Pour un croyant cette question est idiote


Tu n'as pas compris ce que je voulais dire. Quand je dis que le mal est relatif (du moins en parti) à la moral, et d'ailleurs aussi à la culture d'un individu, c'est parce que chacun peut avoir une vision différente du mal. Par exemple, les religions polythéistes et monothéistes ne définissent pas le mal de la même manière : faire quelque chose de "mal" dépend donc de la culture (et de la moral) de chaque peuple.legrand a écrit :Dire que le mal dépend de la morale de chacun et déjà le signe du malcar le mal est avant tout une émotion ressentie engendrée par les actes sur autrui, le mal est donc universel comme la douleur.
Je ne comprends pas pourquoi tu parles en particulier de la "douleur résultant d'autrui". Que cette douleur soit de quelqu'un ou de l’environnement, c'est toujours la même émotion, non ?legrand a écrit :la douleur résultant d'autrui.
Je pense que là, tu parles plus des émotions que des instincts. Cela confirme d'ailleurs que tu sembles pas parler du mal mais de l'émotion de douleur, qui est une chose mal (ou non) selon la moral & culture.legrand a écrit :Il existe plusieurs cerveaux, mais avec des instincts communs à tous qui s'exprime plus ou moins.
Je crois que je comprends d'où te viens cette pensée : tu as observé que de nombreux animaux ont des instincts (mais plutôt émotions) similaires à celles des humains, et tu en conclus que nos cerveaux comportent toujours des instincts animaux.legrand a écrit :Tous les comportements humains peuvent s'expliquer par de la comportementalité animale
Tu abordes la question de savoir si les instincts "animaux" que nous avons, présents dans d'autres espèces, nous sont utiles du point de vu évolutif. Tu dis qu'ils nous mène vers une "impasse évolutive", ce qui sous-entend qu'ils mènent vers l'extinction de l'espèce.legrand a écrit :créent ainsi des problèmes inutiles à notre époque, qui peuvent nous conduire dans une impasse évolutive.
Tu dis que notre esprit évolue plus vite que notre cerveau, mais notre esprit est lui-même une partie de notre cerveau. Il me semble donc qu'il y a incohérence. Mais sinon, je crois comprendre ce que tu veux dire : notre intelligence a des fonctions cognitives très évoluées, et ce sont d'ailleurs elles qui nous confère le statut d'espèce dominante, alors que nos instincts et émotions sont moins évolué, et nous confère donc un désavantage. Par contre, tu as tort quand tu dis que notre esprit évolue. L'évolution étant un processus très lent, je ne pense pas que notre cerveau ait vraiment évolué depuis l'existence de notre espèce. Néanmoins, il faudrait vérifier avec des données scientifiques.legrand a écrit :Car l'esprit humain évolué plus vite que son cerveau créant ainsi un décalage perpétuel de la conscience vis-à-vis des instincts primaire
Bonsoir Patbillpatbill a écrit : ↑04 novembre 2019 20:29 la connerie, c'est très subjectif, ce n'est pas scientifiquement prouvé
par exemple, je regarde une émission au hasard à la télé quand il n'y a rien qui m'intéresse et que je n'ai pas envie de me prendre le choux
donc, je suis conne
mais si je décide d'éteindre la télé et de prendre un bouquin, je suis moins conne
ça dépend des jours ....
et si je décide de ne plus être conne, je n'allume pas la télé et je ne viens plus me prendre la tête sur ce forum de "cons"
comme quoi, tout est relatif
ce que tu aimes un jour, tu peux le détester demain, et vice versa
L'homme "moderne" a-t'il vraiment le temps de la méditation intellectuelle , dans un contexte de concurrence économique?jack
L'homme privilégie le corps plutôt que l'esprit,
cela veut rien dire l’égoïsme!c'est pourquoi il agit de façon égoïste.
Conséquence normal, nous sommes pas encore arrivée à nous débarrasser de notre cerveau de prédateur.Nous sommes encore à un stade immature de notre évolution
La guerre arrive souvent dans les périodes de saturation.sans quoi nous n'aurions plus besoin de faire de guerre entre nous.