l'égalité salariale serait un mythe en temps de crise?

[Stick]

avant de parler d'équité dans les traitements, le sujet partait du postulat qu'en temps de crise, les femmes ne devaient pas prendre le boulot des hommes, et rester à la maison élever les gosses, quel progrés!!!
comme si, les femmes travaillaient par plaisir :roll:
personne n'a entendu parler des familles monoparentales

ou des couples, où le salaire de l'homme est si bas, que la femme doit y adjoindre le sien pour s'en sortir

Désolé Tisi, mais bien qu'en progrès, la population française reste fondamentalement machiste, et pas seulement du côté des hommes.
En période de crise, on se réfugie dans des réflexes primaires : trop de chômage, c'est d'abord la faute des étranges, ensuite des femmes. Vu que c'est déjà la faute des étrangers depuis pas mal d'années, maintenant que ça empire il n'y a plus que les femmes pour porter le chapeau.

C'est un réflexe, pas un réflexion.

[tisiphoné]

Désolé Tisi, mais bien qu'en progrès, la population française reste fondamentalement machiste, et pas seulement du côté des hommes.
En période de crise, on se réfugie dans des réflexes primaires : trop de chômage, c'est d'abord la faute des étranges, ensuite des femmes. Vu que c'est déjà la faute des étrangers depuis pas mal d'années, maintenant que ça empire il n'y a plus que les femmes pour porter le chapeau.

C'est un réflexe, pas un réflexion.

sauf que en période de crise ce sont ces familles là, les familles monoparentales qui souffrent le plus de la précarité, alors les vieux réflexes de machistes , faudrait voir à les gommer, nous sommes au 21ième siècle, il serait temps de prendre en compte tous les facteurs actuels.

[VERNON]

avant de parler d'équité dans les traitements, le sujet partait du postulat qu'en temps de crise, les femmes ne devaient pas prendre le boulot des hommes, et rester à la maison élever les gosses, quel progrés!!!
comme si, les femmes travaillaient par plaisir :roll:
personne n'a entendu parler des familles monoparentales
ou des couples, où le salaire de l'homme est si bas, que la femme doit y adjoindre le sien pour s'en sortir

C'est bien pour cette raison , que j'ai voulu que mes filles aient un métier bien rémunérateur , au cas où elles se feraient plaquer

[Jarod1]

sauf que en période de crise ce sont ces familles là, les familles monoparentales qui souffrent le plus de la précarité, alors les vieux réflexes de machistes , faudrait voir à les gommer, nous sommes au 21ième siècle, il serait temps de prendre en compte tous les facteurs actuels.

Combien touche une femme seule qui élève deux ou trois enfants, toutes allocations confondues ?

[dinosaure]

Combien touche une femme seule qui élève deux ou trois enfants, toutes allocations confondues ?

Pas de quoi vivre.

[Jarod1]

Pas de quoi vivre.

ça n'est pas une réponse, en tout cas, pour la collectivité, vaudrait mieux qu'elle travaille. Mais c'est vrai que c'est chiant, travailler.

[dinosaure]

ça n'est pas une réponse, en tout cas, pour la collectivité, vaudrait mieux qu'elle travaille. Mais c'est vrai que c'est chiant, travailler.

Puisque vous êtes convaincu que toutes les femmes célibataires avec trois enfants peuvent vivre sans travailler grâce aux allocations, je vous invite à nous en faire la démonstration chiffrée (les chiffres sont disponibles sur internet : RSA, allocations familiales, APL...).

Si vous pouvez établir un budget sur cette base, vous aurez certainement droit à leur reconnaissance éternelle.

Sinon, j'ai bien peur que votre affirmation ne soit dénuée de fondement. :roll:

[tisiphoné]

Combien touche une femme seule qui élève deux ou trois enfants, toutes allocations confondues ?

combien de femmes acceptent de vivre en dessous du seuil de pauvreté ?

[Stick]

combien de femmes acceptent de vivre en dessous du seuil de pauvreté ?

Combien n'ont pas le choix ?

Fonck nous dira qu'on a toujours le choix, et je ne suis pas loin d'être d'accord avec lui, sauf qu'un parent isolé, homme ou femme d'ailleurs, qui a 3 enfants à charge n'a pas forcément intérêt à travailler d'un point de vue strictement financier.
Certes, la somme des allocations et aides sociales n'est pas énorme, mais un parent isolé qui travaille, ça engendre souvent des coûts pour garder les enfants avant et/ou après l'école.
Le calcul est simple si (salaire - coût de garde d'enfant - perte d'aides) est supérieure à (allocations + aides) de façon substantielle, alors le choix de travailler existe.

[Jarod1]

Puisque vous êtes convaincu que toutes les femmes célibataires avec trois enfants peuvent vivre sans travailler grâce aux allocations, je vous invite à nous en faire la démonstration chiffrée (les chiffres sont disponibles sur internet : RSA, allocations familiales, APL...).

Si vous pouvez établir un budget sur cette base, vous aurez certainement droit à leur reconnaissance éternelle.

Sinon, j'ai bien peur que votre affirmation ne soit dénuée de fondement. :roll:

Des millions de personnes vivent en France sans travailler, le contester, c'est comme dire qu'il fait jour en pleine nuit.

[tisiphoné]

Des millions de personnes vivent en France sans travailler, le contester, c'est comme dire qu'il fait jour en pleine nuit.

vivent ou survivent?

[Jarod1]

Tout le monde n'a pas tes goûts de luxe.

[tisiphoné]

Tout le monde n'a pas tes goûts de luxe.

même pas j'imagine futilité ou luxe encore moins, mais de vivre décemment, je serais étonnée que les personnes qui vivent d'aides y arrivent, elles demeurent certainement dignes, mais à quel prix.

[Stick]

Comme disait Desproges :
« Les pauvres ont des goûts simples ; j'en connais qui n'ont même pas de magnétoscope » (aujourd'hui on dirait lecteur DVD, voire blue-ray)

[dinosaure]

Des millions de personnes vivent en France sans travailler, le contester, c'est comme dire qu'il fait jour en pleine nuit.

Incontestable :
Feignasses de retraités qui refusent de mourir poliment, branleurs de malades qui s'écoutent (cancer, sida et autres bobos), inutiles enfants en bas-âge que des lois imbéciles empêchent de travailler comme en Inde, chômeurs responsable de la délocalisation de leur entreprise en Chine ou étudiants boutonneux apprenant des choses bien inutiles alors que leur avenir est de faire cuire les frites chez Mac Donald, etc.

Ca fait un sacré paquet de fumistes, mais il faut déduire cependant les gentils rentiers façon Dassault ou Bettencourt qui sont la gloire et l'avenir de la France.

La solution la plus humaine : laisser crever de faim ou de froid tous ces inutiles.

Ah on me souffle dans l'oreillette que notre vénéré président (que Dieu l'ait en sa sainte garde) a déjà engagé le processus mais a été contrarié dans son élan par un hiver beaucoup trop clément malgré la hausse des loyers, des prix du gaz, de la nourriture, des transports ...

Allez ce sera pour l'année prochaine !

Blizzard, vous avez dit blizzard ...