Non seulement t'es bas du front, mais chez toi, l'hippocampe nécessaire au processus de mémorisation s'est nécrosé, ce qui te fais répéter comme un âne qui braie les mêmes remarques stupides, dont j'ai déjà eu à répondre.berger141 a écrit : ↑22 octobre 2019 17:56 Noiriel lui'est forcément objectif .
Noiriel qui décrète être un vrai historien ne pencherait-il fortement à gauche pour s'opposer aussi frontalement à Zemmour?
"bas du front"
Et l'Uburoi , celui qui précisément modifie l'Histoire pour la rendre conforme à son idéologie a néanmoins un haute opinion de lui-même
C'est vrai qu'avec des zozos de ton acabit, Marine a de beaux jours. Ca c'est pour ta stupidité sur lignée.
Au fait, toi, le zemmourien lémurien, réponds donc à ma question sur ton CV syndical postée il y a 2 jours.
Noiriel lui'est forcément objectif .
Il est objectif comme historien, par essence, mais subjectif par ses convictions politiques progressistes et anti identitaires.
Le contraire des bas du front.
Quant à Noiriel, il ne décrète pas être un vrai historien, comme tu oses écrire...tu confonds avec le délinquant Zemmour au CV imprécis,
il est historien de formation:
Tu peux en dire autant de Zemmour?est agrégé d’histoire, docteur ès lettres.
... Il est l'un des pionniers de l'histoire de l'immigration en France. Il s'est également intéressé à l'histoire de la classe ouvrière, et aux questions interdisciplinaires et épistémologiques en histoire. À ce titre, il a participé activement au développement des études socio-historiques. Il est directeur d’études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS).
...Il est également membre associé de l’Institute for Advanced Study de Princeton, participe à plusieurs revues (outre sa participation à la revue Genèses, il est membre de l'International Editorial Board de la revue Social Identities et fait partie du comité de rédaction de la revue électronique Histoire de l'immigration...
...Il a également été membre du conseil scientifique de la Cité nationale de l’histoire de l’immigration, avant d'en démissionner en mai 2007 avec 7 autres universitaires, pour protester contre la création par Nicolas Sarkozy d'un ministère associant la question de l'immigration et de l'identité nationale...
...En février 2016, il est nommé membre du conseil scientifique de la Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme et l'antisémitisme (DILCRA), présidé par Dominique Schnapper