Jean MOULIN meurt atrocement torturé le 8 juillet 1943
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Jean Moulin, héros de la Résistance au fascisme.
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Né à Béziers le 20 juin 1899 d’une famille d’universitaires, Jean Moulin devient Préfet de Chartres en juillet 1939.
En 1940, il fait face avec courage aux problèmes de l’exode. Frappé, emprisonné, refusant de signer une déclaration rendant injustement responsables d’atrocités des soldats sénégalais, il préfère se trancher la gorge livrant ainsi, au soir du 17 juin 1940, ce que lui-même a appelé « son premier combat ».
Jean Moulin noue des contacts avec la résistance naissante et dispersée. Il gagne Londres en 1941. Pour effectuer la coordination en zone sud des mouvements en formation, il est parachuté près de Salon-de-Provence dans la nuit du nouvel an 1942.
Dès lors, il convainc H. Frénay (Combat), E. d’Astier de la Vigerie (Libération-Sud), J.P Lévy (Franc-Tireur) de fondre leurs organisations respectives dans les Mouvements Unis de Résistance (M.U.R.).
Il crée les services clandestins communs : atterrissages, parachutages, information et presse, noyautage des administrations publiques. Il s’adjoint secrétariat, agents de liaison, opérateurs-radio, agents instructeurs. Il distribue les fonds, assure les liaisons avec Londres, coordonne les distributions d’armes et devient ainsi, sans en avoir le titre, le véritable chef de la Résistance, d’abord en zone sud puis sur l’ensemble du territoire.
De retour (en France) de Londres en février 1943, Jean Moulin préside le Comité National de la Résistance (C.N.R.).
Victime d’une trahison, il est arrêté par la Gestapo à Calluire le 21 juin 1943. Emprisonné au Fort Montluc, Lyon, transféré à Neuilly, puis au siège de la Gestapo, rue Lauriston à Paris, il est atrocement torturé sans jamais livrer un seul secret. ll meurt le 8 juillet 1943, vraisemblablement dans le train qui le conduisait en Allemagne.
Les cendres de Jean Moulin, fédérateur de la Résistance, héros national, ont été transportées au Panthéon le 19 décembre 1964.
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Source : http://partisans.ifrance.com/partis...
Jean MOULIN meurt atrocement torturé le 8 juillet 1943
Jean MOULIN meurt atrocement torturé le 8 juillet 1943
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Macron n'aime pas la démocratie. Dans une démocratie il n'y a pas d'ordonnances.
Avec macron, c'est : ""J'ordonne... tu exécutes sans discussion et vite"".
Macron n'aime pas la démocratie. Dans une démocratie il n'y a pas d'ordonnances.
Avec macron, c'est : ""J'ordonne... tu exécutes sans discussion et vite"".
Re: Jean MOULIN meurt atrocement torturé le 8 juillet 1943
J'ai une admiration sans borne pour cette personne dont je connais assez bien l'histoire ayant été 9 ans à Chartres (jusqu(au Bac) il existe dans le calvados une histoire identique, notamment à Troarn , mais apparemment le chef de réseau a parlé (mais je me garde de juger) un jeune résistant de Creully 19 ans a été fusillé à la maison d'arrêt de Caen suite aux dénonciations..Comme les 77 autres , dont beaucoup ont été victimes de la même chose et qui dénonçait si ce n'est les nobles et de Gaulle les a tous gracié ,un infamie de plusEl Lobo a écrit : ↑01 décembre 2020 00:46 Jean MOULIN meurt atrocement torturé le 8 juillet 1943
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Jean Moulin, héros de la Résistance au fascisme.
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Né à Béziers le 20 juin 1899 d’une famille d’universitaires, Jean Moulin devient Préfet de Chartres en juillet 1939.
En 1940, il fait face avec courage aux problèmes de l’exode. Frappé, emprisonné, refusant de signer une déclaration rendant injustement responsables d’atrocités des soldats sénégalais, il préfère se trancher la gorge livrant ainsi, au soir du 17 juin 1940, ce que lui-même a appelé « son premier combat ».
Jean Moulin noue des contacts avec la résistance naissante et dispersée. Il gagne Londres en 1941. Pour effectuer la coordination en zone sud des mouvements en formation, il est parachuté près de Salon-de-Provence dans la nuit du nouvel an 1942.
Dès lors, il convainc H. Frénay (Combat), E. d’Astier de la Vigerie (Libération-Sud), J.P Lévy (Franc-Tireur) de fondre leurs organisations respectives dans les Mouvements Unis de Résistance (M.U.R.).
Il crée les services clandestins communs : atterrissages, parachutages, information et presse, noyautage des administrations publiques. Il s’adjoint secrétariat, agents de liaison, opérateurs-radio, agents instructeurs. Il distribue les fonds, assure les liaisons avec Londres, coordonne les distributions d’armes et devient ainsi, sans en avoir le titre, le véritable chef de la Résistance, d’abord en zone sud puis sur l’ensemble du territoire.
De retour (en France) de Londres en février 1943, Jean Moulin préside le Comité National de la Résistance (C.N.R.).
Victime d’une trahison, il est arrêté par la Gestapo à Calluire le 21 juin 1943. Emprisonné au Fort Montluc, Lyon, transféré à Neuilly, puis au siège de la Gestapo, rue Lauriston à Paris, il est atrocement torturé sans jamais livrer un seul secret. ll meurt le 8 juillet 1943, vraisemblablement dans le train qui le conduisait en Allemagne.
Les cendres de Jean Moulin, fédérateur de la Résistance, héros national, ont été transportées au Panthéon le 19 décembre 1964.
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Source : http://partisans.ifrance.com/partis...
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