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J'avais des 78 tours que je voulais donner, mais personne n'en voulait.
J'ai mis une annonce sur " recupe ", pas une seule réponse, j'ai donc mis un annonce sur " donnons ", 3 réponses. Un monsieur est venu les chercher. C'est probablement un brocanteur, mais ça ne me dérange pas, il faut bien que les brocanteurs gagnent leur vie. J'espère que ces vieux disques feront un jour le bonheur de quelqu'un...
Si vous avez eu la triste tâche de vider l'appartement de quelqu'un de proche après un décès, vous savez à quel point il est pénible de devoir jeter un tas de choses que le défunt gardait précieusement et dont vous ne savez que faire. Moralité : n'accumulons rien !

LadyAnne a écrit : J'avais des 78 tours que je voulais donner, mais personne n'en voulait.
J'ai mis une annonce sur " recupe ", pas une seule réponse, j'ai donc mis un annonce sur " donnons ", 3 réponses. Un monsieur est venu les chercher. C'est probablement un brocanteur, mais ça ne me dérange pas, il faut bien que les brocanteurs gagnent leur vie. J'espère que ces vieux disques feront un jour le bonheur de quelqu'un...
Si vous avez eu la triste tâche de vider l'appartement de quelqu'un de proche après un décès, vous savez à quel point il est pénible de devoir jeter un tas de choses que le défunt gardait précieusement et dont vous ne savez que faire. Moralité : n'accumulons rien !

D'accord avec toi, mais en pratique ...

Pour ces cas de figure, j'emméne les affaires à Emmaüs.

mum401 a écrit : Pour ces cas de figure, j'emméne les affaires à Emmaüs.

Je n'ai pas d'Emmaüs près de chez moi. De plus, j'ai eu un incident désagréable avec eux, il y a quelques années :
J'avais une grande bibliothèque que je voulais donner, car je l'avais remplacée. Au téléphone, on m'annonce que le camion passera dans 15 jours. Bon...pendant 15 jours, nous avons eu la bibliothèque démontée, empilée au milieu du séjour, c'était plutôt désagréable, mais, puisque Emmaüs ne pouvait pas venir avant...
Arrive le jour J. 5 malabars se présentent. Je suis seule à la maison, j'ai 60 ans. "C'est ça votre bibilothèque ? Et vous l'avez démontée ? On n'en veut pas...!". J'essaye de parlementer, j'explique qu'il fallait bien faire de la place, etc. Rien à faire, et je vous laisse imaginer le ton sur lequel on me parlait. Par chance, je ne suis pas froussarde.
Finalement, comme c'était le jour du ramassage des encombrants, je leur ai demandé s'ils voulaient bien mettre ces planches sur le trottoir :" Non mais ! On n'est pas des larbins...!". Et ils sont partis sans dire ni au revoir ni mercI.
J'étais tellement remontée que j'ai trouvé la force de trainer la bibliothèque dehors, avec mes p'tits bras ! Comme j'en étais à la dernière planche, la plus grande, un monsieur inconnu qui passait m'a dit :" Mais je vais vous aider, Madame, c'est bien trop lourd pour vous !". Ce qu'il a fait, juste au moment ou la benne à ordures arrivait. Ouf !
J'ai écrit à Emmaüs et raconté tout ça, en ajoutant que les gars avaient dû se passer du pourboire que je leur aurais donné s'ils avaient mis mon meuble dehors ( à 5 costauds, tout de même, ils pouvaient, non ? ). J'ai eu droit à une lettre d'excuses, où on m'expliquait que cette équipe "allait mal ce jour là", et n'était pas exactement composée de jeunes gens de bonne famille ( ce n'était pas dit comme ça, mais c'était l'idée ). Je le savais avant.
Plus eu envie de les appeler depuis...

malheureusement,les petites gens ont pas toujours une très bonne éducation.