pas de front républicain aux cantonales contre le FN

[tisiphoné]

Pas d'accord avec le FN mais pas d'appel à voter PS si le FN est présent au second tour.

C'est la ligne fixée à l'UMP pour les élections cantonales par Nicolas Sarkozy, selon Le Parisien.

Le chef de l'Etat, qui recevait l'équipe dirigeante du parti majoritaire à déjeuner jeudi midi à l'Elysée, a indiqué l'attitude à suivre vis-à-vis du parti d'extrême droite entre les deux tours du scrutin des 20 et 27 mars.

"Il n'y aura pas d'accords avec le Front national et on maintiendra nos candidats partout où ils pourront se maintenir", a déclaré Nicolas Sarkozy, cité par le quotidien.

Et si certains UMP dérogent à cette règle, ils seront exclus du parti, a menacé le chef de l'Etat. "On virera ceux qui appellent à voter FN!", a-t-il lancé, selon Le Parisien.

Et en cas de second tour FN/PS, le chef de l'Etat ne veut pas entendre parler d'un front républicain : il demande à ses troupes de ne pas appeler à voter pour le PS, selon le quotidien.

"On a dit pendant des années que le PS avait favorisé le FN, avec Mitterrand notamment, et maintenant on irait expliquer aux Français qu'on vote pour le PS ? Quelle est la cohérence ?", s'est-il interrogé, selon Le Figaro, en indiquant toutefois que le débat sur le sujet n'était pas clos car il fera l'objet d'une discussion au bureau politique de l'UMP.

Selon les estimations, le FN pourrait se maintenir au second tour dans au moins 150 cantons.

D'après Le Parisien, Nicolas Sarkozy a "épinglé" en le citant Gérard Larcher et -sans la citer- Nathalie Kosciusko-Morizet, qui ont déclaré qu'ils faudraient appeler à voter pour la gauche en cas de duel PS/FN au second tour.

La ministre de l'Ecologie a affirmé mardi qu'elle appellerait "clairement" à voter socialiste en cas de duel PS-FN au second tour des cantonales.

Quant au président du Sénat, il a également déclaré mercredi aux Questions d'Info LCP/FranceInfo/AFP qu'en cas de duel PS/FN au second tour des cantonales, il souhaitait "à titre personnel" un vote en faveur du PS.
NKM et Gérard Larcher ne seraient pas les seuls à partager cette opinion : la plupart des dirigeants de la majorité pensent, à l'instar du ministre chargé de la Coopération, Henri de Raincourt, "que l'UMP sera obligée d'appeler à un 'front républicain' contre le Front national", indique Le Figaro.

Nicolas Sarkozy ne semble pas sur la même ligne, que son Premier ministre. François Fillon a déclaré samedi dernier dans Le Figaro, au sujet de l'attitude de l'UMP en cas de seconds tours PS/FN : "Pour ma part, mon attitude sera sans ambiguïté, comme elle l'a toujours été: nous n'avons pas à faciliter l'ascension du Front national."

Par ailleurs, la mise au point de Nicolas Sarkozy intervient plus tôt que prévu. Mercredi, le patron de l'UMP, Jean-François Copé, a déclaré que son parti "prendrait position au soir du 1er tour" en cas de duels FN/PS aux cantonales.

De son côté, le ministre du Travail et de la Santé, Xavier Bertrand, a estimé dans le Talk Orange/Le Figaro que la question des désistements en cas de duels PS/FN au second tour des cantonales "n'est pas posée actuellement".

[Patrick_NL]

Je ne suis pas étonne, Sarko est tout sauf républicain. Cette prise de position va finir de diviser l'UMP: d'un cote les partisans d'une alliance avec le FN, de l'autre, ceux qui ont encore un peu d'amour propre et ne sont pas prêts a déjeuner avec le diable.
Nathalie Kosciusko-Morizet me parait plus respectable que le president du clan .

[Fonck1]

Bien.beau travail.
ca ne fait que représenter que sarkozy,et son parti,sont dans la même lignée que le FN.
quand on ne condamne pas,c'est que l'on cautionne,ou que l'on excuse.....dans tous les cas,c'est accepter les thèses du FN,bon gré/mal gré.

[Patrick_NL]

On virera ceux qui appellent à voter FN!", a-t-il lancé, selon Le Parisien.

Publié le Mardi 26 octobre 2010
Christian Vanneste a fait son coming out en prônant l’idée d’une alliance honteuse et contre nature entre le Centre, l’UMP et le Front national
Si Sarko est coherent, il doit virer C.V., comme l'avait d'ailleurs deemander Rama Yade en son temps.

[Patrick_NL]

François Hollande a un nouveau sketch de campagne : "Moi, j'ai parcouru toute la France, dans un seul but : chercher un candidat de droite", a-t-il lancé à Toulon, le 2 mars, comme lors d'autres meetings. Cette accroche ironique sert d'introduction à un couplet centré sur les candidats aux cantonales qui cachent leur appartenance à l'UMP. Et ne font pas référence à Nicolas Sarkozy.

PAS DE FRONT REPUBLICAIN, faute de candidats UMP.

[2strass]

Bien.beau travail.
ca ne fait que représenter que sarkozy,et son parti,sont dans la même lignée que le FN.
quand on ne condamne pas,c'est que l'on cautionne,ou que l'on excuse.....dans tous les cas,c'est accepter les thèses du FN,bon gré/mal gré.

Ben, ........... oui, entre le choix de Martine et Marine

Vu que ce cher DSK et HS............. (encore un pourrit )

Dominique Strauss-Kahn
http://www.lecri.fr/2011/02/27/dominiqu ... erie/22336
Assignation devant TGI
http://www.politiquedevie.net/pdf/ASSIG ... BASANO.pdf
A confirmer car grand silence médiatique

[tisiphoné]

Ben, ........... oui, entre le choix de Martine et Marine

Vu que ce cher DSK et HS............. (encore un pourrit )

Dominique Strauss-Kahn
http://www.lecri.fr/2011/02/27/dominiqu ... erie/22336
Assignation devant TGI
http://www.politiquedevie.net/pdf/ASSIG ... BASANO.pdf
A confirmer car grand silence médiatique

tiens, 20 après ça sort bien à propos cette affaire

[supprimé 1]

On virera ceux qui appellent à voter FN!", a-t-il lancé, selon Le Parisien.

Publié le Mardi 26 octobre 2010
Christian Vanneste a fait son coming out en prônant l’idée d’une alliance honteuse et contre nature entre le Centre, l’UMP et le Front national
Si Sarko est coherent, il doit virer C.V., comme l'avait d'ailleurs deemander Rama Yade en son temps.

Vanneste soutien la thèse que du Centre au FN, en passant par l'UMP, une alliance de la droite intégrale soit posée. Si Sarko ne le vire pas, c'est qu'il donne raison à Vanneste, ou l'excuse à la limite...

Ainsi est le désir de Vanneste et d'autres membres de l'UMP, dont certains sont membre également du Club de l'Horloge, association prônant cette union, sous la coupole d'une seule théorie "le national libéralisme", ou se mêle l'idée de "préférence nationale" (nationalisme, mais une façon de le dire poliment) et le libéralisme économique, mais en rien politique (vu que le libéralisme politique suppose des idées contraires au nationalisme).

Les membres fidèles à l'UMP, coûte que coûte, choisiront de pactiser avec le Diable si besoin, quitte à ce qu'à l'inverse, certains fassent scission...