Plaintes pour viols dans une maison de retraite.
Posté : 17 février 2012 10:26
Interpellé mercredi en début d'après-midi, un homme de 53 ans a été mis en examen pour viols et écroué hier. À l'issue de sa garde à vue, il a été présenté au parquet de Bordeaux qui a ouvert une information judiciaire.
Cette décision fait suite aux plaintes déposées par deux pensionnaires de la résidence pour personnes âges Saint-Antoine-de-Padoue, située avenue Saint-Dominique, dans le quartier du Mouleau, entre Arcachon et Le Pyla.
La première plainte serait intervenue le 8 février dernier. Une femme de 66 ans, hémiplégique, aurait subi une agression à caractère sexuelle, impliquant notamment une fellation forcée.
Empreinte génétique
Des prélèvements effectués dans sa chambre, en particulier une trace identifiée comme étant du sperme, ont conduit les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Arcachon jusqu'à un employé de l'établissement. Un aide-soignant de 53 ans, dont le profil est apparu après analyse de cette trace et introduction des données dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg).
Une deuxième victime
Une seconde pensionnaire du luxueux établissement, âgée de 69 ans, s'est présentée au commissariat après l'interpellation de l'aide-soignant. Elle a affirmé aux policiers avoir subi le même type d'agression.
L'homme mis en examen et écroué bénéficie toutefois, à ce stade de la procédure à son encontre, de la présomption d'innocence.
Source:Sud-Ouest.
Cette décision fait suite aux plaintes déposées par deux pensionnaires de la résidence pour personnes âges Saint-Antoine-de-Padoue, située avenue Saint-Dominique, dans le quartier du Mouleau, entre Arcachon et Le Pyla.
La première plainte serait intervenue le 8 février dernier. Une femme de 66 ans, hémiplégique, aurait subi une agression à caractère sexuelle, impliquant notamment une fellation forcée.
Empreinte génétique
Des prélèvements effectués dans sa chambre, en particulier une trace identifiée comme étant du sperme, ont conduit les enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine du commissariat d'Arcachon jusqu'à un employé de l'établissement. Un aide-soignant de 53 ans, dont le profil est apparu après analyse de cette trace et introduction des données dans le fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg).
Une deuxième victime
Une seconde pensionnaire du luxueux établissement, âgée de 69 ans, s'est présentée au commissariat après l'interpellation de l'aide-soignant. Elle a affirmé aux policiers avoir subi le même type d'agression.
L'homme mis en examen et écroué bénéficie toutefois, à ce stade de la procédure à son encontre, de la présomption d'innocence.
Source:Sud-Ouest.