Du moins ceux du foot, en particulier ceux qui, en experts, qu'ils seraient font l'analyse des matches de l'Equipe de France.
J'en vois deux que j'ai du mal à supporter : Pierre Ménez et Daniel Riolo.
Le premier vient une fois de plus de se lâcher sur Didier Deschamps, qu'il ne cesse de critiquer. Le nul (0-0) des français contre les portugais à Paris, sont pour lui l'occasion de dire tout le mal qu'il pense du style défensif de l'équipe française. Il a trouvé le match soporifique, moi je l'ai trouvé passionnant. Deux équipe proche l'une de l'autre, et qui s'affrontent dans un duel plein de prouesses techniques.
Je pense que ce Ménez est un de ces journaliste qui aurait plus sa place dans la presse dite de caniveau. Celle qui parle de la vie privée des artistes, en révélant des histoires graveleuses, malsaines, et odieuses. Ménez n'est pas loin de ce profil.
C'est un type qui n'a jamais joué au foot, mais qui en est dingue, et se fait un max de pognon en jouant la mouche du coche. Celui qui se croit indispensable, mais qui emmerde tout le monde, et se croit obligé de donner son avis sur tout. Dès qu'il se passe quelque chose dans le foot, Ménez rapplique.
Riolo, est un peu dans la même veine, amateur de beau jeu, avec en plus un côté explosif.
C'est une vraie soupe au lait, capable de violence verbale, il a failli en arriver aux mains avec l'autre tanche de Dugarry au cours d'un débat radiodiffusé sur le foot.
Riolo a ses têtes de turc : aujourd'hui c'était Rabio, qu'il n'arrête pas de dézinguer. Il y en a eu d'autre : Mitroglou, Kursawa, mais aussi Le Graet ou Garcia entraineur de l'OL, et bien sur Didier Deschamps.
Je n'attaque pas le principe. On a le droit de critiquer, de ne pas aimer un style de jeu, de réclamer le départ d'untel, mais il faudrait y mettre les formes, rester poli, et savoir reconnaitre quand même un petit peu, que quelqu'un comme Deschamps a des résultats, ça force un tantinet le respect quand même.
Je me suis toujours demandé pourquoi ces types qui critiquent les joueurs, les entraineurs, les arbitres, les présidents de club, voire de fédé, française ou européenne, ... ne prennent pas la direction d'un club pour nous montrer ce qu'ils savent faire.
En fait Ménez a déjà occupé un poste d'administrateur à Reims, alors en D2 ... il a été viré au bout de six mois.
On a aussi le journaliste vedette de C News, Pascal Praud, qui était responsable de la communication du FC Nantes. Avec lui le club est descendu en D2, il a été viré, et Nantes est remonté en D1.
Finalement je comprends pourquoi ces beaux messieurs restent toujours dans la critique, outrancière.
Ras le bol des journalistes sportifs.
Re: Ras le bol des journalistes sportifs.
Ras l'bol de la radio RMC.
J'écoutais le match d' Europa League entre Prague et Lille, mais les commentaires portent sur des histoires drôles qui ne font rires que ces beaux messieurs.
Du coup j'ai changé de radio, je suis sur France Bleu Nord, c'est bien mieux, au moins ils parlent du match.
Les grandes radios commerciales sont nulles !
J'écoutais le match d' Europa League entre Prague et Lille, mais les commentaires portent sur des histoires drôles qui ne font rires que ces beaux messieurs.
Du coup j'ai changé de radio, je suis sur France Bleu Nord, c'est bien mieux, au moins ils parlent du match.
Les grandes radios commerciales sont nulles !
Re: Ras le bol des journalistes sportifs.
j'ai la solution : vous coupez le son si vous regardez le match à la télé sinon vous stoppez votre transistor... lol !