La Meurthe-et-Moselle devient le premier département à expérimenter un revenu jeunes

[papibilou]

Ah bah si, c'est TRES PRECISEMENT le sujet. Si tu étais cohérent et que tu souhaitais véritablement que les jeunes ne "tendent pas la main", ce qui peut être une philosophie de vie défendable, alors tu serais pour la suppression de tout héritage ou donation, qui est bien évidemment un assistanat autrement plus important qu'une misérable allocation qui ne permet pas de vivre.

Il y a quand même une légère différence: l'héritage ne vient pas de la communauté, cette allocation si.

[Mickey]

En fait il est surtout question d'inégalité entre larbins, si on prend l'exemple de l'apprentissage, l'un va toucher le minimum et l'autre 500 balles de plus par mois pour le même job. Rien de mieux pour créer la zizanie dans l'entreprise.
Ce qui ne veut pas dire pour autant que le jeune qui ne perçoit pas le "revenu jeune" est un fils à papa, mais tout simplement que les parents dépassent d'un euro le plafond fixé.
Encore une véritable usine à gaz, même si je comprend les motivations d'une telle mesure.

[Fonck1]

En fait il est surtout question d'inégalité entre larbins, si on prend l'exemple de l'apprentissage, l'un va toucher le minimum et l'autre 500 balles de plus par mois pour le même job. Rien de mieux pour créer la zizanie dans l'entreprise.

exemple?
parce que je ne sache, l’apprentissage et les salaires sont encadrés.

Ce qui ne veut pas dire pour autant que le jeune qui ne perçoit pas le "revenu jeune" est un fils à papa, mais tout simplement que les parents dépassent d'un euro le plafond fixé.
Encore une véritable usine à gaz, même si je comprend les motivations d'une telle mesure.

tu parles une fois de plus de ce que tu ne connais pas, parce que tu n'as pas lu le sujet :

A partir du 1ᵉʳ octobre, le département va expérimenter un « revenu d’émancipation jeunes » de 500 euros pour des personnes de 16 à 25 ans, ayant peu ou pas de revenus et n’étant pas éligibles aux autres aides.
Elle avait estimé en novembre que cela concernerait, dans un premier temps, environ 300 jeunes, principalement des personnes en « rupture familiale, en situation d’errance ou en période de transition ».

donc pas de plafond, juste des jeunes en difficulté.