tisiphoné a écrit :
un peu d'histoire Rananen , la toute première agression relève des palestiniens : en 1948
en non respect des conventions des nations unies les Egyptiens , les Transjordaniens , les Syriens , et même les Libanais , ont envoyé leurs armées respectives , pour attaquer Israël : convoi sanitaire attaqué et exterminé , kibboutzs massacrés ...............
et un autre petit rappel , la Palestine était un désert en 1850 ,c'est quand les juifs s'y sont intéressé que sont venu de Syrie , Libye Egypte et Liban , en masse , pour profiter de l'"amélioration et du niveau de vie apportés par les juifs .
les véritables palestiniens en fait ce sont des juifs !!
Le conflit israélo-arabe a commencé début des années 1920 quand le nationalisme sioniste et le nationalisme palestinien se sont affrontés pour le contrôle de la Palestine, à l'époque sous contrôle britannique.
Il est initialement marqué par la protestation puis la lutte contre l'immigration juive et par plusieurs massacres perpétrés contre des communautés juives palestiniennes en 1920, 1929 et 1936. En 1936, les Arabes palestiniens se rebellent contre l'autorité britannique et réclament leur indépendance mais sont écrasés par les Britanniques. À ce moment également, la communauté juive se renforce militairement et l'Irgoun, une force paramilitaire sioniste, mène contre les Arabes des opérations de représailles meurtrières.
Après la Seconde Guerre mondiale, c'est au tour d'une partie de la communauté juive, dans le chef de l'Irgoun et du Lehi de mener des attaques contre les Britanniques pour réclamer la création d'un État juif tandis que les instances politiques officielle, l'Agence juive milite au niveau politique et organise une force paramilitaire : la Haganah. À ce moment, les Arabes palestiniens se réorganisent péniblement.
Suite à ces évènements et au contexte international, les Britanniques décident de quitter la Palestine et remettent leur mandat à l'ONU. Celle-ci charge alors une commission d'enquête, l'UNSCOP de trouver une solution au problème et recommande le Partage de la Palestine qui est voté le 29 novembre 1947.
Il s'en suit le lendemain une guerre civile particulièrement sanglante, qui voit les États arabes prendre part au conflit. Six semaines avant la fin du mandat, les Juifs lancent une offensive qui balaient les forces palestiniennes et provoque l'exode de la population palestinienne. Le 14 mai, l'État d'Israël est proclamé et les États arabes voisins entrent officiellement en guerre : c'est la Première guerre israélo-arabe. En six mois, suite à la construction d'une armée numériquement supérieure, plus motivée, rapidement mieux équipée, les Israéliens mènent une série d'offensives qui se soldent par la prise de contrôle de 77 % de l'ancienne Palestine mandataire dans ce qui est aujourd'hui les frontières internationalement reconnues d'Israël. Un autre exode palestinien s'en suit avec près de 350 000 Arabes palestiniens qui sont expulsés de chez eux, pour un total de 730 000-750 000 réfugiés palestiniens. Ces réfugiés sont un point majeur du contentieux israélo-arabe.
Les frontières issues des accords d'armistice sont longues et étriquées. Elles ne suivent aucun élément géographique naturel et séparent parfois les champs de leur village. Entre 1949 et 1956, elles font l'objet d'infiltrations de la part de Palestiniens qui souvent veulent retourner labourer leur champ ou voler dans les implantations juives mais parfois également perpétrer des attentats et prendre leur revanche. Israël répond par la force en se lançant dans une politique de représailles dont certaines mènent à des massacres, comme à Qibya en 1953.