars 2025 à 21h48)

Le président américain a annoncé mardi 10 mars le doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium à 50 % dès mercredi, avant de faire machine arrière dans la soirée.

Et Trump se dédit une nouvelle fois. Après une journée de vives tensions et de surenchères avec le Canada à la veille de l’entrée en vigueur des droits américains de douane sur l’acier et l’aluminium, le président américain a finalement fait marche arrière. Son conseiller en charge des questions commerciales, Peter Navarro, a fait savoir ce mardi 11 mars dans la soirée que le doublement de ces tarifs (de 25 à 50 %) brandit pas le président républicain ne deviendra pas réalité mercredi.

Lundi, la province canadienne de l’Ontario avait annoncé surtaxer de 25 % les exportations d’électricité vers le Michigan, le Minnesota et l’Etat de New York, une mesure frappant environ 1,5 million de foyers et d’entreprises aux Etats-Unis. En réponse, Donald Trump avait annoncé un doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium, censés donc passer à 50 % dès mercredi. Dans sa diatribe, le président américain a carrément menacé de «mettre à l’arrêt définitivement l’industrie automobile au Canada» en imposant le 2 avril de telles taxes douanières sur les voitures. Pour lui, la «seule chose sensée» pour le Canada consistait à devenir le «51e Etat américain».

Discussion «productive» et «sans doute» un retour en arrière
«Le Canada n’est pas à vendre», avait rétorqué Doug Ford, le Premier ministre de l’Ontario, la province du pays la plus peuplée. Parlant d’une attaque non provoquée, le responsable canadien a assuré que la seule solution était d’abandonner cette guerre commerciale, «parce que cela renforcera nos deux pays. Nous sommes votre plus important client, nous achetons plus de produits américains que n’importe quel autre pays dans le monde». Dans la soirée, Doug Ford a toutefois annoncé suspendre cette surtaxe de 25 % après une discussion «productive» avec le ministre américain du Commerce, Howard Lutnick, qui a accepté «de rencontrer officiellement» Doug Ford à Washington jeudi pour «discuter d’un renouvellement» de l’accord de libre-échange.

Dans la foulée, Donald Trump a annoncé qu’il allait «sans doute» revenir sur sa volonté de porter à 50 % les droits de douane. Le président américain a par ailleurs assuré que l’économie américaine n’entrera pas en récession cette année, alors que les marchés commencent à s’inquiéter de cette perspective, ajoutant qu’il n’était «pas inquiet» face à la chute des indices boursiers depuis un peu plus d’une semaine.

La semaine dernière, la guerre commerciale avec ses voisins – Canada et Mexique – semblait avoir marqué le pas : Donald Trump avait en effet suspendu jusqu’au 2 avril une large part des droits de douane sur les produits mexicains et canadiens. Mais «le Canada abuse des tarifs douaniers, et ce n’est pas nouveau, avait accusé Trump sur son réseau Truth Social lundi après les annonces de l’Ontario. Nous n’avons pas besoin de vos voitures, nous n’avons pas besoin de votre bois, nous n’avons pas besoin de votre énergie et vous allez vous en rendre compte très bientôt.»

Mercredi, Trump explique que si les Canadiens devenaient Américains, «il n’y aurait plus de droits de douane, ni rien d’autre. Les Canadiens paieraient significativement moins d’impôts, ils seraient plus en sécurité […] qu’avant.»

Depuis son retour aux affaires, le 20 janvier, l’ancien promoteur immobilier n’a de cesse de clamer son «amour» pour les droits de douane qui, selon lui, doivent permettre à la fois de rapatrier des usines aux Etats-Unis et de réduire le déficit, quitte à causer des «perturbations» financières passagères. Cet «âge d’or» protectionniste vanté par le milliardaire convainc de moins en moins les investisseurs, qui spéculent désormais sur une récession aux Etats-Unis, chose impensable il y a quelques semaines à peine.

Mis à jour : à 21h48, avec la confirmation du conseiller de Trump que les droits de douane ne doubleront pas à 50 %.

https://www.liberation.fr/international ... Q7CJDAM4E/

[Fonck1]

ayé, je pense que la bourse a sifflé la fin de la récré

[UBUROI]

Les USA méritent ils un Trump?
Oui, d'ailleurs ils l'ont voulu à + ou - 33% des inscrits...un peu comme le score de la fachosphère chez nous
Advienne que pourra !

[vivarais]

Commence sérieusement à yoyoter de la touffe le Donald.

Acier, aluminium, voitures : Trump attise la guerre commerciale avec le Canada, avant un énième rétropédalage
publié le 11 mars 2025 à 15h51
(mis à jour le 11 mars 2025 à 21h48)

Le président américain a annoncé mardi 10 mars le doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium à 50 % dès mercredi, avant de faire machine arrière dans la soirée.

Et Trump se dédit une nouvelle fois. Après une journée de vives tensions et de surenchères avec le Canada à la veille de l’entrée en vigueur des droits américains de douane sur l’acier et l’aluminium, le président américain a finalement fait marche arrière. Son conseiller en charge des questions commerciales, Peter Navarro, a fait savoir ce mardi 11 mars dans la soirée que le doublement de ces tarifs (de 25 à 50 %) brandit pas le président républicain ne deviendra pas réalité mercredi.

Lundi, la province canadienne de l’Ontario avait annoncé surtaxer de 25 % les exportations d’électricité vers le Michigan, le Minnesota et l’Etat de New York, une mesure frappant environ 1,5 million de foyers et d’entreprises aux Etats-Unis. En réponse, Donald Trump avait annoncé un doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium, censés donc passer à 50 % dès mercredi. Dans sa diatribe, le président américain a carrément menacé de «mettre à l’arrêt définitivement l’industrie automobile au Canada» en imposant le 2 avril de telles taxes douanières sur les voitures. Pour lui, la «seule chose sensée» pour le Canada consistait à devenir le «51e Etat américain».

Discussion «productive» et «sans doute» un retour en arrière
«Le Canada n’est pas à vendre», avait rétorqué Doug Ford, le Premier ministre de l’Ontario, la province du pays la plus peuplée. Parlant d’une attaque non provoquée, le responsable canadien a assuré que la seule solution était d’abandonner cette guerre commerciale, «parce que cela renforcera nos deux pays. Nous sommes votre plus important client, nous achetons plus de produits américains que n’importe quel autre pays dans le monde». Dans la soirée, Doug Ford a toutefois annoncé suspendre cette surtaxe de 25 % après une discussion «productive» avec le ministre américain du Commerce, Howard Lutnick, qui a accepté «de rencontrer officiellement» Doug Ford à Washington jeudi pour «discuter d’un renouvellement» de l’accord de libre-échange.

Dans la foulée, Donald Trump a annoncé qu’il allait «sans doute» revenir sur sa volonté de porter à 50 % les droits de douane. Le président américain a par ailleurs assuré que l’économie américaine n’entrera pas en récession cette année, alors que les marchés commencent à s’inquiéter de cette perspective, ajoutant qu’il n’était «pas inquiet» face à la chute des indices boursiers depuis un peu plus d’une semaine.

La semaine dernière, la guerre commerciale avec ses voisins – Canada et Mexique – semblait avoir marqué le pas : Donald Trump avait en effet suspendu jusqu’au 2 avril une large part des droits de douane sur les produits mexicains et canadiens. Mais «le Canada abuse des tarifs douaniers, et ce n’est pas nouveau, avait accusé Trump sur son réseau Truth Social lundi après les annonces de l’Ontario. Nous n’avons pas besoin de vos voitures, nous n’avons pas besoin de votre bois, nous n’avons pas besoin de votre énergie et vous allez vous en rendre compte très bientôt.»

Mercredi, Trump explique que si les Canadiens devenaient Américains, «il n’y aurait plus de droits de douane, ni rien d’autre. Les Canadiens paieraient significativement moins d’impôts, ils seraient plus en sécurité […] qu’avant.»

Depuis son retour aux affaires, le 20 janvier, l’ancien promoteur immobilier n’a de cesse de clamer son «amour» pour les droits de douane qui, selon lui, doivent permettre à la fois de rapatrier des usines aux Etats-Unis et de réduire le déficit, quitte à causer des «perturbations» financières passagères. Cet «âge d’or» protectionniste vanté par le milliardaire convainc de moins en moins les investisseurs, qui spéculent désormais sur une récession aux Etats-Unis, chose impensable il y a quelques semaines à peine.

Mis à jour : à 21h48, avec la confirmation du conseiller de Trump que les droits de douane ne doubleront pas à 50 %.

https://www.liberation.fr/international ... Q7CJDAM4E/

Corvo n'est ce pas vous qui vantiez que vos placements en bourse créent des emplois contrairement à mes placements en Or
On le voit avec la chute boursière spéculative non en fonction de la santé financière mais du contexte politique va détruire des centaines de milliers d'emplois voir des millions et pas qu'aux USA
Lorsque l'Amérique éternue c'et le reste du monde qui s'enrhume
Si l'on ajoute aussi le boycott d'une marque à cause uniquement de celui qui détient celle ci ; cela fait aussi des centaines de milliers d'emplois perdus
Cela se verra dans la courbe du chômage du prochain trimestre

[Fonck1]

[Corvo]

Commence sérieusement à yoyoter de la touffe le Donald.

Acier, aluminium, voitures : Trump attise la guerre commerciale avec le Canada, avant un énième rétropédalage
publié le 11 mars 2025 à 15h51
(mis à jour le 11 mars 2025 à 21h48)

Le président américain a annoncé mardi 10 mars le doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium à 50 % dès mercredi, avant de faire machine arrière dans la soirée.

Et Trump se dédit une nouvelle fois. Après une journée de vives tensions et de surenchères avec le Canada à la veille de l’entrée en vigueur des droits américains de douane sur l’acier et l’aluminium, le président américain a finalement fait marche arrière. Son conseiller en charge des questions commerciales, Peter Navarro, a fait savoir ce mardi 11 mars dans la soirée que le doublement de ces tarifs (de 25 à 50 %) brandit pas le président républicain ne deviendra pas réalité mercredi.

Lundi, la province canadienne de l’Ontario avait annoncé surtaxer de 25 % les exportations d’électricité vers le Michigan, le Minnesota et l’Etat de New York, une mesure frappant environ 1,5 million de foyers et d’entreprises aux Etats-Unis. En réponse, Donald Trump avait annoncé un doublement des droits de douane sur l’acier et l’aluminium, censés donc passer à 50 % dès mercredi. Dans sa diatribe, le président américain a carrément menacé de «mettre à l’arrêt définitivement l’industrie automobile au Canada» en imposant le 2 avril de telles taxes douanières sur les voitures. Pour lui, la «seule chose sensée» pour le Canada consistait à devenir le «51e Etat américain».

Discussion «productive» et «sans doute» un retour en arrière
«Le Canada n’est pas à vendre», avait rétorqué Doug Ford, le Premier ministre de l’Ontario, la province du pays la plus peuplée. Parlant d’une attaque non provoquée, le responsable canadien a assuré que la seule solution était d’abandonner cette guerre commerciale, «parce que cela renforcera nos deux pays. Nous sommes votre plus important client, nous achetons plus de produits américains que n’importe quel autre pays dans le monde». Dans la soirée, Doug Ford a toutefois annoncé suspendre cette surtaxe de 25 % après une discussion «productive» avec le ministre américain du Commerce, Howard Lutnick, qui a accepté «de rencontrer officiellement» Doug Ford à Washington jeudi pour «discuter d’un renouvellement» de l’accord de libre-échange.

Dans la foulée, Donald Trump a annoncé qu’il allait «sans doute» revenir sur sa volonté de porter à 50 % les droits de douane. Le président américain a par ailleurs assuré que l’économie américaine n’entrera pas en récession cette année, alors que les marchés commencent à s’inquiéter de cette perspective, ajoutant qu’il n’était «pas inquiet» face à la chute des indices boursiers depuis un peu plus d’une semaine.

La semaine dernière, la guerre commerciale avec ses voisins – Canada et Mexique – semblait avoir marqué le pas : Donald Trump avait en effet suspendu jusqu’au 2 avril une large part des droits de douane sur les produits mexicains et canadiens. Mais «le Canada abuse des tarifs douaniers, et ce n’est pas nouveau, avait accusé Trump sur son réseau Truth Social lundi après les annonces de l’Ontario. Nous n’avons pas besoin de vos voitures, nous n’avons pas besoin de votre bois, nous n’avons pas besoin de votre énergie et vous allez vous en rendre compte très bientôt.»

Mercredi, Trump explique que si les Canadiens devenaient Américains, «il n’y aurait plus de droits de douane, ni rien d’autre. Les Canadiens paieraient significativement moins d’impôts, ils seraient plus en sécurité […] qu’avant.»

Depuis son retour aux affaires, le 20 janvier, l’ancien promoteur immobilier n’a de cesse de clamer son «amour» pour les droits de douane qui, selon lui, doivent permettre à la fois de rapatrier des usines aux Etats-Unis et de réduire le déficit, quitte à causer des «perturbations» financières passagères. Cet «âge d’or» protectionniste vanté par le milliardaire convainc de moins en moins les investisseurs, qui spéculent désormais sur une récession aux Etats-Unis, chose impensable il y a quelques semaines à peine.

Mis à jour : à 21h48, avec la confirmation du conseiller de Trump que les droits de douane ne doubleront pas à 50 %.

https://www.liberation.fr/international ... Q7CJDAM4E/

Corvo n'est ce pas vous qui vantiez que vos placements en bourse créent des emplois contrairement à mes placements en Or
On le voit avec la chute boursière spéculative non en fonction de la santé financière mais du contexte politique va détruire des centaines de milliers d'emplois voir des millions et pas qu'aux USA
Lorsque l'Amérique éternue c'et le reste du monde qui s'enrhume
Si l'on ajoute aussi le boycott d'une marque à cause uniquement de celui qui détient celle ci ; cela fait aussi des centaines de milliers d'emplois perdus
Cela se verra dans la courbe du chômage du prochain trimestre

"Corvo n'est ce pas vous qui vantiez que vos placements en bourse créent des emplois contrairement à mes placements en Or"
Y'a t'il un psychiatre dans la salle ?...

[papibilou]

C'est cocasse, on retrouve les mêmes commentaire alarmistes sur les même thermes qu'il y a 8 ans...

Effectivement tout est fait pour nous présenter comme une catastrophe le mandat de Trump alors même que la situation de l'Amérique est loin d'être catastrophique malgré le fait que le président élu n'est pas celui souhaité par la pensée unique.
Je pense moi que Trump n'est pas l'homme stupide qu'on se plait à nous décrire, il n'a pas les codes du politiquement correct mais je pense qu'il a le mérite de s'être tracé un cap et d' essayer d'avancer la ou les autres sont restés immobiles.

Il est clair que c'est d'abord un businessman plus qu'un politique. Son attitude face à Zelensky a choqué, mais c'est surtout l'arrête des livraisons d'armes et l'arrêt du renseignement qui ont décidé Zelensky à courber l'échine. Mais dès que Zelensky a baissé la tête et tout accepté il a repris les livraisons d'armes et les renseignements par satellites. Il peut donc faire des aller-retours rapides et surprenants. Donc, bien entendu il n'est pas stupide. Ce n'est pas "l'honnête homme " de notre littérature, il est brutal, têtu, capable de tordre le bras même physiquement: rappelez vous la première rencontre avec Macron: ce dernier averti de l'habitude de Trump de broyer la main de l'interlocuteur ne s'est pas laissé avoir et c'est lui qui a serré encore plus fort que l'américain.
Cela dit ses premiers actes ont ils surpris ses partisans ? Sans doute pas; Or la démocratie a été respectée et même si beaucoup chez nous auraient préféré une Kamala Harris, moi compris, il faut s'incliner devant le choix des électeurs. Et s'il réussit à mettre fin rapidement à la guerre en Ukraine, même en amputant l'Ukraine d'1/5 de sa superficie, ça vaudra mieux car contrairement à l'expression " c'est de bonne guerre" il n'y a pas de bonne guerre.

[Fonck1]

s'il a autant de résultats que contre la corée du nord, peu de chances qu'il ait le moindre résultat.
de toute manière, il est tourné vers la chine, l'ukraine il s'en balance.
mais qu'il continue, ça nous fait gagner du temps.

[Mickey]

Trump n'est certainement pas seul responsable de cette chute boursière, parmi les trois qui ont perdus le plus, on trouve deux commerçants Musk qui vend des caisses hors de prix, Bezos en concurrence directe avec des sites chinois et un geek en la personne de Zuckerberg dont plus personne n'utilise son Facebook qui par ailleurs avait été surévalué lors de sa cotation.
En pleine crise économique, on achète pas de bagnoles à 50000 boules et si on trouve trois fois moins cher que sur Amazon, on ne va pas se priver.
Ce n'est pas une question de boycott mais juste du bon sens.

[Patchouli38]

Trump n'est certainement pas seul responsable de cette chute boursière, parmi les trois qui ont perdus le plus, on trouve deux commerçants Musk qui vend des caisses hors de prix, Bezos en concurrence directe avec des sites chinois et un geek en la personne de Zuckerberg dont plus personne n'utilise son Facebook qui par ailleurs avait été surévalué lors de sa cotation.
En pleine crise économique, on achète pas de bagnoles à 50000 boules et si on trouve trois fois moins cher que sur Amazon, on ne va pas se priver.
Ce n'est pas une question de boycott mais juste du bon sens.

Possible, mais quand on a à la tête des USA, un dirigeant qui avance, puis qui recule après chaque annonce, comment voulez-vous que le Bourse puisse garder confiance ? Elle a besoin de stabilité, de pouvoir viser sur le long terme, et là, avec Donald Trump et son impulsivité, c'est tout simplement impossible.

[Fonck1]

Trump n'est certainement pas seul responsable de cette chute boursière, parmi les trois qui ont perdus le plus, on trouve deux commerçants Musk qui vend des caisses hors de prix, Bezos en concurrence directe avec des sites chinois et un geek en la personne de Zuckerberg dont plus personne n'utilise son Facebook qui par ailleurs avait été surévalué lors de sa cotation.
En pleine crise économique, on achète pas de bagnoles à 50000 boules et si on trouve trois fois moins cher que sur Amazon, on ne va pas se priver.
Ce n'est pas une question de boycott mais juste du bon sens.

oui sauf que le NASDAQ et le DOWJONES ça n'est ni trump, ni musk, ni zuckerberg ou bezos.

dans BFM bourse, on trouve quelques explications :

1/ L'administration Trump prépare les Américains à des temps durs

Pour Stephen Innes, de Spi AM, l'élément déclencheur de la chute de lundi est à chercher du côté de la Maison Blanche.

"Le coupable ? Les craintes croissantes que le remaniement économique opéré par Donald Trump ne fasse dérailler le moteur de la croissance américaine et ne déclenche une récession, d'où le mouvement généralisé de repli du risque", explique-t-il.

2/ Le chaos sur les droits de douanes règne (et inquiète)

Wall Street avait accueilli avec enthousiasme la victoire de Donald Trump en novembre dernier, minimisant quelque peu les répercussions des droits de douane voulus par le président républicain et applaudissant les baisses d'impôt qu'il prévoyait.

3/ L'économie américaine se dégrade

Si l'économie américaine tient encore relativement bien la route, plusieurs indicateurs récents ont montré des signes d'essoufflement, ce qui a pesé sur les actions américaines ces dernières semaines.

4/ Les Sept Magnifiques sont dans le dur

Il est impossible d'évoquer la baisse de Wall Street sans parler du trou d'air des valeurs technologiques. En particulier des fameux "Sept magnifiques" de Wall Street, à savoir Tesla, Apple, Amazon, Nvidia, Microsoft, Meta, Alphabet.

5/ Les investisseurs préfèrent l'Europe à Wall Street

En raison des explications précédentes, une rotation des actions tech américaines et plus largement des actions américaines, s'opère depuis quelques semaines, vers les actions européennes. Les investisseurs estiment que la tech a épuisé son potentiel et cherche donc d'autres poches de valeurs, notamment sur les actions européennes, bien moins chères que les américaines.

6/La Fed a mis en pause ses baisses des taux

N'en déplaise à Donald Trump, qui a exigé des baisses de taux de la part de la Réserve fédérale américaine (Fed), les banques centrales sont indépendantes dans les économies développées.


tout cela est très bon pour nous, ne nous en privons pas.

[Patchouli38]

Trump n'est certainement pas seul responsable de cette chute boursière, parmi les trois qui ont perdus le plus, on trouve deux commerçants Musk qui vend des caisses hors de prix, Bezos en concurrence directe avec des sites chinois et un geek en la personne de Zuckerberg dont plus personne n'utilise son Facebook qui par ailleurs avait été surévalué lors de sa cotation.
En pleine crise économique, on achète pas de bagnoles à 50000 boules et si on trouve trois fois moins cher que sur Amazon, on ne va pas se priver.
Ce n'est pas une question de boycott mais juste du bon sens.

oui sauf que le NASDAQ et le DOWJONES ça n'est ni trump, ni musk, ni zuckerberg ou bezos.

dans BFM bourse, on trouve quelques explications :

1/ L'administration Trump prépare les Américains à des temps durs

Pour Stephen Innes, de Spi AM, l'élément déclencheur de la chute de lundi est à chercher du côté de la Maison Blanche.

"Le coupable ? Les craintes croissantes que le remaniement économique opéré par Donald Trump ne fasse dérailler le moteur de la croissance américaine et ne déclenche une récession, d'où le mouvement généralisé de repli du risque", explique-t-il.

2/ Le chaos sur les droits de douanes règne (et inquiète)

Wall Street avait accueilli avec enthousiasme la victoire de Donald Trump en novembre dernier, minimisant quelque peu les répercussions des droits de douane voulus par le président républicain et applaudissant les baisses d'impôt qu'il prévoyait.

3/ L'économie américaine se dégrade

Si l'économie américaine tient encore relativement bien la route, plusieurs indicateurs récents ont montré des signes d'essoufflement, ce qui a pesé sur les actions américaines ces dernières semaines.

4/ Les Sept Magnifiques sont dans le dur

Il est impossible d'évoquer la baisse de Wall Street sans parler du trou d'air des valeurs technologiques. En particulier des fameux "Sept magnifiques" de Wall Street, à savoir Tesla, Apple, Amazon, Nvidia, Microsoft, Meta, Alphabet.

5/ Les investisseurs préfèrent l'Europe à Wall Street

En raison des explications précédentes, une rotation des actions tech américaines et plus largement des actions américaines, s'opère depuis quelques semaines, vers les actions européennes. Les investisseurs estiment que la tech a épuisé son potentiel et cherche donc d'autres poches de valeurs, notamment sur les actions européennes, bien moins chères que les américaines.

6/La Fed a mis en pause ses baisses des taux

N'en déplaise à Donald Trump, qui a exigé des baisses de taux de la part de la Réserve fédérale américaine (Fed), les banques centrales sont indépendantes dans les économies développées.


tout cela est très bon pour nous, ne nous en privons pas.

En cherchant à affaiblir l'Europe, Donald Trump ne fait que la renforcer. Qu'il continue ainsi.... Dommage pour les américains qui ont voté pour un Diable déguisé en Dieu.

[Once]

Trump n'est certainement pas seul responsable de cette chute boursière,

Oui, c'est encore Biden. C'est Trump qui le dit. Même l'inflation : il l'a qualifiée "d'inflation Biden".

Non, mais "allô quoi " !

[Fonck1]

la chute a coïncidé avec son arrivée, mais sinon,ça n'a pas de liens....