Sov Strochnis a écrit : Moi ça me fait marrer les gamins vulgaires.
Ouais, surtout les filles qui disent "je m'en bats les couilles" avec un fort accent provençalo-magrebin.
ça va Sov, tu embarques bientôt ?
Sov Strochnis a écrit : Moi ça me fait marrer les gamins vulgaires.
Je fais toujours quelques brèves escapades hivernales mais là, c'est le gros morceau, j'embarque le 6 j'arrive le 7 pour le bal du village !Sov Strochnis a écrit : Ouais j'embarque le 4 aout j'ai hâte d'y être, ça passe vite le temps, ça fait déjà un an
Ouais, le TCHA TCHA TCHA ! Bon allez, fin du flood.Sov Strochnis a écrit : Woua tu vas danser
A tes risques et périls, tu sais, Sov et moi sommes deux gros cochons, d'ailleurs nous sommes cousins.Eve a écrit : Lequel des deux m'emmene dans ses bagages ?
J'aime bien le figatelliclint a écrit : A tes risques et périls, tu sais, Sov et moi sommes deux gros cochons, d'ailleurs nous sommes cousins.
Comme je l'ai dit précédemment :Alogos a écrit : Mais si on met de côté ce principe du vivre ensemble, l'approche polie avec son aspect quelque peu cérémoniel, n'est-ce pas qu'on se dispense d' être poli ? Alors qu'on l'exige des autres ?
Si on se place au-dessus de la politesse, n'est-ce pas qu'on méprise l'autre avant même de l'aborder ? Là ce n'est plus un aspect périphérique mais le noyau qui se délite.
D'autre part, j'avoue qu'un T-shirt burberry ou Armani Jeans ne m'impressionnent pas. Je risque de ne pas être poli vis-à-vis de ceux qui affichent leur position sociale - MDR !
L'égocentrisme et l'égoïsme sont bien les moteurs du mépris qu'on peut avoir pour autrui dans ce sujet. Comme on favorise son progrès personnel, sans reconnaissance extérieure, il ne faut pas être surpris du mépris que autrui à vers nous, parce que nous faisons de même face aux autres... C'est à double sens...Second constat : l'immobilisme est surtout présent dans les milieux urbains modernisés (Lyon, Paris, etc), ou la vie est très active. Cela va de pair avec la disparition progressive de certains éléments passés (syndicalisme par exemple) ou la notion de solidarité fut replacée non par l'individualisme, mais son penchant extrême, l'égoïsme et l'égocentrisme (à cela on ajoute l'anonymat des grandes villes). Dans les milieux ruraux, ou il y a un plus grande proximité entre individus, la solidarité est plus forte et est organique.