La cote de confiance de Sarkozy
Posté : 30 juin 2011 19:07
Cela ne lui était pas arrivé depuis l'automne 2008 ! Depuis cette date, la cote de Nicolas Sarkozy, enregistrée par TNS Sofres, n'a plus connu deux mois consécutifs de hausse ! Preuve que la stratégie de la discrétion, adoptée depuis le début de l'année par l'Élysée, est la bonne : après une hausse de 2 points en juin, la cote du chef de l'État monte de 3 points en juillet, et plus nettement chez ceux qui se déclarent sans préférence partisane (+ 6).
Si cette progression n'est pas encore visible dans les enquêtes d'intentions de vote, elle permet au président de la République d'envisager l'avenir avec plus de sérénité. D'autant que la nomination de Christine Lagarde à la direction générale du FMI devrait être portée à son crédit. Malgré la démission de Dominique Strauss-Kahn, la France a su rapidement trouver un nouveau candidat et imposer à la communauté internationale une femme à la tête d'une des plus prestigieuses institutions.
Le remaniement effectué dans la foulée du départ de Lagarde a permis à Nicolas Sarkozy de faire monter la jeune garde chiraquienne et de grossir les rangs des centristes à ses côtés. Un double mouvement destiné à répondre d'une part à Jacques Chirac, qui avait montré sa préférence pour François Hollande, et à Jean-Louis Borloo, qui tente de fédérer les centristes pour créer une alternative à l'UMP
Si cette progression n'est pas encore visible dans les enquêtes d'intentions de vote, elle permet au président de la République d'envisager l'avenir avec plus de sérénité. D'autant que la nomination de Christine Lagarde à la direction générale du FMI devrait être portée à son crédit. Malgré la démission de Dominique Strauss-Kahn, la France a su rapidement trouver un nouveau candidat et imposer à la communauté internationale une femme à la tête d'une des plus prestigieuses institutions.
Le remaniement effectué dans la foulée du départ de Lagarde a permis à Nicolas Sarkozy de faire monter la jeune garde chiraquienne et de grossir les rangs des centristes à ses côtés. Un double mouvement destiné à répondre d'une part à Jacques Chirac, qui avait montré sa préférence pour François Hollande, et à Jean-Louis Borloo, qui tente de fédérer les centristes pour créer une alternative à l'UMP