TRISTESSE
Mon Amour Mon Ange
La route est longue, très longue
Oui mais elle me mène vers toi
Oui je sais, j'aurais la patience d'un ange
De loin je serais ton ange
Ange protecteur de ta vie
De tes jours, de tes nuits
Au loin, je vois la lueur blanche
Oh mon amour, mon ange
Si tu savais combien je t'attends
Et combien, je t'aime déjà
Bientôt à mes cotés tu seras
Je vois tes cheveux si court
Tes yeux bleus pleins de rêves
Un visage au sourire angélique
Et tes mains, tes mains si douces
Au bout de ce tunnel si long
Long de plus de vingt ans
Et au fond de ce puits
Bientôt jaillira la source vive
La source de notre amour
Car je sais que là, au détour
De ce grand chemin
Déjà toi, tu me tends les mains
Oui mais elle me mène vers toi
Oui je sais, j'aurais la patience d'un ange
De loin je serais ton ange
Ange protecteur de ta vie
De tes jours, de tes nuits
Au loin, je vois la lueur blanche
Oh mon amour, mon ange
Si tu savais combien je t'attends
Et combien, je t'aime déjà
Bientôt à mes cotés tu seras
Je vois tes cheveux si court
Tes yeux bleus pleins de rêves
Un visage au sourire angélique
Et tes mains, tes mains si douces
Au bout de ce tunnel si long
Long de plus de vingt ans
Et au fond de ce puits
Bientôt jaillira la source vive
La source de notre amour
Car je sais que là, au détour
De ce grand chemin
Déjà toi, tu me tends les mains
Les nuits sans toi
Aucune ne se ressemble
et pourtant je suis seule
tes bras me manquent
j'aimerais me blottir contre toi
caresser ton visage
poser ma tête sur ton épaule
souvent j'imagine que tu es là
tout contre moi
que tu dors paisiblement
que je peux te regarder
lorsque des angoisses m'envahissent
j'ai mal et je me sens
si triste
Dans ce grand lit vide
et froid
je t'appelle tout doucement
en espérant te voir apparaître
Je me rendors après un long moment
et je rêve que l'aube arrive
les premiers rayons du soleil
nous forcent à ouvrir les paupières
tu es là c'est merveilleux
je te souris
toi aussi...
et pourtant je suis seule
tes bras me manquent
j'aimerais me blottir contre toi
caresser ton visage
poser ma tête sur ton épaule
souvent j'imagine que tu es là
tout contre moi
que tu dors paisiblement
que je peux te regarder
lorsque des angoisses m'envahissent
j'ai mal et je me sens
si triste
Dans ce grand lit vide
et froid
je t'appelle tout doucement
en espérant te voir apparaître
Je me rendors après un long moment
et je rêve que l'aube arrive
les premiers rayons du soleil
nous forcent à ouvrir les paupières
tu es là c'est merveilleux
je te souris
toi aussi...
Ce soir mon amour
Ce soir je me sens seule sans toi....
J'aimerais te prendre dans mes bras
Ouvrir mon cœur sur le tien
Et ne plus penser à rien
Ce soir je voudrais que tu sois là
Que tu me tendes les bras
Que tu m'offres ton sourire
Mais je ne fais que t'écrire
Ce soir je voulais te dire...
La vie à ses épreuves à passer
Mais il ne faut pas désespérer
Cette distance qui nous sépare
N'empêchera jamais mon cœur de t'aimer
Ce soir je voulais simplement te dire
que je t'aime de tout mon cœur...
Que chaque minute passée à tes côtés
Est la plus merveilleuse des réalités
J'aimerais te prendre dans mes bras
Ouvrir mon cœur sur le tien
Et ne plus penser à rien
Ce soir je voudrais que tu sois là
Que tu me tendes les bras
Que tu m'offres ton sourire
Mais je ne fais que t'écrire
Ce soir je voulais te dire...
La vie à ses épreuves à passer
Mais il ne faut pas désespérer
Cette distance qui nous sépare
N'empêchera jamais mon cœur de t'aimer
Ce soir je voulais simplement te dire
que je t'aime de tout mon cœur...
Que chaque minute passée à tes côtés
Est la plus merveilleuse des réalités
Sensation
..Mon Cœur...
Je sens tes baisers
Parcourir mon corps
Qui devient chaud comme la braise,
Je me tais, car le silence est d’or.
Je n’ai plus aucun repaire,
Tu m’as mise à l’envers...
Je sens mon âme bouillir
Et mes jambes tressaillir
Sous tes caresses, puis ta langue
Qui me mettent dans un état d’ivresse.
Je ne sais plus quoi faire,
Je ne sais plus ou me mettre...
Face à face, sens contre sens,
J’attendais ce moment avec impatience.
Ton corps frotte le miens,
Ta bouche embrasse la mienne...
Si tu savais comme je t’aime.
"Ta caille"
Je sens tes baisers
Parcourir mon corps
Qui devient chaud comme la braise,
Je me tais, car le silence est d’or.
Je n’ai plus aucun repaire,
Tu m’as mise à l’envers...
Je sens mon âme bouillir
Et mes jambes tressaillir
Sous tes caresses, puis ta langue
Qui me mettent dans un état d’ivresse.
Je ne sais plus quoi faire,
Je ne sais plus ou me mettre...
Face à face, sens contre sens,
J’attendais ce moment avec impatience.
Ton corps frotte le miens,
Ta bouche embrasse la mienne...
Si tu savais comme je t’aime.
"Ta caille"
Un rêve bleu
Une nuit j’ai fait un rêve,
Nous étions tous les deux
Sous un arbre où coulait sa sève.
Nous échangions un doux baiser fougueux.
L’odeur de ses fleurs s’échappait
Entre nos deux cœurs entremêlaient.
Et un matin mon corps s’éveilla,
Mes yeux s’ouvrirent,
et je te vis, toi.
Toi qui serait incapable de me faire souffrir,
Toi qui emplie mon cœur,
Chaque jour d’un peu plus d’amour.
Sans avoir à chercher, j’ai trouvé mon âme sœur,
J’espère la garder pour toujours...
Nous étions tous les deux
Sous un arbre où coulait sa sève.
Nous échangions un doux baiser fougueux.
L’odeur de ses fleurs s’échappait
Entre nos deux cœurs entremêlaient.
Et un matin mon corps s’éveilla,
Mes yeux s’ouvrirent,
et je te vis, toi.
Toi qui serait incapable de me faire souffrir,
Toi qui emplie mon cœur,
Chaque jour d’un peu plus d’amour.
Sans avoir à chercher, j’ai trouvé mon âme sœur,
J’espère la garder pour toujours...
Accroche mon coeur
Tu représentes l’amour pur et vrai
Limpide comme l’eau du ruisseau
Ton cœur cette immense forêt
Où j’écoute le champ des oiseaux
Musique douce à l’oreille
Inspirer du goût de vivre
Cette sensation sans pareille
Ou l’amour m’enivre
Sentir la douceur de ta main
Pour y caresser chaque doigt
C’est, comme le soleil du matin
Qui réchauffe les toits
Je désire passer, le reste de ma vie
Appuyer sur ton sein
Toi bel amour qui me sourie
Accroche mon cœur au tien
Limpide comme l’eau du ruisseau
Ton cœur cette immense forêt
Où j’écoute le champ des oiseaux
Musique douce à l’oreille
Inspirer du goût de vivre
Cette sensation sans pareille
Ou l’amour m’enivre
Sentir la douceur de ta main
Pour y caresser chaque doigt
C’est, comme le soleil du matin
Qui réchauffe les toits
Je désire passer, le reste de ma vie
Appuyer sur ton sein
Toi bel amour qui me sourie
Accroche mon cœur au tien
Tu m’as mentis
Il n’y a pas un jour, une heure, une nuit, où je ne pense pas à toi
Le bonheur de t’avoir connu ne remplace pas l’absence qui est en moi
Chacun de tes petits mots, allumaient une étincelle dans mes pensées
Mais aujourd’hui je me sens trahis, salis … Tu m’as trompée
J’affronte cette douleur que j’essaye d’oublier, d’enterrer au plus loin
Espérant que je te haïrais et que dans mon cœur tu ne seras plus rien
J’aimerais tant t’en vouloir mais je ne peux que pardonner un ami
Dis moi pourquoi tu m’as mentis, explique moi, pourquoi tu m’as trahis
Tu sais ; malgré ton geste, ton absence me blesse et je pense encore à toi
Sans toi je ne trouve plus ma raison, sans toi je ne me suis plus moi
Avec tout le mal que tu m’as fais, je continu à prendre de tes nouvelles
Je t’aime tellement, j’aimerais tant pouvoir réparer tes magnifiques ailes
Tu as laissé dans mon cœur un grand vide quand sans moi tu es partis
Aucune pièce ne peut te remplacer, plus personne ne peut compléter mon moi
Tu sais ; tu faisais aussi partie de ma vie, tu étais une de mes plus belles parties
Mais toi tu t’en fous… simplement de moi …..
Le bonheur de t’avoir connu ne remplace pas l’absence qui est en moi
Chacun de tes petits mots, allumaient une étincelle dans mes pensées
Mais aujourd’hui je me sens trahis, salis … Tu m’as trompée
J’affronte cette douleur que j’essaye d’oublier, d’enterrer au plus loin
Espérant que je te haïrais et que dans mon cœur tu ne seras plus rien
J’aimerais tant t’en vouloir mais je ne peux que pardonner un ami
Dis moi pourquoi tu m’as mentis, explique moi, pourquoi tu m’as trahis
Tu sais ; malgré ton geste, ton absence me blesse et je pense encore à toi
Sans toi je ne trouve plus ma raison, sans toi je ne me suis plus moi
Avec tout le mal que tu m’as fais, je continu à prendre de tes nouvelles
Je t’aime tellement, j’aimerais tant pouvoir réparer tes magnifiques ailes
Tu as laissé dans mon cœur un grand vide quand sans moi tu es partis
Aucune pièce ne peut te remplacer, plus personne ne peut compléter mon moi
Tu sais ; tu faisais aussi partie de ma vie, tu étais une de mes plus belles parties
Mais toi tu t’en fous… simplement de moi …..
Rupture
Et en silence, un peu, je meurs
De te savoir maintenant trop loin
Dans mon angoisse, je demeure
Or, dans mon cœur, je n’ai plus rien
Nul n’empêche cette peur, ces pleurs
À la solitude d’avoir un jour aimé
Nul ne peut croire à telle douleur
Avant d’y être déjà passé
Ô folle tristesse, tu me poursuis !
Partout où je pourrais bien être
Dans les bois, où je me réfugie
Dans mon cœur, au bord de la fenêtre
Tel un oiseau qui fuit le froid
Je vole en pensée pour ne plus rester
Car tout, ici, me rappelle à toi
Je n’ai pas le courage de t’oublier
Les larmes sont à mes yeux comme la pluie
Tellement j’ai mal, tellement je t’aime
Tu m’as quitté, tu es parti
Et je reste seule avec ma peine…
De te savoir maintenant trop loin
Dans mon angoisse, je demeure
Or, dans mon cœur, je n’ai plus rien
Nul n’empêche cette peur, ces pleurs
À la solitude d’avoir un jour aimé
Nul ne peut croire à telle douleur
Avant d’y être déjà passé
Ô folle tristesse, tu me poursuis !
Partout où je pourrais bien être
Dans les bois, où je me réfugie
Dans mon cœur, au bord de la fenêtre
Tel un oiseau qui fuit le froid
Je vole en pensée pour ne plus rester
Car tout, ici, me rappelle à toi
Je n’ai pas le courage de t’oublier
Les larmes sont à mes yeux comme la pluie
Tellement j’ai mal, tellement je t’aime
Tu m’as quitté, tu es parti
Et je reste seule avec ma peine…
À bout de souffle
Maudite solitude implacable
Tu me ronges le cœur
Je n’ai plus la force d’être capable
De te battre avec ardeur
Tant de silence autour de moi
Une mort lente à finir
J’ai trop longtemps, je crois
Attendu l’espoir d’un sourire
J’abandonne, je ne me bats plus
Je laisserai pourrir mon corps
Dans la vallée des temps perdus
Ou il n’y a plus de remords
Cette idée d’en finir, de mourir
Est germé jour après jour
D’un passé rempli de souvenirs
Ou l’on n’y trouve point d’amour
Et ce besoin, de dire, je t’aime
Qui m’est bien refusé
C’est autant plus de peines
Que j’en arrive à oublier
Ces toutes c’est années passées
Couronné d’une grande solitude
Attaché solidement au bûché
Pour sentir la douleur qui brûle
Que reste t’il a faire de mieux
Rester à jamais dans l’oubli
Ou mourir trop vieux
D’avoir gâché sa vie
Tu me ronges le cœur
Je n’ai plus la force d’être capable
De te battre avec ardeur
Tant de silence autour de moi
Une mort lente à finir
J’ai trop longtemps, je crois
Attendu l’espoir d’un sourire
J’abandonne, je ne me bats plus
Je laisserai pourrir mon corps
Dans la vallée des temps perdus
Ou il n’y a plus de remords
Cette idée d’en finir, de mourir
Est germé jour après jour
D’un passé rempli de souvenirs
Ou l’on n’y trouve point d’amour
Et ce besoin, de dire, je t’aime
Qui m’est bien refusé
C’est autant plus de peines
Que j’en arrive à oublier
Ces toutes c’est années passées
Couronné d’une grande solitude
Attaché solidement au bûché
Pour sentir la douleur qui brûle
Que reste t’il a faire de mieux
Rester à jamais dans l’oubli
Ou mourir trop vieux
D’avoir gâché sa vie
Mélancolie
Mon âme est à la mer
J’ai le cœur amer
Je n’ai plus de projet
Je n’ai que des regrets
J’ai peur de l’avenir
J’ai deux petites filles à nourrir
Qui plus tard devront partir
Alors, je serais seule à mourir
A ressasser mes souvenirs
A repenser aux jours bénis
Où nous étions tous unis
Je voudrais narguer le passé
Mais je suis trop secouée
Il me rattrape à chaque fois à grands pas
Pour me rappeler qu’il sera toujours là
Alors je fais la forte
Mais parfois au fond de moi je suis morte
J’ai le cœur amer
Je n’ai plus de projet
Je n’ai que des regrets
J’ai peur de l’avenir
J’ai deux petites filles à nourrir
Qui plus tard devront partir
Alors, je serais seule à mourir
A ressasser mes souvenirs
A repenser aux jours bénis
Où nous étions tous unis
Je voudrais narguer le passé
Mais je suis trop secouée
Il me rattrape à chaque fois à grands pas
Pour me rappeler qu’il sera toujours là
Alors je fais la forte
Mais parfois au fond de moi je suis morte
Mélancolie 2
Le ciel bleu devient tout noir
Tous espoir s'efface,
Dans cette vie qui devient mort
Ou tous le monde a tort
Ou tous les gens ignore la mort
La mort est pourtant la
Elle lé attend, passiament
Elle est partout dans ce monde
Ce monde ci sombre
Ou l'Homme ce croit roi
La mort est renne
Pure comme de l'eau
Elle va nous emporté
En laissant tout notre passé
Toute notre cruauté
Vers le paradis, le paradis des morts
Tous espoir s'efface,
Dans cette vie qui devient mort
Ou tous le monde a tort
Ou tous les gens ignore la mort
La mort est pourtant la
Elle lé attend, passiament
Elle est partout dans ce monde
Ce monde ci sombre
Ou l'Homme ce croit roi
La mort est renne
Pure comme de l'eau
Elle va nous emporté
En laissant tout notre passé
Toute notre cruauté
Vers le paradis, le paradis des morts
Survivant...
J'ai passé toute ma vie
À compter les blessures
À faire face aux ennuis
À surmonter les murs
J'ai reçu du mépris
J'ai reçu des injures
J'en ai vu des jours gris
J'en ai eu des temps dures
Aujourd'hui je passe ma vie
À faire semblant de sourire
À tous ceux qui m'ont dit
Qu'il valait mieux mourir
J'ai un cœur qui a appris
Qui a arrêté de souffrir
Qui a sortie le mal en lui
Pour faire place à l'avenir
Je vis encore
Même si la vie m'a fait du mal
Je vis encore
Même si le monde est inégal
Je vis encore
Même si le temps est assassin
Je vies encore
Je m'accroche, Dieu que j'en ai fait du chemin
J'ai passé toute ma vie
À me battre contre des montagnes
À refouler mes envies
À refouler toute ma hargne
J'ai grandi dans l'oubli
J'ai grandi dans le drame
J'en ai crié des cris
J'en ai versé des larmes
Aujourd'hui je passe ma vie
À me donner du plaisir
Même si tous mes ennemis
Aimeraient mieux me voir gémir
J'ai un cœur qui a grandi
Qui a arrêté de subir
Qui fait face à la vie
Puis qui veut plus s'enfuir
Il y a des jours où je tombe
Il y a des jours où je vois plus le monde
Il y a des jours où je me trompe
Mais j'avance
À compter les blessures
À faire face aux ennuis
À surmonter les murs
J'ai reçu du mépris
J'ai reçu des injures
J'en ai vu des jours gris
J'en ai eu des temps dures
Aujourd'hui je passe ma vie
À faire semblant de sourire
À tous ceux qui m'ont dit
Qu'il valait mieux mourir
J'ai un cœur qui a appris
Qui a arrêté de souffrir
Qui a sortie le mal en lui
Pour faire place à l'avenir
Je vis encore
Même si la vie m'a fait du mal
Je vis encore
Même si le monde est inégal
Je vis encore
Même si le temps est assassin
Je vies encore
Je m'accroche, Dieu que j'en ai fait du chemin
J'ai passé toute ma vie
À me battre contre des montagnes
À refouler mes envies
À refouler toute ma hargne
J'ai grandi dans l'oubli
J'ai grandi dans le drame
J'en ai crié des cris
J'en ai versé des larmes
Aujourd'hui je passe ma vie
À me donner du plaisir
Même si tous mes ennemis
Aimeraient mieux me voir gémir
J'ai un cœur qui a grandi
Qui a arrêté de subir
Qui fait face à la vie
Puis qui veut plus s'enfuir
Il y a des jours où je tombe
Il y a des jours où je vois plus le monde
Il y a des jours où je me trompe
Mais j'avance
Un chagrin d'amour
Un Chagrin d'amour
C'est le dernier rendez-vous qui t'as semblé si merveilleux
C'est des étoiles qui reflétaient dans tes yeux
C'est un beau clair de lune que tu ne voudrais pas voir
C'est vouloir mais ne jamais pouvoir
Un Chagrin d'amour
C'est de pleurer en écoutant la chanson qu'il fredonnait
C'est l'aimer malgré tout le mal qu'il t'a fait
C'est faire semblant de croire que la vie continue
C'est chercher l'amour là où il n'y en a plus
Un Chagrin d'amour
C'est de ne plus être capable de regarder des amoureux
C'est de rire avec les larmes aux yeux
C'est l'indifférence qui s'installe en toi
C'est se surprendre à l'attendre comme autrefois
Un Chagrin d'amour
C'est le regarder sans pouvoir le toucher
C'est rêver la nuit sans jamais exister
C'est un roman qu'on a déjà lu
C'est un soleil qui ne chauffera plus
Un Chagrin d'amour
C'est quand tu t'aperçois qu'une autre a pris ta place dans son coeur
C'est une église vide où en silence tu pleures
C'est une question en sachant toujours la réponse
C'est combattre même si parfois tu renonces...
C'est le dernier rendez-vous qui t'as semblé si merveilleux
C'est des étoiles qui reflétaient dans tes yeux
C'est un beau clair de lune que tu ne voudrais pas voir
C'est vouloir mais ne jamais pouvoir
Un Chagrin d'amour
C'est de pleurer en écoutant la chanson qu'il fredonnait
C'est l'aimer malgré tout le mal qu'il t'a fait
C'est faire semblant de croire que la vie continue
C'est chercher l'amour là où il n'y en a plus
Un Chagrin d'amour
C'est de ne plus être capable de regarder des amoureux
C'est de rire avec les larmes aux yeux
C'est l'indifférence qui s'installe en toi
C'est se surprendre à l'attendre comme autrefois
Un Chagrin d'amour
C'est le regarder sans pouvoir le toucher
C'est rêver la nuit sans jamais exister
C'est un roman qu'on a déjà lu
C'est un soleil qui ne chauffera plus
Un Chagrin d'amour
C'est quand tu t'aperçois qu'une autre a pris ta place dans son coeur
C'est une église vide où en silence tu pleures
C'est une question en sachant toujours la réponse
C'est combattre même si parfois tu renonces...
Un chagrin d'amour 2
Un chagrin d'amour c'est.
C'est réapprendre à sourire,
C'est lui dire simplement bonjour quand on aurait envie de l'embrasser.
C'est regarder par la fenêtre et attendre celui qui ne viendra pas,
C'est espérer en entendant des pas
C'est vouloir mais ne jamais pouvoir,
C'est bâtir un monde sur une souris,
C'est rencontrer ses amies et leur dire que tout va bien,
C'est rire avec les larmes aux yeux,
C'est le regarder sans pouvoir le toucher,
C'est un roman d'amour déjà lu,
C'est un soleil qui ne nous réchauffe plus,
C'est s'apercevoir que quelqu'un d'autre a pris notre place dans son cœur,
C'est une église où, en silence, on pleure
C'est poser une question et déjà connaître la réponse,
C'est éviter ses yeux de peur d'y lire l'oubli,
C'est comprendre que, cette fois-ci, tout est fini,
C'est réapprendre à sourire,
C'est lui dire simplement bonjour quand on aurait envie de l'embrasser.
C'est regarder par la fenêtre et attendre celui qui ne viendra pas,
C'est espérer en entendant des pas
C'est vouloir mais ne jamais pouvoir,
C'est bâtir un monde sur une souris,
C'est rencontrer ses amies et leur dire que tout va bien,
C'est rire avec les larmes aux yeux,
C'est le regarder sans pouvoir le toucher,
C'est un roman d'amour déjà lu,
C'est un soleil qui ne nous réchauffe plus,
C'est s'apercevoir que quelqu'un d'autre a pris notre place dans son cœur,
C'est une église où, en silence, on pleure
C'est poser une question et déjà connaître la réponse,
C'est éviter ses yeux de peur d'y lire l'oubli,
C'est comprendre que, cette fois-ci, tout est fini,
Un Ange...
Un ange un jour m'a dit,
De ne pas pleuré pour des soucis,
Qu'il fallait les oublié,
Et même en rigolé,
Un ange un jour m'a conseillé,
De bien travaillé,
Pour plus tard gagné ma vie,
Et ne pas avoir de soucis,
Un ange un jour nous a quitté,
Et sa pour l'éternité,
Tu ne pourras plus me conseillé,
Mais pépé j'y arriverais j'te promé...
Ce poème est dédié a mon regretté grand-père qui me manque
De ne pas pleuré pour des soucis,
Qu'il fallait les oublié,
Et même en rigolé,
Un ange un jour m'a conseillé,
De bien travaillé,
Pour plus tard gagné ma vie,
Et ne pas avoir de soucis,
Un ange un jour nous a quitté,
Et sa pour l'éternité,
Tu ne pourras plus me conseillé,
Mais pépé j'y arriverais j'te promé...
Ce poème est dédié a mon regretté grand-père qui me manque