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flow7 a écrit : Bernard-Henry Levy appel au boycott de la Corse comme destination touristique . . .

Face à la violence qui secoue la Corse, le philosophe s’interroge sur un éventuel boycott portant sur le tourisme…

Présent sur tous les fronts, Bernard-Henri Levy, le Paris Hilton de la philosophie, qualifié par ailleurs de ” l’autre ministre des Affaires étrangères “ par Le Point, s’est une fois de plus démarqué par sa submergeante pseudo réflexion philosophique, portant ce coup-ci sur la Corse et les violences perpétrées au sein de l’île de beauté.

Invité dimanche dernier dans l’émission « Dimanche + » de la chaine cryptée, le représentant de l’engagement citoyen s’est, après la diffusion d’un reportage sur les assassinats en Corse, illustré en faveur d’un possible boycott de la Corse comme destination touristique.

max56 a écrit : Pas contre si on boycott Israel là c'est de l’antisémitisme. Des que je le vois je zappe

doublon a écrit : Il est censé être philosophe ce mec... Sauf qu'il est vraiment idiot. :roll:

Provoquer en disant qu'il faut boycotter la Corse sur le plan touristique c'est favoriser deux choses : 1) la haine de certains corses envers les continentaux ou la développer chez d'autres corses, 2) renforcer les préjugés à l'encontre des corses chez les continentaux. En gros, c'est renforcer le bordel... Mais j'ai confiance : ce boycotte n'aura jamais lieu. Pour un philosophe, je trouve cette proposition vraiment absurde.

Au lieu de balancer ce genre d'inepties et de se prendre pour le maître de l'univers, il devrait fermer sa gueule et laisser les autorités publiques gérer la chose, déjà que c'est coton.

Sergent Major a écrit : Il vaut mieux pas qu'il s'approche de la Corse, ils ne se contenteront pas de l'entarter !!!

gemmill a écrit : il est pas méchant "béchamel" , juste un peu narcissique...

kazer04 a écrit : C'est pas interdis en france les appels au boycott?

Patrick_NL a écrit : Une circulaire de la chancellerie stipule que tout appel au boycott des produits d’un pays est désormais assimilé à un délit pour « provocation publique à la discrimination envers une nation » puni d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende. Le ministère demande aux procureurs de la République d’assurer une répression « ferme et cohérente » de ces agissements.