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Les quatre hommes interpellés dimanche matin à Vénissieux, soupçonnés d’avoir roué de coups un homme de 33 ans et de lui avoir pour deux d’entre eux roulé dessus en voiture la nuit précédente à Lyon, devraient être mis en examen mardi pour tentative d’homicide. Le pronostic vital de la victime, qui se trouve dans le coma, est toujours engagé.

Au moment de l’agression,a bord de leur voiture, ils avaient fait des réflexions déplacées à deux femmes qui se rendaient avec leurs compagnons en boîte de nuit. Ceux-ci avaient pris leur défense, mais avaient rapidement essuyé des coups.

Deux des agresseurs étaient alors remontés dans leur véhicule et avaient fait une première manœuvre en marche avant, heurtant l’un des deux hommes à la hanche. Puis ils avaient fait marche arrière et roulé sur l’autre homme. Les quatre, qui ont agi «délibérément» d’après les enquêteurs, étaient repartis en trombe à bord de la Clio.

Le numéro d'immatriculation du véhicule a permis de retrouver trois individus qui avaient,entre autre, commis ensemble un vol par effraction, deux âgés de 18 ans et un de 21 ans, le conducteur présumé, également connu pour d’autres faits. Interpellé au total à 17 reprises, il sortait de détention.

Fonck1 a écrit : ben ils vont passer un bon moment au chaud,notamment le récidiviste.
what else?

c'est la vie.....

véra a écrit : je viens d'écouter la radio et le gars est mort, c'est terrible!!! J'espère que ces salopards vont être punis comme il se doit, il faut supprimer les remises de peine pour les crimes odieux!!!!

sacamalix a écrit : Remarque froide et cynique, mais nécessaire à la rédaction d'une quelconque règle : comment qualifier de façon objective un crime d'odieux ?

véra a écrit :
allons!!! tu en es encore à ça? : qualifier? Il faut arrêter avec les remises de peine systématiques, les criminels doivent faire entièrement leur peine ...!

En France, les morts violentes (homicides, suicides, accidents) sont la première cause de mortalité chez les 15-34 ans. Les homicides en forment une toute petite minorité, loin derrière les accidents de la circulation, les suicides et à égalité avec les chutes (par exemple lors d'un accident du travail). Toutefois, le nombre annuel de décès par accident du travail est supérieur à celui des décès par homicide volontaire.

gemmill a écrit : la vie de mr tout-le-monde...
le probléme , c'est qu'aujourd'hui en france , la vie de Mr tout-le-monde est devenue synonime de danger de mort.

LOFOTEN a écrit : Ne me dis pas Bobby que ce sujet n'est pas a la une des médias lyonnais...et donc des habitants ....Ce n'est pas un" titre mensonger".

A titre perso je ne suis ni anxieux ni peureux...simplement un citoyen qui observe l'environnement ....et constate comme tout un chacun .

ca a toujours existé.la différence,c'est qu'aujourd'hui,on le voit +.

LOFOTEN a écrit : Cela voudrait il dire que les "anciens" étaient affublés de cécité chronique..???

LOFOTEN a écrit : Ne me dis pas Bobby que ce sujet n'est pas a la une des médias lyonnais...et donc des habitants ....Ce n'est pas un" titre mensonger".

A titre perso je ne suis ni anxieux ni peureux...simplement un citoyen qui observe l'environnement ....et constate comme tout un chacun .

En France, les morts violentes (homicides, suicides, accidents) sont la première cause de mortalité chez les 15-34 ans. Les homicides en forment une toute petite minorité, loin derrière les accidents de la circulation, les suicides et à égalité avec les chutes (par exemple lors d'un accident du travail). Toutefois, le nombre annuel de décès par accident du travail est supérieur à celui des décès par homicide volontaire.

La France dispose de statistiques sur le nombre d'homicides depuis le Premier Empire. La tendance longue est à la baisse. Ainsi, en 1936, le taux d'homicide était de 1,1 pour 100 000 habitants. En 1968, ce même taux était descendu à 0,8. En 2000, avec un taux de 0,7 pour 100 000, la France présentait un des plus faibles taux d'homicide au monde. Entre 1950 et 1980, le taux de mort par homicide est relativement stable en France. Chez les hommes, il connaît une brusque -et temporaire- augmentation entre 1956 et 1962 (mort des appelés du contingent durant la guerre d'Algérie). Depuis le début des années 1980, le taux de mortalité masculine par homicide est en légère baisse. Chez les femmes, cette baisse est plus marquée et débute elle aussi au début des années 1980.