Alfred de Musset et le pape.
Posté : 25 février 2013 14:18
Le pape, un jour, car le pape est un homme,
Bandait d'une façon à tout foutre dans Rome.
Que faire en pareil cas ? Se branler ? Ma foi non
C'est mesquin pour un pape, et bon pour un couillon.
Le divin successeur de l'illustre Saint Pierre
Se souvint à l'instant qu'une divine altière
Demeure à trois cents pas. Il y vole d'un trait.
" - Que veut sa papauté, dit la belle en extase,
Rouge de volupté, se dressant sur sa base
Vient elle simplement pour vider ses couillons
Ou pour me prodiguer ses bénédictions "
" - Je viens, dit le pape à la belle coquette,
Lui tapotant le cul et ouvrant sa braguette
Je viens guérir mon vit, car il souffre beaucoup
Tiens, tiens, voilà cent sous, je viens tirer un coup "
La belle, à ses propos, enlève sa culotte,
Et fait voir au prélat une superbe motte
Qui d'un galbe parfait, rouge comme le vermeil,
S'entrouvrit aussitôt comme une huître au soleil.
Le pape en voyant cela, saute sur le morceau, qu'il traverse d'outre en outre
Maculant sa chemise d'un joli trait de foutre
La baise en un instant, la retourne, l'encule,
Ne se sentant arrêté que par ses testicules
Et dans sa vive ardeur, lui brise la cloison,
Qui sépare en ces lieux, et le cul et le con.
Il pénètre si loin dans cet endroit merdeux,
Que la gonzesse en pleure et lâche un pet foireux.
" - Tu me flasques dessus dit le pape en démence
Et bien pour te punir et comme pénitence
De me sucer le noeud je t'invite à l'instant
Car il n'est pas permis de chier en baisant. "
" - Mais mon seigneur, il est tout plein de merde. "
" - Qu'importe, il faut sucer, et que rien ne se perde
C'est là mon dernier mot, c'est mon ultimatum "
Et le pape ajouta Dominum Vobiscum.
Bandait d'une façon à tout foutre dans Rome.
Que faire en pareil cas ? Se branler ? Ma foi non
C'est mesquin pour un pape, et bon pour un couillon.
Le divin successeur de l'illustre Saint Pierre
Se souvint à l'instant qu'une divine altière
Demeure à trois cents pas. Il y vole d'un trait.
" - Que veut sa papauté, dit la belle en extase,
Rouge de volupté, se dressant sur sa base
Vient elle simplement pour vider ses couillons
Ou pour me prodiguer ses bénédictions "
" - Je viens, dit le pape à la belle coquette,
Lui tapotant le cul et ouvrant sa braguette
Je viens guérir mon vit, car il souffre beaucoup
Tiens, tiens, voilà cent sous, je viens tirer un coup "
La belle, à ses propos, enlève sa culotte,
Et fait voir au prélat une superbe motte
Qui d'un galbe parfait, rouge comme le vermeil,
S'entrouvrit aussitôt comme une huître au soleil.
Le pape en voyant cela, saute sur le morceau, qu'il traverse d'outre en outre
Maculant sa chemise d'un joli trait de foutre
La baise en un instant, la retourne, l'encule,
Ne se sentant arrêté que par ses testicules
Et dans sa vive ardeur, lui brise la cloison,
Qui sépare en ces lieux, et le cul et le con.
Il pénètre si loin dans cet endroit merdeux,
Que la gonzesse en pleure et lâche un pet foireux.
" - Tu me flasques dessus dit le pape en démence
Et bien pour te punir et comme pénitence
De me sucer le noeud je t'invite à l'instant
Car il n'est pas permis de chier en baisant. "
" - Mais mon seigneur, il est tout plein de merde. "
" - Qu'importe, il faut sucer, et que rien ne se perde
C'est là mon dernier mot, c'est mon ultimatum "
Et le pape ajouta Dominum Vobiscum.