la drogue , les drogues , et ses effets ......
Posté : 26 janvier 2009 10:00
Les drogues sont naturellement consommées pour leurs effets mais leur usage présente toujours des risques et des dangers.
Ces effets, risques et dangers varient selon les produits utilisés, mais aussi selon l'usage qui en est fait, selon la sensibilité, l’état physique et psychique du consommateur et selon les circonstances de la consommation.
Les raisons pour lesquelles chacun peut être amené à consommer des drogues diffèrent pour chaque individu, son histoire, son état de santé, son environnement familial :
* on peut boire un verre d'alcool pour se détendre, vivre des moments de convivialité avec des amis, pour le plaisir de goûter un bon vin, pour se sentir mieux ou surmonter un moment douloureux,
* fumer du tabac ou du cannabis pour faire comme les autres, pour se détendre ou se stimuler, pour un moment de plaisir partagé avec d'autres, ou plus fréquemment parce qu'on ne peut plus s'arrêter,
* consommer de la cocaïne ou des amphétamines pour surmonter la fatigue et "briller en société" ou être "performant" dans son milieu professionnel,
* consommer abusivement une substance, cannabis ou héroïne par exemple, pour atténuer une sensation de malaise, rechercher l'oubli d'une souffrance ou d'une réalité vécue comme insupportable ou oublier une dépression.
La consommation de ces produits procure un plaisir ou un soulagement immédiat, qui ne sont pas toujours contrôlés.
Mais cette consommation expose aussi à des risques et des dangers pour la santé et le comportement social. Elle peut également entraîner des accidents parfois graves. Elle peut dans la plupart des cas conduire à la dépendance.
Les effets
Nous parlerons ici des effets recherchés par le consommateur. Comme nous l'avons dit, ils dépendent du produit utilisé, mais aussi de la sensibilité et de l’état physique et psychique du consommateur, ainsi que de l’environnement dans lequel il se trouve au moment de la consommation.
Par exemple un cachet d’ecstasy n’aura pas tout a fait le même effet s’il est pris au cours d’une rave-party, environnement bruyant et agité, ou chez soi, seul, en couple ou avec des amis.
Les effets varient donc selon la nature de la drogue, nous l’avons vu précédemment dans le "classement des drogues selon leurs effets", pour mémoire :
* Les dépresseurs : Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine, etc.).
Ces produits entraînent une sensation de détente, de bien-être et de rêve ainsi parfois qu'une perte d'inhibition.
* Les stimulants : Tabac, Cocaïne, Crack, Amphétamines, Médicaments stimulants et dopants, Ecstasy, GHB.
Ces produits favorisent temporairement un état d'éveil et d'excitation et masquent la fatigue. Ils induisent un sentiment fallacieux d'assurance et de contrôle de soi. L'effet est généralement suivi d'un état d'épuisement et de dépression.
* Les hallucinogènes ou perturbateurs : Cannabis et produits dérivés, produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, L.S.D., champignons hallucinogènes etc.
Ces produits provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de la réalité : modifications de la perception du temps et de l'espace, sensibilité exacerbée aux couleurs et aux sons, confusion des sens (on "voit les sons" ou on "entend les images").
Rappelons que certaines drogues peuvent, selon la dose absorbée et le contexte d’utilisation, présenter des effets de plusieurs catégories, c’est par exemple le cas du cannabis.
Le consommateur, selon son désir, pourra donc à volonté :
* Trouver la détente et l’éloignement du quotidien avec l’alcool, le tabac, le cannabis ou l’héroïne.
* Faire preuve de convivialité avec l’alcool, le cannabis ou la cocaïne.
* Faciliter l’empathie avec l’ecstasy.
* Rechercher une désinhibition et vaincre sa timidité avec l’alcool, le cannabis et tous les stimulants.
* Chercher l’ivresse et le délire pour "se défoncer" avec l’alcool, le cannabis ou, pour un bref instant, avec les produits volatils.
* Passer une nuit folle avec de l’ecstasy pour danser toute la nuit.
* Délirer dans un monde fantastique avec les hallucinogènes et particulièrement le LSD ou les champignons hallucinogènes.
* Avoir l’impression (souvent fallacieuse) d’être brillant en société et de dominer le monde avec les stimulants, particulièrement la cocaïne ou les amphétamines.
* Trouver un plaisir orgasmique en solitaire avec l’héroïne.
* "Soigner" sa dépression ou son anxiété avec l’alcool, le tabac, le cannabis ou l’héroïne.
* Etc. etc.
L’éventail des possibilités et de l’intensité des effets est donc particulièrement large.
L’accoutumance lors de consommations répétées a pour conséquence de diminuer les effets, ce qui pousse à augmenter progressivement les doses et conduit ensuite à la dépendance.
Ces effets, risques et dangers varient selon les produits utilisés, mais aussi selon l'usage qui en est fait, selon la sensibilité, l’état physique et psychique du consommateur et selon les circonstances de la consommation.
Les raisons pour lesquelles chacun peut être amené à consommer des drogues diffèrent pour chaque individu, son histoire, son état de santé, son environnement familial :
* on peut boire un verre d'alcool pour se détendre, vivre des moments de convivialité avec des amis, pour le plaisir de goûter un bon vin, pour se sentir mieux ou surmonter un moment douloureux,
* fumer du tabac ou du cannabis pour faire comme les autres, pour se détendre ou se stimuler, pour un moment de plaisir partagé avec d'autres, ou plus fréquemment parce qu'on ne peut plus s'arrêter,
* consommer de la cocaïne ou des amphétamines pour surmonter la fatigue et "briller en société" ou être "performant" dans son milieu professionnel,
* consommer abusivement une substance, cannabis ou héroïne par exemple, pour atténuer une sensation de malaise, rechercher l'oubli d'une souffrance ou d'une réalité vécue comme insupportable ou oublier une dépression.
La consommation de ces produits procure un plaisir ou un soulagement immédiat, qui ne sont pas toujours contrôlés.
Mais cette consommation expose aussi à des risques et des dangers pour la santé et le comportement social. Elle peut également entraîner des accidents parfois graves. Elle peut dans la plupart des cas conduire à la dépendance.
Les effets
Nous parlerons ici des effets recherchés par le consommateur. Comme nous l'avons dit, ils dépendent du produit utilisé, mais aussi de la sensibilité et de l’état physique et psychique du consommateur, ainsi que de l’environnement dans lequel il se trouve au moment de la consommation.
Par exemple un cachet d’ecstasy n’aura pas tout a fait le même effet s’il est pris au cours d’une rave-party, environnement bruyant et agité, ou chez soi, seul, en couple ou avec des amis.
Les effets varient donc selon la nature de la drogue, nous l’avons vu précédemment dans le "classement des drogues selon leurs effets", pour mémoire :
* Les dépresseurs : Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine, etc.).
Ces produits entraînent une sensation de détente, de bien-être et de rêve ainsi parfois qu'une perte d'inhibition.
* Les stimulants : Tabac, Cocaïne, Crack, Amphétamines, Médicaments stimulants et dopants, Ecstasy, GHB.
Ces produits favorisent temporairement un état d'éveil et d'excitation et masquent la fatigue. Ils induisent un sentiment fallacieux d'assurance et de contrôle de soi. L'effet est généralement suivi d'un état d'épuisement et de dépression.
* Les hallucinogènes ou perturbateurs : Cannabis et produits dérivés, produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, L.S.D., champignons hallucinogènes etc.
Ces produits provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de la réalité : modifications de la perception du temps et de l'espace, sensibilité exacerbée aux couleurs et aux sons, confusion des sens (on "voit les sons" ou on "entend les images").
Rappelons que certaines drogues peuvent, selon la dose absorbée et le contexte d’utilisation, présenter des effets de plusieurs catégories, c’est par exemple le cas du cannabis.
Le consommateur, selon son désir, pourra donc à volonté :
* Trouver la détente et l’éloignement du quotidien avec l’alcool, le tabac, le cannabis ou l’héroïne.
* Faire preuve de convivialité avec l’alcool, le cannabis ou la cocaïne.
* Faciliter l’empathie avec l’ecstasy.
* Rechercher une désinhibition et vaincre sa timidité avec l’alcool, le cannabis et tous les stimulants.
* Chercher l’ivresse et le délire pour "se défoncer" avec l’alcool, le cannabis ou, pour un bref instant, avec les produits volatils.
* Passer une nuit folle avec de l’ecstasy pour danser toute la nuit.
* Délirer dans un monde fantastique avec les hallucinogènes et particulièrement le LSD ou les champignons hallucinogènes.
* Avoir l’impression (souvent fallacieuse) d’être brillant en société et de dominer le monde avec les stimulants, particulièrement la cocaïne ou les amphétamines.
* Trouver un plaisir orgasmique en solitaire avec l’héroïne.
* "Soigner" sa dépression ou son anxiété avec l’alcool, le tabac, le cannabis ou l’héroïne.
* Etc. etc.
L’éventail des possibilités et de l’intensité des effets est donc particulièrement large.
L’accoutumance lors de consommations répétées a pour conséquence de diminuer les effets, ce qui pousse à augmenter progressivement les doses et conduit ensuite à la dépendance.