J'avais dragué dans une banlieue une trés jeune poulbote, jolie comme un coeur, et grossière comme un charretier. Elle avait quoi, seize piges, et une belle réputation de chauffeuse de poireau.
Bon bref, comme elle était hyper mignonne, je lui ai proposé une balade en bagnole. Nous sommes arrivés dans un sous bois propice, à l'heure tranquille où les lions vont boire, et où les bus rentrent au dépôt.
Tendres préliminaires.
Elle portait un bloudjine incroyablement moulant; c'est excitant à mater, mais ça devient une armure, au moment de passer à l'acte.
Elle m'a aidé, on l'a fait glisser, lentement difficilement, dévoilant un mignon popotin en pomme, d'adorables gambettes de danseuse, un mignon ventre plat, un petit bosquet de forêt noire.
Marlon, vivement intéressé, m'a fait savoir qu'il était prêt à entrer dans le vif du sujet.
J'ai commencé à faire descendre le dossier du siège de mon imminente amante.
Et soudain, la douce enfant m'a dit, de sa voix juvénile autant que faubourienne:
"Attends, faut que j'aille pisser".
Un peu surpris, je l'ai vue ouvrir la portière, et y demeurer cramponnée, accroupie.
Un joyeux chuintement de fuite d'eau s'est fait entendre.
Marlon m'a fait passer un message de désarroi intense.
Mais l à , la troublante poulbote m'a dit:
"T'as pas des Kleenex?"
"Euh non, j'ai un mouchoir, pourquoi?"
"Parce que j'ai envie de chier, j'en aurais profité!"
Marlon m'a alors chuchoté que ça allait être difficile!
Elle est remontée, ravissant tanagra à demi nue, sans la moindre gêne, s'est allongée, propice, attendant l'intromission victorieuse du mâle conquérant.
J'ai posé la main sur sa jolie cuisse. Elle était trempée. La conne s'était pissée dessus.
Je lui ai dit
"Fringue toi, on rentre!"
Sans manifester la moindre surprise, avec une docilité bovine, elle a réenfilé ce bloudjine qu'on avait enlevé dans l'ivresse.
Maitre Qui-Gon a écrit :c'est ce que j'ai voulu dire tisi, mais tu ne dois pas parler le maitre 2ème langue !
depuis que nous partageons le même toit , je parle le Maitre 2ème langue
mais c'est une horreur des filles pareilles , et l'age n 'excuse pas tout !!!!
Cormoran a écrit :Mon pire ratage, c'est pas de ma faute!
J'avais dragué dans une banlieue une trés jeune poulbote, jolie comme un coeur, et grossière comme un charretier. Elle avait quoi, seize piges, et une belle réputation de chauffeuse de poireau.
Bon bref, comme elle était hyper mignonne, je lui ai proposé une balade en bagnole. Nous sommes arrivés dans un sous bois propice, à l'heure tranquille où les lions vont boire, et où les bus rentrent au dépôt.
Tendres préliminaires.
Elle portait un bloudjine incroyablement moulant; c'est excitant à mater, mais ça devient une armure, au moment de passer à l'acte.
Elle m'a aidé, on l'a fait glisser, lentement difficilement, dévoilant un mignon popotin en pomme, d'adorables gambettes de danseuse, un mignon ventre plat, un petit bosquet de forêt noire.
Marlon, vivement intéressé, m'a fait savoir qu'il était prêt à entrer dans le vif du sujet.
J'ai commencé à faire descendre le dossier du siège de mon imminente amante.
Et soudain, la douce enfant m'a dit, de sa voix juvénile autant que faubourienne:
"Attends, faut que j'aille pisser".
Un peu surpris, je l'ai vue ouvrir la portière, et y demeurer cramponnée, accroupie.
Un joyeux chuintement de fuite d'eau s'est fait entendre.
Marlon m'a fait passer un message de désarroi intense.
Mais l à , la troublante poulbote m'a dit:
"T'as pas des Kleenex?"
"Euh non, j'ai un mouchoir, pourquoi?"
"Parce que j'ai envie de chier, j'en aurais profité!"
Marlon m'a alors chuchoté que ça allait être difficile!
Elle est remontée, ravissant tanagra à demi nue, sans la moindre gêne, s'est allongée, propice, attendant l'intromission victorieuse du mâle conquérant.
J'ai posé la main sur sa jolie cuisse. Elle était trempée. La conne s'était pissée dessus.
Je lui ai dit
"Fringue toi, on rentre!"
Sans manifester la moindre surprise, avec une docilité bovine, elle a réenfilé ce bloudjine qu'on avait enlevé dans l'ivresse.