La misère, les réfugiés sont les signes extérieurs des despotismes, de la spoliation des richesses par 10% de l' "inhumanité", de la crise climatique, du non accès à l'éducation etc...
Ce ne sont pas les victimes qui doivent être pointées mais les responsables.
Et dans la guerre contre l'Ukraine et son peuple, le monstre a un nom, c'est Poutine.
Il faudra qu'il paie devant les tribunaux internationaux, pour la violation du droit international, des droits de l'homme, pour ses crimes de guerre. La CPI a ouvert une enquête sur des faits constitutifs de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité depuis ...2014 sur le territoire de l'Ukraine et en Crimée!
Une vaste enquête lancée depuis plusieurs années sur la période 2013/2014 jusqu'à cette guerre.
Le rapport de 2020, que cite le procureur, avait listé plusieurs faits susceptibles d’être qualifiés de crimes de guerre ou de crimes contre l’humanité.
- Il énonçait de nombreux soupçons d’exactions attribuées à Moscou : de la torture ou des exécutions sommaires menées suite à l’annexion de la Crimée et au début de la guerre dans le Donbass.
- Mais des actes attribués au camp ukrainien sont également mentionnés, comme l’incendie du bâtiment administratif d’Odessa où 40 pro russes sont morts en 2014.
- Sur les bombardements de civils, le rapport met en cause les deux belligérants : «Le conflit armé, qui implique l’usage répété d’armements militaires lourds par les deux camps […] a tué au moins 3 000 civils et blessé des milliers d’autres.»
Réclusion criminelle à perpétuité
Les crimes de guerre (article 8 du statut de Rome de la CPI) et les crimes contre l’humanité (article 7 du même texte), sont imprescriptibles. Catherine Le Bris, les définit ainsi : «Un crime de guerre est commis en cas de conflit armé, ce qui est le cas en ce moment avec un conflit international entre l’Ukraine et la Russie. Il s’agit de toutes les violations du droit de la guerre, du droit humanitaire, comme des conventions de Genève de 1949.» Les exactions contre les civils, la torture, le pillage, la maltraitance de prisonniers ou l’emploi de certaines armes interdites, entre autres, entrent dans cette catégorie.
Sur ces faits de crimes, j'éviterais contrairement à Poutine et à ses serviteurs ici, de désigner LE responsable. Le prétendu génocide cache la forêt , dont cette prison du Donbass qui torture comme seul le KGB sait le faire...
QUE LE Justice fasse son travail...jusqu'au bout