Un devoir de mémoire, Irena SENDLER
Posté : 10 mai 2011 22:52
Irena Sendler. décédée à 98 ans, le 12 mai 2008
Pendant la 2ème guerre mondiale, elle demanda à aller travailler dans le Ghetto de Varsovie, comme plombier-serrurier. Cette Allemande avait une motivation bien particulière : Elle connaissait les plans d’extermination des nazis envers les Juifs.
Irena cachait des enfants dans le fond de la boite à outils qu’elle transportait à l’arrière de son véhicule, ainsi qu’un grand sac (pour les enfants plus grands). Elle avait aussi un chien à l’arrière qu’elle avait entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlaient à l’entrée et à la sortie du ghetto. Les aboiements de ce chien couvraient en fait le bruit que pouvaient faire les enfants.
Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi, munis de faux papiers, dans des familles ou dans des institutions chrétiennes (Irena expliquera : « J’ai placé la plupart des enfants dans des établissements religieux. (…) Je savais que je pouvais compter sur les Sœurs. »).
Arrêtée par les nazis qui lui brisèrent les jambes, et les bras et la torturèrent très sévèrement, elle ne parla jamais.
Irena avait noté tous les noms des enfants qu’elle avait fait sortir du Ghetto et avait enfermé ces listes dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre, au fond de son jardin. Après la guerre, elle essaya de localiser tous les parents qui avaient pu survivre et tenta de réunir les familles. Mais la plupart avaient été gazées. Les enfants sauvés furent placés dans des familles d’accueil ou adoptés.
En 2007, Irena a été proposée pour le prix Nobel de la Paix, mais n’a pas été retenue. C’est Al Gore qui fut primé cette année-là pour son film sur le réchauffement de la planète.
Je participe ici à honorer sa mémoire, très modestement en faisant suivre ce message.
J’espère que vous ferez de même. Traduisez-le, si besoin est. Irena n’a pas eu le prix Nobel, mais la reconnaissance des enfants qu’elle a sauvés et de leurs descendants vaut tous les prix.
Pendant la 2ème guerre mondiale, elle demanda à aller travailler dans le Ghetto de Varsovie, comme plombier-serrurier. Cette Allemande avait une motivation bien particulière : Elle connaissait les plans d’extermination des nazis envers les Juifs.
Irena cachait des enfants dans le fond de la boite à outils qu’elle transportait à l’arrière de son véhicule, ainsi qu’un grand sac (pour les enfants plus grands). Elle avait aussi un chien à l’arrière qu’elle avait entrainé à aboyer quand les soldats allemands la contrôlaient à l’entrée et à la sortie du ghetto. Les aboiements de ce chien couvraient en fait le bruit que pouvaient faire les enfants.
Elle sauva 2500 enfants en les cachant ainsi, munis de faux papiers, dans des familles ou dans des institutions chrétiennes (Irena expliquera : « J’ai placé la plupart des enfants dans des établissements religieux. (…) Je savais que je pouvais compter sur les Sœurs. »).
Arrêtée par les nazis qui lui brisèrent les jambes, et les bras et la torturèrent très sévèrement, elle ne parla jamais.
Irena avait noté tous les noms des enfants qu’elle avait fait sortir du Ghetto et avait enfermé ces listes dans une jarre en verre enterrée derrière un arbre, au fond de son jardin. Après la guerre, elle essaya de localiser tous les parents qui avaient pu survivre et tenta de réunir les familles. Mais la plupart avaient été gazées. Les enfants sauvés furent placés dans des familles d’accueil ou adoptés.
En 2007, Irena a été proposée pour le prix Nobel de la Paix, mais n’a pas été retenue. C’est Al Gore qui fut primé cette année-là pour son film sur le réchauffement de la planète.
Je participe ici à honorer sa mémoire, très modestement en faisant suivre ce message.
J’espère que vous ferez de même. Traduisez-le, si besoin est. Irena n’a pas eu le prix Nobel, mais la reconnaissance des enfants qu’elle a sauvés et de leurs descendants vaut tous les prix.