L insecurité !!! reglement de compte dans le 93

[scorpion3917]

et 2 en moins, mais c'est pas encore assez.

[Rananen]

Etonnement ????

Mais c'est tous les jours ,sur notre territoire, que de tels actes sont commis............et pire encore.

n importe quoi ....



sinon les règlements de compte dans le banditisme et les trafiquant c est aussi vieux que le monde , rien de nouveau .

[Crapulax]

et 2 en moins, mais c'est pas encore assez.

Oui mais le karcher était en panne.

[tisiphoné]

Premier épisode mercredi. En milieu d'après-midi, une fusillade éclate avenue de la Paix à Tremblay-en-France (Seine-Saint-Denis), dans la cité du Grand-Ensemble du quartier Mikado. Une dizaine de coups de feu étaient tirés en direction d'un groupe, faisant deux morts - deux frères, selon Le Parisien - et un blessé grave, hospitalisé à l’hôpital Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine).

Un règlement de compte lié au trafic de drogue avait indiqué la préfecture peu après la fusillade.

Deuxième épisode dans la nuit de vendredi à samedi, raconté par Le Parisien. Aux alentours de 01h du matin, quatre individus cagoulés sont surpris par le personnel soignant alors qu’ils parcourent les couloirs du service d’orthopédie-traumatologie où a été admis le blessé.

Mis en fuite, les quatre intrus prennent la fuite dans une voiture stationnée à proximité de l’hôpital. La police immédiatement avertie n'a pu retrouver le véhicule des fuyards malgré un vaste dispositif de recherche.

"La chambre de la victime est désormais gardée 24 heures sur 24 par un policier", confie une source proche de l’affaire au Parisien. Des rondes sont aussi régulièrement effectuées par la police autour de l’hôpital, rapporte le quotidien.

Le tireur présumé de la fusillade a été arrêté par la police jeudi matin à Soissons (Aisne). Placé en garde à vue et reconnu par plusieurs témoins de la scène, l'homme de 26 ans, ancien habitant du Grand-Ensemble a nié les faits. L'étude des empreintes digitales relevées sur le chargeur de l’arme du tueur serait toujours en cours.

Les enquêteurs de police judiciaire de Seine-Saint-Denis ont été saisis de l'enquête sur l'intrusion à l'hopital Beaujon.