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La théorie dite "du 100ème singe"
Sur une île japonaise un macaque a, un beau jou,r transmis à ses congénères la pratique de laver sa patate dans l'eau du ruisseau…. cela évite d'avoir à avaler ou à cracher la saleté des patates pas lavées ! Phénomène étrange... à partir d'un certain nombre, par exemple 99, quand la pratique s'est étendue au centième singe c'est toute la communauté qui s'est mise à laver ses patates ! plus incroyable encore: les singes des îles avoisinantes eux aussi se sont mis à laver leur patates... alors qu'aucun singe de l'île n'a voyagé ni…. n'a téléphoné à ses cousins des autres îles... !

Il est naturel de penser que pour changer le monde, il faut qu’au moins la moitié de la population plus une personne y consenteLe centième singe est là pour nous rappeler que nous avons du pouvoir. En vérité, il n’est pas nécessaire que la moitié des gens soit prête. Ce qui est important, c’est que la nécessité d’un changement fasse l’objet d’une prise de conscience d’un nombre suffisant de personnes.

Aujourd’hui, nous sommes engagés dans une course contre la montre. Certains d’entre nous sont prêts à tout au nom de Dieu, du profit, du pouvoir ou pour conserver leur mode de vie aussi inadapté que gaspilleur, même si cela conduit à la fin du monde.

A l’opposé, d’autres cherchent avec sincérité des solutions valables aux problèmes humains, sociaux, économiques et politiques de notre planète. Ces derniers incarnent une conscience supérieure de ce qu’est la Vie.

A mesure qu’un nombre de plus en plus grand d’entre nous intégrera cette conscience, nous nous rapprocherons de la masse critique. Voilà l’essentiel. C’est une condition que l’humanité peut maîtriser.

Pour cela, nous devons nous rassembler et choisir d’évoluer consciemment, dans la co-création, vers un nouveau monde. Lorsque cette masse critique sera atteinte, les choses changeront de façon soudaine et irréversible et l’Humanité dans son ensemble basculera dans un nouveau paradigme.

Nous avons largement les moyens, depuis quelques décennies, de mettre fin à toute vie humaine sur Terre. Or la coexistence d’une technologie avancée avec une conscience limitée est un mélange dangereux. Sans une prise de conscience planétaire, tôt ou tard la première croisera la deuxième et ce sera probablement le début de la fin.

Notre avenir est entre nos mains à tous, bien plus que nous ne le pensions. Dans un monde où les trois quarts des habitants sont encore confrontés à des problèmes de survie quotidienne et où presque le quart restant s’accroche à ses acquis et ses intérêts propres, il aurait été illusoire de penser rallier la majorité à une prise de conscience plus vaste en conquérant les âmes une à une. Mais avec « le phénomène du centième singe », cela n’est plus impossible.

Au niveau individuel, c’est la prise de conscience qui est la clé. Au niveau collectif, c’est notre nombre. Entre les deux, la masse critique est la solution. Le reste se fera naturellement. Mais nous n’avons pas tout notre temps. La Terre souffre, les humains souffrent et d’autres sont prêts à utiliser notre technologie mortelle pour asseoir définitivement leur domination.

Ken Keyes Jr est l’auteur de « The Hundredth Monkey », « Le centième singe »,(1) Ce livre est libre de droits d’auteur (copyrights) et le matériel peut être reproduit en tout ou en partie.

La théorie du 100e singe :
http://www.lespasseurs.com/100eme_singe.htm

En réalité nous n'avons aucune alternative. Penser que bâtir un modèle, qui se voudra pérenne et sain, forgé à partir de référents essentiellement humains est une aberration. La conscience humaine est naturellement faillible. Le simple fait de regarder en arrière les lois, les habitudes qui régissaient nos sociétés permet de parvenir à la conclusion que ce qui est vrai aujourd'hui sera nécessairement faux demain.
En réalité nous vivons dans un présent erroné. Or la perfection ne souffre d'aucun changement, ce qui évolue est nécessairement imparfait. Nous sommes dans l'erreur car nos initiatives, nos lois n'émanent que de nos seules et uniques consciences.
Or, il y a autant de perceptions, autant de paradigmes qu'il y a d'humains pour les avoir. Ce qui fait que dans cette perspective la vérité n'existe nulle part. Tout le monde a raison selon son point de vue. Le vrai et le faux ne sont que des conventions décidées à la majorité relative du moment (qui changera au fur et à mesure du temps).

Comment espérer construire quelque chose de sain avec autant d'écueils. C'est comme donner pour mission à un aveugle de conduire une formule 1 sans sortir de la route. Tant que nous renierons le fait qu'il existe une Instance Suprême parfaite, alors nous ne ferons que naviguer dans le flou, dans le faux et nous courrons de désillusions en désillusions.

L'extérieur n'a pas d'importance, c'est notre intériorité qui doit évoluer. L'extérieur n'est qu'une représentation une illusion.
Seule ce qui se passe à l'intérieur de nous nous concerne. C'est une perte de temps que de vouloir changer le monde.
Change toi toi-même et le monde changera. Ca veut dire quoi ? Ca veut dire que nous sommes ce que nous créons, nous sommes ce que nous croyons. Ce sont nos croyances, nos convictions qui façonnent notre vie.
Le monde extérieur n'existe que parce que nous y croyons, ce qui fait que tout ce que nous ignorons n'existe pas.

Anaïs a écrit : L'extérieur n'a pas d'importance, c'est notre intériorité qui doit évoluer. L'extérieur n'est qu'une représentation une illusion.
Seule ce qui se passe à l'intérieur de nous nous concerne. C'est une perte de temps que de vouloir changer le monde.
Change toi toi-même et le monde changera. Ca veut dire quoi ? Ca veut dire que nous sommes ce que nous créons, nous sommes ce que nous croyons. Ce sont nos croyances, nos convictions qui façonnent notre vie.
Le monde extérieur n'existe que parce que nous y croyons, ce qui fait que tout ce que nous ignorons n'existe pas.

Notre intériorité sur quelles bases ? A partir de quelles références ?

Jiimmy a écrit :

Anaïs a écrit : L'extérieur n'a pas d'importance, c'est notre intériorité qui doit évoluer. L'extérieur n'est qu'une représentation une illusion.
Seule ce qui se passe à l'intérieur de nous nous concerne. C'est une perte de temps que de vouloir changer le monde.
Change toi toi-même et le monde changera. Ca veut dire quoi ? Ca veut dire que nous sommes ce que nous créons, nous sommes ce que nous croyons. Ce sont nos croyances, nos convictions qui façonnent notre vie.
Le monde extérieur n'existe que parce que nous y croyons, ce qui fait que tout ce que nous ignorons n'existe pas.

Notre intériorité sur quelles bases ? A partir de quelles références ?

Essaie de de voir à partir de ton propre ressenti au lieu de vouloir trouver des références à l'extérieur.
L'extérieur ne t'apportera jamais de satisfaction puisqu'elle t'empêchera toujours d'être en relation directe avec la réalité.

D'un autre côté, il n'est pas difficile de comprendre cette phrase évidente : "ce sont nos croyances qui façonnent notre vie"
Tu vois bien que ce que tu penses te fait prendre un chemin en relation avec cette pensée. Et que toute pensée est liée à nos croyances.
En face de toi tu as une personne qui a une idée complètement différente de toi sur un même sujet. Comment cela peut se faire ? La différence se trouve dans ce que nous connaissons. Si tu ne connais pas quelque chose, elle n'existe pas pour toi. Si tu n'as jamais vu la neige et que l'on ne t'en a jamais parlé, la neige n'existe pas pour toi. Elle est rayée complètement de ta vie.

A l'inverse une fois que nous connaissons quelque chose, nous ne pouvons plus jamais revenir en arrière. L'information est gravée et nous ne pourrons plus jamais nous nettoyer de cette information.

Nous créons notre vie en fonction de ce que nous croyons et de ce que nous connaissons. Il n'y a pas tellement de référence à donner pour illustrer ça. Ca me semble être une évidence..