En fait, on pense que les cellules gliales sont plus que des cellules d'entretien et jouent un rôle semble-t-il dans l'apprentissage et la mémorisation. On ignore encore pas mal de choses de ces cellules, bien qu'on est déterminé plusieurs types de cellules, en raison qu'on les a longtemps classé comme simple "unité d'entretien" du cerveau sans les étudier plus que ça. Pour l'instant, les recherches se développent et apportent quelques réponses.gypaete a écrit :
Addendum.
Comment expliquer par la seule théorie de l'Evolution ne seraient-ce que les deux cas suivants : (et combien d'autres !!)
- Les cellules gliales.
Elles sont aussi nombreuses que les neurones (100 milliards). Leur rôle; je simplifie, consiste à entretenir les neurones.
Sur son origine évolutive, il est suspecté (donc à confirmer) que ces cellules sont apparues semble-t-il au même moment que développement de la symétrie bilatérale (fait qu'un corps dispose plus ou moins de similitudes des organes et membres si on le coupe en deux par un axe central).
Il est aussi suspecté que le développement des cellules gliales en grande quantité dans le cerveau soit apparu avec les mammifères et en particulier lorsque les dinosaures commencèrent à disparaître et créant un vide propice à la spéciation massive des mammifères. Ces cellules gliales existaient avant, mais potentiellement en moins grand nombre chez les ancêtres des mammifères (dinosaures, etc.).
Je ne saurais en dire plus cependant... Vous devriez vous adressez à un biologiste, plus compétent que ma petite personne à ce sujet.
Pourriez-vous mieux préciser votre question ? Qu'entendez-vous par "réservoir de bactérie" accompagnant les séquences ADN ? Car là, je suis pas certain de ce que vous évoquez.- Le "réservoir de bactéries"
qui accompagne les séquences d'ADN et dont le rôle consiste à détecter d'éventuelles erreurs de réplication ou dans la "syntaxe" de la séquence et à les corriger. (Comment une bactérie "reconnaît-elle" ces erreurs et comment peut-elle "savoir" les corriger ?"
Oui à la théorie de l'Evolution, mais comme composante d'un principe NATUREL plus général.