Forum-Actualite.com • Débats Politiques

Moi je suis pour l'euthanasie je pense qu'on devrait avoir le droit de choisir quand on veut partir. Ma mère et décés il y a 1 ans,elle a beaucoup souffert pendant plus 3 ans a la fin elle en avait tellement marre qu'elle a refusé de se faire soigné et c'est laissé mourrir.

Je suis favorable à l'euthanasie
Je n'ai pas choisi le jour où je suis venu au monde mais, je veux(et non voudrais comme le suggére la politesse) partir ds de bonnes conditions et, garder ma liberté de choix si, le cas d'une grave maladie ou handicap, se présentais à moi.(que je subirais)

Ayant vu dans quel état sont morts certains membres âgés et malades de ma famille, je suis pour à 100 % pour l'euthanasie. Et même pour des plus jeunes qui la souhaiteraient suite à un grave accident laissant des séquelles irréversibles et qui feraient de leur vie un enfer.

La question est épineuse en deux points :

- D'une part, la décision d'euthanasie prise par la personne même est souvent le résultat d'une réflexion ayant lieu quand la personne est parfaitement valide. Il est en effet impossible de s'imaginer une situation de souffrance ou de handicap lourd de manière convaincante. Le risque d'erreur de jugement est donc énorme. Nombreux sont les témoignages de personnes heureuses malgré leur handicap, ou ayant survécu à une situation critique où il aurait pu être décidé d'une euthanasie. La vie ne tient qu'à un fil, elle est unique, et la souffrance en est une partie intégrante. La difficulté majeure de ce choix c'est son caractère irréversible. Tout comme il est impossible, a posteriori, de demander à un enfant avorté s'il aurait préféré vivre, il est impossible, a posteriori, de demander à une personne euthanasiée si elle regrette ce choix. Donc faites le choix qui vous semble le plus juste, mais si ce choix vous parait être une évidence, c'est que vous n'y avez probablement pas assez réfléchit.

- D'autre part, tuer et être tué n'est pas la même chose, et aujourd'hui il est demandé aux médecins, formés à sauver des vies, de mettre fin à certaines par choix du patient. La vie est unique et sacrée, et dans la décision d'euthanasie, il y a d'un côté la liberté de l'un de mettre fin à ses jours, mais aussi celle de l'autre de ne pas tuer son prochain. Il me parait indispensable de permettre à tout médecin de refuser d'euthanasier, et de laisser la tâche à un confrère que cela ne dérange pas.

Voilà ce que je pense de cette question. Actuellement je ne suis pas personnellement favorable à mon euthanasie, mais ce choix peut toujours évoluer au cours du temps.

De sages paroles auxquelles j'adhère.

Cruel dilemme auquel j'espère ne jamais être confrontée, surtout s'il s'agit de l'un des miens !...

Je ne sais plus.
J'ai un lourd secret. Même ma femme ne saura pas.

Vu que l'euthanasie peut être assimilée a la peine de mots pour les prisonniers par injection, car dans les deux cas le but est de faire souffrir le moins possible. Dans ce cas-là pourquoi les prisonnier y on droit est pas les autres ? je parle sur le plan mondial bien sur !

L'euthanasie c'est le respect de la vie comme de la mort non diaboliser
Enfermé un être vivant dans la souffrance c'est une violence en lui refusant la mort. Lui refusait la mort contrôler c'est la pire des condamnations à non assistance à personne en grande souffrance ce qui est franchement égoïste de ne pas respecter sa volonté

S'il pouvait maintenir juste une tête en vie suite à la perte du corps il le ferait plutôt que de respecter la volonté du patient de mourir ? l'euthanasie n'est pas uniquement une histoire de souffrance, mais de légume végétatif aussi. L'inconscience mérite t'il la mort du légume ? ça c'est relatif et ça ne dépend pas du légume

Legrand, c'est un forum pas un blog, ici on échange avec les autres intervenants au moyen du dialogue, le monologue ne sert qu'à grossir son compteur, mais peut-être justement que ce n'est que ton objectif ?

tisiphoné a écrit : Legrand, c'est un forum pas un blog, ici on échange avec les autres intervenants au moyen du dialogue, le monologue ne sert qu'à grossir son compteur, mais peut-être justement que ce n'est que ton objectif ?

Faut que je le disse à mon inspiration de tout mettre d'un coup dans un message ça marche ok est en deux message ça va aussi ?

legrand a écrit :

tisiphoné a écrit : Legrand, c'est un forum pas un blog, ici on échange avec les autres intervenants au moyen du dialogue, le monologue ne sert qu'à grossir son compteur, mais peut-être justement que ce n'est que ton objectif ?

Faut que je le disse à mon inspiration de tout mettre d'un coup dans un message ça marche ok est en deux message ça va aussi ?

vous avez la fonction "éditer" qui vous permet de rajouter un oubli, lorsque personne n'a posté derrière vous.

tisiphoné a écrit :

legrand a écrit :
Faut que je le disse à mon inspiration de tout mettre d'un coup dans un message ça marche ok est en deux message ça va aussi ?

vous avez la fonction "éditer" qui vous permet de rajouter un oubli, lorsque personne n'a posté derrière vous.

A bon ok

Les arguments de souffrance et d'état végétatif sont entendus, sont compréhensibles, mais la vie est unique, et quand on la perd, il est impossible de revenir en arrière. Parmi les personnes que j'ai eu l'occasion de côtoyer dans ma vie, j'ai eu plusieurs histoires graves, avec des personnes passées tout près de la mort, pour lesquels les médecins n'avaient aucun espoir. Si la décision d'euthanasie avait été prise, elles ne seraient pas là aujourd'hui.

Ce que les gens demandent, c'est le droit à la faiblesse, au contrôle, en dernier ressort face à l'adversité. C'est normal. C'est humain. Mais ne vous offusquez pas de voir des gens s'indigner contre l'euthanasie, car ils ont raison. La vie est imprévisible, et même les plus grands médecins peuvent se tromper, et toute la souffrance du monde n'est plus qu'un vague souvenir une fois la guérison obtenue. Alors oui vous pouvez exiger ce droit à la faiblesse, sachez juste que par cet acte, vous anéantissez cet espoir, si infime soit-il, que la guérison survienne.

haluck-horth a écrit : Les arguments de souffrance et d'état végétatif sont entendus, sont compréhensibles, mais la vie est unique, et quand on la perd, il est impossible de revenir en arrière. Parmi les personnes que j'ai eu l'occasion de côtoyer dans ma vie, j'ai eu plusieurs histoires graves, avec des personnes passées tout près de la mort, pour lesquels les médecins n'avaient aucun espoir. Si la décision d'euthanasie avait été prise, elles ne seraient pas là aujourd'hui.

Ce que les gens demandent, c'est le droit à la faiblesse, au contrôle, en dernier ressort face à l'adversité. C'est normal. C'est humain. Mais ne vous offusquez pas de voir des gens s'indigner contre l'euthanasie, car ils ont raison. La vie est imprévisible, et même les plus grands médecins peuvent se tromper, et toute la souffrance du monde n'est plus qu'un vague souvenir une fois la guérison obtenue. Alors oui vous pouvez exiger ce droit à la faiblesse, sachez juste que par cet acte, vous anéantissez cet espoir, si infime soit-il, que la guérison survienne.

Le suicide n'est pas forcement une faiblesse pour la psychanalyse, alors l'euthanasie l'est encore moins. Un faible d'esprit peut aussi avoir peur de la mort donc ça veut rien dire.