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Tarare (Rhône ). Contrôlé positif au volant, malgré la suspension de son permis, un menuisier avait été condamné, en 2008, à cent jours-amende à 20 euros. Ne s’étant acquitté que d’un quart de sa dette, il vient de se voir confirmer, par la cour d’appel, 75 jours d’emprisonnement.

Mohammed Allag a été enterré avant-hier. Le 28 juillet, cet homme de 62 ans d’origine algérienne installé en France depuis de très nombreuses années s’est suicidé alors qu’il était incarcéré à la maison d’arrêt de Fresnes (Val-de-Marne) pour une question de permis de conduire.
Souffrant de problèmes cardiaques, il avait fréquenté l’hôpital pénitentiaire de la prison. Le lendemain de son suicide, une commission devait examiner sa demande de libération anticipée pour raison médicale. « Mon client n’a commis qu’une seule infraction, celle de conduire sans ceinture de sécurité. Or son état de santé ne lui permettait pas de le faire. Il avait besoin de soins et pas d’être enfermé. A bien des égards, il n’aurait jamais dû se trouver en détention », peste son avocat, Me Julien Gueguen-Carroll, qui défendait ses intérêts depuis peu.
Selon ses proches, Mohammed Allag était dans l’impossibilité de porter une ceinture de sécurité en raison de ses problèmes respiratoires. En possession d’un certificat d’invalidité, cet ancien commerçant qui partageait sa vie entre Saint-Lô (Manche) et Paris n’avait en revanche jamais fait les démarches pour obtenir le document l’exonérant du port de cette ceinture.

Dimanche, à 6H00 du matin, à Marseille, deux individus, après avoir fait la fête toute la nuit, ont volé des croissants sur le Vieux Port puis sont montés dans un taxi.

A la fin de la course, les deux comparses ont refusé de payer. Et pour bien le faire comprendre, ils ont exhibé une arme blanche et une bombe lacrymogène révèle La Provence.

Mais le chauffeur de taxi ne s'est pas démonté et a sorti un pistolet. Il a fait feu en l'air et les agresseurs ont pris la fuite.

Mais, chose étrange, ces derniers ont ensuite déposé plainte contre le chauffeur pour avoir sorti son arme et c'est donc la victime qui s'est retrouvé en garde à vue.

Crapulax a écrit : Les gendarmes ont interpellé deux jeunes soupçonnés d'avoir brisé à coup de pierre la vitre d'une fenêtre de la mosquée de Meximieux, vers 5 heures du matin.

Ils ont été identifiés par le numéro d'immatriculation de leur véhicule, que le gardien de la mosquée avait noté.

Il y a une semaine, le responsable de la mosquée avait déjà porté plainte pour dégradations.

Ils sont ou les indignés de l'injustice?

Crapulax a écrit : Les gendarmes ont interpellé deux jeunes soupçonnés d'avoir brisé à coup de pierre la vitre d'une fenêtre de la mosquée de Meximieux, vers 5 heures du matin.

Ils ont été identifiés par le numéro d'immatriculation de leur véhicule, que le gardien de la mosquée avait noté.

Il y a une semaine, le responsable de la mosquée avait déjà porté plainte pour dégradations.

Ils sont ou les indignés de l'injustice?

sanka a écrit : de suite, justice aveugle, non

la justice laisse libre les gars qui ont des entreprises, parce que les entreprises rapportent

les braqueurs, s ils volent de l argent, c est pour le depenser

et quand tu le depenses, y a toujours la TVA pour l etat !

la logique economique nous rend esclave, l argent est un dieu, nous devons nous prosterner. Ni plus, Ni moins

LOFOTEN a écrit : Ben là ..bravo pour l’interpellation.....travail de simple police (efficace...)..mais la suite ?? Décision de la JUSTICE ??

J'en reviens donc au début.Pourquoi dans tes exemples il ne s'agit jamais de Patrick,Michel,Christophe et j'en passe?On dirait,meme il est certain à la lecture des faits divers que les "orientations" de ces brèves ne visent que les meme

Lundi soir, vers 23 heures, un jeune homme de 20 ans a été accosté par cinq jeunes individus, dans le secteur de l'avenue Baudin à Limoges.

Ce groupe de jeunes mineurs composé de trois hommes et deux femmes a tenté de racketter le jeune homme. Mais la victime n'ayant aucun effet personnel sur elle, les cinq individus lui ont porté des coups et cassé ses lunettes. Un automobiliste, témoin des faits, est alors intervenu et a fait fuir les agresseurs avant de faire appel aux policiers.

Ces derniers sont arrivés immédiatement sur place et ont interpellé les cinq auteurs âgés entre 15 et 17 ans. Le visage tuméfié, la victime a porté plainte pour cette agression qui lui a occasionné une ITT inférieure à huit jours. Au cours de leur garde à vue, les cinq mineurs, domiciliés sur Limoges, ont reconnu partiellement les faits. Ils ont été déferrés hier matin au Parquet pour tentative de vol en réunion avec violences.