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Bonsoir tout le monde !

J’ai vu ce film au cinéma, réalisé par Scott Derrickson avec comme acteur principal Keanu Reeves et Jennifer Connely

L'arrivée sur Terre de Klaatu, un extraterrestre d'apparence humaine est accueillie par une balle perdue.

Ce qui met en colère un inquiétant gigantesque robot.
Notre extraterrestre survie grâce a son extra métabolisme.

Que faut-il retenir de ce film de science fiction.
Avant même de l’arriver de cette rencontre « du troisième type. »
Le monde était au bord du chaos financier et d’une guerre nucléaire (comme part hasard)
avec la Chine.

L’Extraterrestre Klaatu est sorte de mystérieux procureur venu d’ailleurs.
Il a message à délivrer à la secrétaire d’état du gouvernement américain.

Pour nous signifier notre prochaine disparition.
La race humaine toute entière doit mourir, pour préserver la diversité originelle.

L’homme en se détruisant lui-même, va tuer cette magnifique sphère bleue de vie.
Nous ne somme plus locataire, le bail de la terre est terminé par notre prochaine extermination.

C’est alors que se déchaînent les éléments surnaturels.
Sous forme de petits insectes qui bouffent à une vitesse fantastique, goulûment tout sur leur passage: immeubles, camions, voitures, habitations, humains.
Ils sont dissout comme un super acide.

Les autorités sont impuissantes devant la gigantesque catastrophe extraterrestre.

Alors la scientifique joué part Jennifer Connely essaie de convaincre L’extraterrestre Klaatu
de faire stopper ce vaste processus de destruction et élimination.

Un dialogue hautement philosophique atteint un sommet vers la fin du film.
Qand la scientifique Jennifer reconnaît que l’homme a des instincts de prédateurs, mais
que c’est qu'au bord de la catastrophe finale, qu’il changera profondément de mentalité.

Comme notre extraterrestre de sévices Klaatu alias Keanu Reeves en pince pour la belle brunette Jennifer Connely.

La terre sera sauvée de justesse des bestioles bouffeuses d’atomes.
Ha !... C’est beau comme discours!
La nature humaine ne changera, que quand elle sera au bord de l’irréversible fin du monde.

Personne n’aurait le téléphone personnel d’un extraterrestre ?

J’ai un boulot pour lui, une remise à zéro des compteurs sur le libéralisme outrancier qui est loin d’être Extra.
oscar

sa vaut bien un Oscar çà

j'étais pressé de le voir !!
trop déçu, trop débile ce film :langue0
vous humains, trop méchants vous devez disparaitre :content68 :content68

Ça a été pompé sur une autre œuvre qui date des années 50, à l'époque c'était cool. Alors il est gentil Kuni Reeve avec ses passions pour la limite de Plank, les exoplanètes et compagnie, mais voilà, on lui a filé un chèque conséquent.

Ca n'a pas été "pompé", c'est le remake du film des années 50.
Sinon, j'ai été un peu déçu, c'est loin d'être un chef d'oeuvre...
Plus qu'un pladoyer pour la Terre, j'ai l'impression d'avoir vu un réquisitoire contre les militaires et les dirigeants des Etats-Unis. Un être sort de la sphère, on tire dessus.
La sphère inerte et son gardien géant n'ont pas bougé depuis plusieurs heures et ne semblent pas hostiles ? Pas grave, on bombarde. Et comme ça ne donne rien, on "kidnappe" le robot sentinelle, et on essaye de voir ce qu'il y a à l'intérieur... En perçant. Ce qui donne une réplique magnifique : "Chef, le foret en diamant a cassé. - Réparez-le et recommencez." C'est-à-dire qu'une fois réparé, le foret sera plus résistant et percera mieux ?
Et pendant tout ce temps, Klaatu, qui a été blessé par balle en sortant de sa sphère, fait tout ce qu'il peut pour délivrer son message aux représentants du monde, à savoir l'ONU, dans l'espoir de leur changer d'attitude, et il se heurte à la secrétaire d'état à la défense des Etats-Unis, qui est plus bornée qu'une mule, qui ne croit pas à son histoire, et qui veut le "faire parler" en utilisant du penthotal !

Sinon le film se finit bien : Klaatu finit par voir que les humains ne sont pas que destructeurs, arrête la destruction de notre espèce, et s'en va. Fin du film.
Le problème, c'est que seule la scientifique et un prix nobel (admirablement joué par John Cleese) connaissent la vérité, à savoir que notre survie ne tient qu'à un changement radical de nos comportements, ce qui signifie que rien ne va changer : on a échappé à une catastrophe, mais on ne sait pas pourquoi ni comment.
La morale du film est donc que dans quelques temps (années, décennies, siècles ?) un autre extra-terrestre viendra "sauver" la Terre.

Stick a écrit :Sinon le film se finit bien : Klaatu finit par voir que les humains ne sont pas que destructeurs, arrête la destruction de notre espèce, et s'en va. Fin du film.
Le problème, c'est que seule la scientifique et un prix nobel (admirablement joué par John Cleese) connaissent la vérité, à savoir que notre survie ne tient qu'à un changement radical de nos comportements, ce qui signifie que rien ne va changer : on a échappé à une catastrophe, mais on ne sait pas pourquoi ni comment.
La morale du film est donc que dans quelques temps (années, décennies, siècles ?) un autre extra-terrestre viendra "sauver" la Terre.

Bonsoir tout le monde et mes meilleurs vœux de santé à tous !
Stick bien ton commentaire!

Je ne cois pas que les extraterrestres en supposant qu’ils existent veulent modifier notre destin.
Si on n’avait loupé la marche préprogrammée vers une évolution supérieure.

Dans tous les films américains de science fiction, il y a un message subliminal en parallèle avec l’histoire d’origine.

Comme des éléments de puzzle…J’ai mon idée mais elle n’est pas vérifiable et elle reste comme une sorte de sensation confuse d’impression sur une hypothèse.


En 1968 année des films sur les singes !

En 1968 sortait pratiquement en même temps deux films de fiction, sur les singes…

« La planète des singes » roman de Pierre Boulle

Et 2001 l’odyssée de l’espace...Où Kubrick tente d’expliquer l’origine de l’humanité.

Les singes sont-il une mode ?
Je ne sais pas vraiment, mais je constate que
Le père de Kubrick et que Pierre Boulle sont des médecins.

Avec les médecins, les descriptions sont cliniques comme un besoin viscérale d’aller
au bout de leurs analyses.
Sonder la nature humaine, dans ce qu’elle a de plus profond.

Une très belle actrice d’origine Italienne, Monica Bellucci déclare dans une interview.

« Qu’il y a une dimension tragique, dans la nature violente du destin de l’Homme. »

Elle a absolument raison !