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Les Etats-Unis, dans une "alerte mondiale" au terrorisme de leur ministère des Affaires étrangères, ont appelé diplomates et voyageurs américains à la prudence après la découverte d'un complot iranien présumé contre l'ambassadeur saoudien à Washington.

Le département d'Etat estime que ce complot "peut être le signe d'une focalisation plus agressive des autorités iraniennes sur des activités terroristes contre les diplomates de certains pays, y compris contre les Etats-Unis", peut-on lire sur son site internet.

"Les citoyens américains résidant et voyageant à l'étranger devraient tenir compte des conseils de précaution du département d'Etat et d'autres informations aux voyageurs avant de décider de leurs déplacements et de leurs activités", ajoute-t-il.

Le ministre américain de la Justice, Eric Holder, avait annoncé mardi l'inculpation de deux ressortissants iraniens accusés d'avoir tenté d'assassiner l'ambassadeur Abdel Al-Jubeir, proche conseiller du roi Abdallah. Ce complot impliquerait les Brigades Al Qods, commandos liés aux Gardiens de la Révolution, corps d'élite de la République islamique d'Iran.

ce qui se dit,ce qui se fait,la vérité.
tout cela est bien complexe,et je pense qu'il ne faut pas céder a une psychose imposée.

Tiens,les élections approchent aux USA.

Crapulax a écrit : Tiens,les élections approchent aux USA.

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je suis pas sur que ca fasse encore recette ce types d'actions

Si les Etats-Unis parvenaient à prouver la participation de l'Iran à la tentative d'attentat présumée à Washington, le Conseil de sécurité de l'ONU pourrait intervenir plus durement contre le régime.Il serait ainsi avéré que l'Iran s'exclut lui-même de la communauté internationale. Cela devrait alors avoir des répercussions sur le Conseil de sécurité de l'ONU et sur sa vision du programme nucléaire iranien. Les Etats qui ont jusqu'à maintenant préservé Téhéran de sanctions plus strictes auraient plus de mal à trouver des arguments leur permettant de continuer ainsi leur politique. Sanctionner l'Iran continue à être le meilleur moyen de le dissuader d'avoir la bombe atomique. … Les dirigeants à Téhéran en sont évidemment aussi conscients. Il y a des chances qu'ils poursuivent ainsi une stratégie qui a fait ses preuves depuis plusieurs années et qu'ils tentent, sous couvert de concessions apparentes, d'entamer de nouvelles négociations qui s'enliseront de nouveau par la suite.Frankfurter Allgemeine Zeitung
L'Iran a plongé le Proche-Orient dans la mort et la destruction depuis des décennies. Mais son rôle a été délibérément exagéré. Sanctionner l'Iran sera de plus en plus difficile. Le programme nucléaire opaque de Téhéran pose la question inquiétante de savoir si celle-ci disposera bientôt d'un bouclier nucléaire derrière lequel elle pourra certainement intensifier l'intervention de ses militants. La solution privilégiée par l'Arabie saoudite - une intervention militaire - serait insensée et reviendrait à faire un cadeau au régime iranien. Mais au regard de la nucléarisation de l'Iran et de l'inévitable réaction saoudienne, les rivalités actuelles sont perçues comme une broutille.The Daily Telegraph
Comme on peut le voir, l'approche britannique et la vision allemande sont identique sur le regime iranien mais different sur les eventuelles sanctions.

tentative présumée? ca veut dire quoi ca?

Fonck1 a écrit : tentative présumée? ca veut dire quoi ca?

Cela veut dire que l'on en a pas les preuves absolues d'ou les precautions de language du Frankfurter Allgemeine Zeitung .

les daily telegraph en plus,c'est un journal limite extrême droite.
les intentions ne peuvent être que claires.

Joe Biden devient le 47e Vice-Président des États-Unis le 20 janvier 2009 et des Juillet de la meme annee, il a dit au New York Times que les Etats-Unis n'opposeraient pas leur veto à une décision israélienne de lancer une frappe militaire contre l'Iran. Le moment choisi par Biden pour faire cette déclaration est politiquement significatif. En pleine lutte acharnée pour le pouvoir au sein de l'establishment politique iranien, le message de Biden est un avertissement, notamment à l'égard des puissants de la République islamique qui n'ont pas encore choisi leur camp, pour dire que les Etats-Unis et ses clients ne vont pas attendre indéfiniment que les forces dissidentes effectuent un changement de régime en Iran.
Pour bien enfoncer le clou, au discours du vice-président s'est ajoutée une chronique de Roger Cohen, tout juste rentré de ses exploits à Téhéran où il était responsable de la campagne de propagande post-électorale du New York Times, et dans laquelle il encourage fortement les opposants d'Ahmadinejad dans la République islamique à procéder à la « défenestration » du président.

On voit bien qu'il n'y a rien de nouveau sous le soleil: l'Iran est dans lke colimateur d'Obama.

ben ya du pétrole la bas aussi.

tous ça sens la manipulation a plein nez !

L'Iran est la première menace envers les Etats-Unis au Moyen-Orient, a estimé vendredi un responsable de l'armée américaine, qui s'exprimait sous le sceau de l'anonymat. Le risque présenté par Téhéran surpasse celui d'el-Qaëda, qui est sur le déclin mais n'a pas disparu, a-t-il ajouté."La principale menace envers les Etats-Unis, nos intérêts et ceux de nos amis (...) est désormais en pleine lumière : il s'agit de l'Iran", a déclaré ce responsable, en marge d'un colloque à Washington.
Il a toutefois jugé que la République islamique n'avait pas l'intention de provoquer un conflit, et reconnu ne pas savoir si elle avait pris la décision de construire une arme nucléaire.
L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) doit remettre la semaine prochaine un rapport sur les activités nucléaires de l'Iran. De source diplomatique européenne, on indique que ce rapport prouve l'existence d'activités de recherche ne pouvant se justifier que par la conduite d'un programme militaire.

la grosse branlette électorale est de retour.

"yes we can"....be like Bush.

Les présidents américain et français Barack Obama et Nicolas Sarkozy sont néanmoins d’accord pour maintenir la pression sur Téhéran. « Nous avons eu l’occasion de parler d’une série de questions relatives à la sécurité. En particulier la menace persistante que pose le programme nucléaire iranien », a affirmé M. Obama à l’issue d’un entretien avec M. Sarkozy à Cannes, au sommet du G20.
Bush avait un caniche a londres avec Tony Blair, Obama a le sien a Paris avec Nicolas Sarkozy .