Justicier dans la ville et vieux fusil (????)
Posté : 03 décembre 2007 21:14
Etrange relativité dans les appréciations.
Quand "UN JUSTICIER DANS LA VILLE" est sorti, ce fut un tollé dans les cercles de la pensée unique gaucho-laxiste. Dans Nice Matin, un plumitif osait écrire que "Paul Kersey, la nuit venue, se transformait en bête humaine, et sortait armé pour se venger".
Pour l'agression, antérieure, de l'épouse et la fille, par une bande de voyous, le même plumitif déclarait beno àtement: "le film commence comme "Orange mécanique". Violence licite, exthétique, donc.
Le point de vue était assez ahurissant.
Mais comme la pensée unique a la peau dure, et malgré la montée de l'insécurité et de la violence, on écrit encore, en 2007, à propos de ce film: "Cette apologie réactionnaire et racoleuse de l'autodéfense"...
Or, de quoi s'agit-il? D'un homme doux et pacifique, qui n'a jamais touché aux armes, qui voit soudain dispara àtre sa femme et sa fille, agressées par des brutes. Il prend une arme, et tue les assassins, au cours d'une randonnée solitaire.
Voil à ce qui hérisse nos bellesâmes. Nul n'a le droit de se faire justice, etc.... :roll:
Pourtant, dans "Le vieux fusil" c'est aussi un homme doux et pacifique, dont on tue la femme et la fille, qui tue un à un tous les assassins.
Et personne ne trouve rien à redire.
On peut m'expliquer?
Ah, mais cette fois, àça se passe pendant la guerre, et les assassins sont des nazis. L à est toute la différence. Le voyou, on n'a le droit de le tuer que s'il est en uniforme, et de préférence, blanc.
C'est simple, mais il fallait y penser. Noiret est un héros, et Bronson un salaud, alors qu'ils font exactement la même chose.
Quand "UN JUSTICIER DANS LA VILLE" est sorti, ce fut un tollé dans les cercles de la pensée unique gaucho-laxiste. Dans Nice Matin, un plumitif osait écrire que "Paul Kersey, la nuit venue, se transformait en bête humaine, et sortait armé pour se venger".
Pour l'agression, antérieure, de l'épouse et la fille, par une bande de voyous, le même plumitif déclarait beno àtement: "le film commence comme "Orange mécanique". Violence licite, exthétique, donc.
Le point de vue était assez ahurissant.
Mais comme la pensée unique a la peau dure, et malgré la montée de l'insécurité et de la violence, on écrit encore, en 2007, à propos de ce film: "Cette apologie réactionnaire et racoleuse de l'autodéfense"...
Or, de quoi s'agit-il? D'un homme doux et pacifique, qui n'a jamais touché aux armes, qui voit soudain dispara àtre sa femme et sa fille, agressées par des brutes. Il prend une arme, et tue les assassins, au cours d'une randonnée solitaire.
Voil à ce qui hérisse nos bellesâmes. Nul n'a le droit de se faire justice, etc.... :roll:
Pourtant, dans "Le vieux fusil" c'est aussi un homme doux et pacifique, dont on tue la femme et la fille, qui tue un à un tous les assassins.
Et personne ne trouve rien à redire.
On peut m'expliquer?
Ah, mais cette fois, àça se passe pendant la guerre, et les assassins sont des nazis. L à est toute la différence. Le voyou, on n'a le droit de le tuer que s'il est en uniforme, et de préférence, blanc.
C'est simple, mais il fallait y penser. Noiret est un héros, et Bronson un salaud, alors qu'ils font exactement la même chose.