Les terribles révélations d’Africains recrutés pour des emplois en Russie
Posté : 16 octobre 2024 16:27
"Les terribles révélations d’Africains recrutés pour des emplois en Russie
Les publicités sur les réseaux sociaux promettaient aux jeunes femmes africaines un billet d’avion gratuit, de l’argent et une aventure lointaine en Europe. Il leur suffisait de compléter un jeu informatique et de passer un test de vocabulaire russe de 100 mots.
Mais au lieu de suivre un programme d’études-travail dans des domaines comme l’hôtellerie et la restauration, certains d’entre eux ont appris seulement après leur arrivée dans les steppes de la région russe du Tatarstan qu’ils travailleraient dur dans une usine de fabrication d’armes de guerre, assemblant des milliers de drones d’attaque de conception iranienne destinés à être lancés sur l’Ukraine.
Dans des interviews accordées à l’Associated Press, certaines femmes se sont plaintes de longues heures passées sous surveillance constante, de promesses non tenues concernant leurs salaires et leurs domaines d’études, et de travailler avec des produits chimiques caustiques qui laissaient leur peau marquée de variole et de démangeaisons.
Pour pallier à la pénurie de main d’oeuvre dans la Russie en guerre, le Kremlin recrute des femmes âgées de 18 à 22 ans en Ouganda, au Rwanda, au Kenya, au Soudan du Sud, en Sierra Leone et au Nigeria, ainsi qu’au Sri Lanka, pays d’Asie du Sud. Cette campagne s’étend à d’autres pays d’Asie ainsi qu’en Amérique latine.
Cela a placé une partie de la production d’armes clés de Moscou entre les mains inexpérimentées d’environ 200 femmes africaines qui travaillent aux côtés d’étudiants professionnels russes âgés d’à peine 16 ans dans l’usine de la zone économique spéciale d’Alabuga au Tatarstan, à environ 1 000 kilomètres à l’est de Moscou, selon une enquête de l’AP sur le complexe industriel.
« Je ne sais pas vraiment comment fabriquer des drones », a déclaré une femme africaine qui avait abandonné son emploi dans son pays pour accepter l’offre russe."
Au vu de la longueur de l'article, vous retrouverez la suite dans le lien ci-dessous.
https://www.afrikmag.com/terribles-reve ... en-russie/
Les africains découvrent l'enfer du décor une fois en Russie. Ils vont finir par regretter de s'être allier avec un dictateur.
L'alliance de la Russie avec certains pays africains a bien pour but de servir uniquement ses propres intérêts en étalant sa propagande pour mieux s'approprier les richesses de ces pays et le vider de ses habitants en leur vendant du rêve.
Les publicités sur les réseaux sociaux promettaient aux jeunes femmes africaines un billet d’avion gratuit, de l’argent et une aventure lointaine en Europe. Il leur suffisait de compléter un jeu informatique et de passer un test de vocabulaire russe de 100 mots.
Mais au lieu de suivre un programme d’études-travail dans des domaines comme l’hôtellerie et la restauration, certains d’entre eux ont appris seulement après leur arrivée dans les steppes de la région russe du Tatarstan qu’ils travailleraient dur dans une usine de fabrication d’armes de guerre, assemblant des milliers de drones d’attaque de conception iranienne destinés à être lancés sur l’Ukraine.
Dans des interviews accordées à l’Associated Press, certaines femmes se sont plaintes de longues heures passées sous surveillance constante, de promesses non tenues concernant leurs salaires et leurs domaines d’études, et de travailler avec des produits chimiques caustiques qui laissaient leur peau marquée de variole et de démangeaisons.
Pour pallier à la pénurie de main d’oeuvre dans la Russie en guerre, le Kremlin recrute des femmes âgées de 18 à 22 ans en Ouganda, au Rwanda, au Kenya, au Soudan du Sud, en Sierra Leone et au Nigeria, ainsi qu’au Sri Lanka, pays d’Asie du Sud. Cette campagne s’étend à d’autres pays d’Asie ainsi qu’en Amérique latine.
Cela a placé une partie de la production d’armes clés de Moscou entre les mains inexpérimentées d’environ 200 femmes africaines qui travaillent aux côtés d’étudiants professionnels russes âgés d’à peine 16 ans dans l’usine de la zone économique spéciale d’Alabuga au Tatarstan, à environ 1 000 kilomètres à l’est de Moscou, selon une enquête de l’AP sur le complexe industriel.
« Je ne sais pas vraiment comment fabriquer des drones », a déclaré une femme africaine qui avait abandonné son emploi dans son pays pour accepter l’offre russe."
Au vu de la longueur de l'article, vous retrouverez la suite dans le lien ci-dessous.
https://www.afrikmag.com/terribles-reve ... en-russie/
Les africains découvrent l'enfer du décor une fois en Russie. Ils vont finir par regretter de s'être allier avec un dictateur.
L'alliance de la Russie avec certains pays africains a bien pour but de servir uniquement ses propres intérêts en étalant sa propagande pour mieux s'approprier les richesses de ces pays et le vider de ses habitants en leur vendant du rêve.