silence on...
Posté : 17 mai 2008 01:03
a un orgasme!
Orgasme : Quallume-t-on et qu'éteind-on dans le cerveau?
Chez les femmes il est nécessaire que certaines aires « soient réduites au silence» pour atteindre le plaisir
Que se passe-t-il dans notre organisme à l'instant où il rejoint l'orgasme ? La revue Scientific American approfondit l'argument en allant rechercher quelles sont les racines neurologiques du plaisir sexuel, ou bien l'ensemble des signaux et des activités des diverses aires du cerveau qui aident « à perdre la tête » et déterminent la réalisation de l'orgasme.
Parmi les recherches citées par la revue il y a celle conduite en 2006 sur un échantillon de femmes de l'université Groningen, qui a permis de découvrir que pendant la phase d'excitation on vérifie l'activation des neurones de quelques aires du cerveau, dans l'instant du plaisir féminin maximum les neurones de quelques portions de la matière grise se désactivent, ils deviennent muets.
Une des aires en question est celle cortico orbito-frontale latérale gauche, préposée à la gestion de la ma àtrise de soi : la diminution de l'activité serait donc une indication que notre cerveau dans un certain sens facilite la réalisation de l'orgasme en faisant perdre les inhibitions. Un analogue ralentissement se produit dans la zone cortico prefrontale dorsomediale, d'où on pense que naisse la pensée morale : dans un tel cas la paresse des neurones correspond à une suspension de la capacité de jugement et de réflexion. Et encore, une activité neuronale réduite même dans l'amigdale du cerveau des femmes, qui est impliquée dans les émotions et dans la peur : parce qu'il est nécessaire d'évacuer le champ de craintes et anxieté si on veut que les femmes rejoignent l'orgasme. Tout est plus simple pour les hommes, au contraire, dont l'activité neuronale semble ne pas nécessiter d'être mise au repos pour faciliter le plaisir, et ne cesse non plus de répondre vivement aux stimulations sensorielles. Ce qui signifierait que, paradoxalement, pour avoir un orgasme les femmes doivent supprimer les émotions, pendant que le sexe fort s'en sort bien de toute façon.
Traduit de l'italien
http://www.corriere.it/salute/08_maggio ... 6ba6.shtml
Orgasme : Quallume-t-on et qu'éteind-on dans le cerveau?
Chez les femmes il est nécessaire que certaines aires « soient réduites au silence» pour atteindre le plaisir
Que se passe-t-il dans notre organisme à l'instant où il rejoint l'orgasme ? La revue Scientific American approfondit l'argument en allant rechercher quelles sont les racines neurologiques du plaisir sexuel, ou bien l'ensemble des signaux et des activités des diverses aires du cerveau qui aident « à perdre la tête » et déterminent la réalisation de l'orgasme.
Parmi les recherches citées par la revue il y a celle conduite en 2006 sur un échantillon de femmes de l'université Groningen, qui a permis de découvrir que pendant la phase d'excitation on vérifie l'activation des neurones de quelques aires du cerveau, dans l'instant du plaisir féminin maximum les neurones de quelques portions de la matière grise se désactivent, ils deviennent muets.
Une des aires en question est celle cortico orbito-frontale latérale gauche, préposée à la gestion de la ma àtrise de soi : la diminution de l'activité serait donc une indication que notre cerveau dans un certain sens facilite la réalisation de l'orgasme en faisant perdre les inhibitions. Un analogue ralentissement se produit dans la zone cortico prefrontale dorsomediale, d'où on pense que naisse la pensée morale : dans un tel cas la paresse des neurones correspond à une suspension de la capacité de jugement et de réflexion. Et encore, une activité neuronale réduite même dans l'amigdale du cerveau des femmes, qui est impliquée dans les émotions et dans la peur : parce qu'il est nécessaire d'évacuer le champ de craintes et anxieté si on veut que les femmes rejoignent l'orgasme. Tout est plus simple pour les hommes, au contraire, dont l'activité neuronale semble ne pas nécessiter d'être mise au repos pour faciliter le plaisir, et ne cesse non plus de répondre vivement aux stimulations sensorielles. Ce qui signifierait que, paradoxalement, pour avoir un orgasme les femmes doivent supprimer les émotions, pendant que le sexe fort s'en sort bien de toute façon.
Traduit de l'italien
http://www.corriere.it/salute/08_maggio ... 6ba6.shtml