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*********respecter les patronymes des personnes publiques ********félicite gros minet.

Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Le Trump de la Riviera
Cela ne faisait plus aucun doute au vu des dépouillements encore en cours, mais cela n’était pas encore officiel. Et alors ? Il était 8h18 ce mercredi quand Eric Ciotti a revendiqué la victoire de Trump avant Trump lui-même. «Félicitations à Trump, nouveau président des Etats-Unis», a ainsi tweeté le député des Alpes-Maritimes et allié de Marine Le Pen. Et le Niçois, à l’instar de Nadine Morano ou Eric Zemmour, de se réjouir sans retenue tout en s’imaginant un destin similaire à celui de l’homme qui a érigé les fake news, les outrances, le racisme, la masculinité toxique et les menaces contre la démocratie en méthode politique : «Magnifique victoire du peuple américain contre un système. Un espoir pour la paix, une défaite des wokistes. Un chemin pour les droites en France comme en Europe. Jusqu’à la victoire.» Le président de l’UDR s’est même fendu d’un communiqué encore plus enthousiaste, soulignant : «Ciotti fut l’un des rares responsables politiques français à avoir officiellement soutenu Trump et l’UDR a constamment affirmé son soutien au Parti républicain tout au long de cette élection.» Ça fait rêver.

Les temps changent
Premier chef d’Etat à féliciter Trump pour son élection, Emmanuel Macron l’a fait juste après le speech de victoire du milliardaire ce mercredi. «Prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années, écrit le président français sur X. Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité.» On notera tout juste une légère prise de distance dans ce «avec vos convictions et avec les miennes», bien peu offensif malgré la richesse du langage diplomatique permettant de signifier le fond de sa pensée tout en affichant l’inverse. En 2016, la réaction de François Hollande à la première élection de Trump était bien différente. Dans une allocution glaciale à l’Elysée, le chef de l’Etat français d’alors félicitait protocolairement son nouvel homologue du bout des lèvres, ayant immédiatement «une pensée pour Hillary Clinton», qu’il avait ardemment soutenue durant la campagne face à la «tentation autoritaire» et aux «excès» de son adversaire. «Cette élection ouvre une période d’incertitudes, je dois l’aborder avec lucidité et clarté. […] Ce qui est en jeu, c’est la paix, c’est la lutte contre le terrorisme, c’est la situation au Moyen-Orient, ce sont les relations économiques et c’est la préservation de la planète», avait alerté Hollande, promettant «vigilance et franchise» dans les discussions à venir, «car certaines positions prises par Trump durant la campagne doivent être confrontées aux valeurs et aux intérêts que nous partageons avec les Etats-Unis». Deux époques, deux ambiances.

https://www.liberation.fr/politique/eri ... directed=1

Que voulez-vous, Eric Ciotti soutient un homme ayant de nombreux points communs avec le RN : le mensonge, la propagande, l'hypocrisie, le machisme, le racisme, les intérêts personnels, etc. Qui se ressemble s'assemble.

Le titre de ce fil est stupide.

Corvo a écrit : ↑06 novembre 2024 13:40 ******************


Indiscrétions piquantes, maladresses vaches ou douces confessions : chaque jour, retrouvez les brèves qui auscultent le monde politique.

Le Trump de la Riviera
Cela ne faisait plus aucun doute au vu des dépouillements encore en cours, mais cela n’était pas encore officiel. Et alors ? Il était 8h18 ce mercredi quand Eric Ciotti a revendiqué la victoire de Trump avant Trump lui-même. «Félicitations à Trump, nouveau président des Etats-Unis», a ainsi tweeté le député des Alpes-Maritimes et allié de Marine Le Pen. Et le Niçois, à l’instar de Nadine Morano ou Eric Zemmour, de se réjouir sans retenue tout en s’imaginant un destin similaire à celui de l’homme qui a érigé les fake news, les outrances, le racisme, la masculinité toxique et les menaces contre la démocratie en méthode politique : «Magnifique victoire du peuple américain contre un système. Un espoir pour la paix, une défaite des wokistes. Un chemin pour les droites en France comme en Europe. Jusqu’à la victoire.» Le président de l’UDR s’est même fendu d’un communiqué encore plus enthousiaste, soulignant : «Ciotti fut l’un des rares responsables politiques français à avoir officiellement soutenu Trump et l’UDR a constamment affirmé son soutien au Parti républicain tout au long de cette élection.» Ça fait rêver.

Les temps changent
Premier chef d’Etat à féliciter Trump pour son élection, Emmanuel Macron l’a fait juste après le speech de victoire du milliardaire ce mercredi. «Prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années, écrit le président français sur X. Avec vos convictions et avec les miennes. Avec respect et ambition. Pour plus de paix et de prospérité.» On notera tout juste une légère prise de distance dans ce «avec vos convictions et avec les miennes», bien peu offensif malgré la richesse du langage diplomatique permettant de signifier le fond de sa pensée tout en affichant l’inverse. En 2016, la réaction de François Hollande à la première élection de Trump était bien différente. Dans une allocution glaciale à l’Elysée, le chef de l’Etat français d’alors félicitait protocolairement son nouvel homologue du bout des lèvres, ayant immédiatement «une pensée pour Hillary Clinton», qu’il avait ardemment soutenue durant la campagne face à la «tentation autoritaire» et aux «excès» de son adversaire. «Cette élection ouvre une période d’incertitudes, je dois l’aborder avec lucidité et clarté. […] Ce qui est en jeu, c’est la paix, c’est la lutte contre le terrorisme, c’est la situation au Moyen-Orient, ce sont les relations économiques et c’est la préservation de la planète», avait alerté Hollande, promettant «vigilance et franchise» dans les discussions à venir, «car certaines positions prises par Trump durant la campagne doivent être confrontées aux valeurs et aux intérêts que nous partageons avec les Etats-Unis». Deux époques, deux ambiances.

https://www.liberation.fr/politique/eri ... directed=1

Il ne se rêve pas en Donald Trump, car il sait bien qu'il n'a pas le même charisme. Il a simplement de la sympathie pour Trump, ni plus ni moins.

Patchouli38 a écrit : ↑06 novembre 2024 13:49 Que voulez-vous, Eric Ciotti soutient un homme ayant de nombreux points communs avec le RN : le mensonge, la propagande, l'hypocrisie, le machisme, le racisme, les intérêts personnels, etc. Qui se ressemble s'assemble.

Et le conspirationnisme. Ne pas oublier ce symptôme courant à l'extrême droite.

Ciotti va disparaître en 2027 définitivement.
il va tout essayer d'ici là, mais sa tombe est déjà creusée.

gare au gorille a écrit : ↑06 novembre 2024 14:08 Le titre de ce fil est stupide.

Et bien allez vous plaindre auprès de l'auteur de l'article. Sinon je connais un titre non pas de fil mais de "livre" encore plus stupide : "Ce que je cherche".

Corvo a écrit : ↑06 novembre 2024 19:48

gare au gorille a écrit : ↑06 novembre 2024 14:08 Le titre de ce fil est stupide.

Et bien allez vous plaindre auprès de l'auteur de l'article. Sinon je connais un titre non pas de fil mais de "livre" encore plus stupide : "Ce que je cherche".

Chercher est toujours un reflexe intelligent alors que se permettre de décréter ce que devrait penser ou rêver une personne est d'une prétention stupide. En plus c'est complètement à coté de la plaque, Ciotti a déjà fait savoir que son rêve serait tout simplement de conquérir la mairie de Nice.
On est loin des ambitions d'un Donald Trump français.

Ciotti est un odieux personnage. De Trump, il lui manque la crinière, l'éloquence, l'humour, la taille, la fortune, les femmes, le parti et sans doute quelque chose dans le pantalon.

LeGrandNoir a écrit : ↑06 novembre 2024 21:53 Ciotti est un odieux personnage. De Trump, il lui manque la crinière, l'éloquence, l'humour, la taille, la fortune, les femmes, le parti et sans doute quelque chose dans le pantalon.

Boff, Ciotti n'est en rien un odieux personnage, il a parfaitement l'éloquence et l'humour et a prouvé en rejoignant le RN qu'il avait des convictions et tout ce qu'il fallait dans le pantalon. Par contre il n'a pas la carrure d'un Trump, ni l'ambition, juste le désir très fort de piquer la mairie de Nice à Estrosi.

gare au gorille a écrit : ↑07 novembre 2024 01:33

LeGrandNoir a écrit : ↑06 novembre 2024 21:53 Ciotti est un odieux personnage. De Trump, il lui manque la crinière, l'éloquence, l'humour, la taille, la fortune, les femmes, le parti et sans doute quelque chose dans le pantalon.

Boff, Ciotti n'est en rien un odieux personnage, il a parfaitement l'éloquence et l'humour et a prouvé en rejoignant le RN qu'il avait des convictions et tout ce qu'il fallait dans le pantalon. Par contre il n'a pas la carrure d'un Trump, ni l'ambition, juste le désir très fort de piquer la mairie de Nice à Estrosi.

"Le petit chose" à l'âme d'un traitre se rêvait sous les ordres de Bardella devenu premier ministre...ministre de l'intérieur sauf que pas de chance pour eux deux le RN a été battu et lui se retrouve président d'un groupe qui ne pèse lui...pas "grand chose".

gare au gorille a écrit : ↑07 novembre 2024 01:33

LeGrandNoir a écrit : ↑06 novembre 2024 21:53 Ciotti est un odieux personnage. De Trump, il lui manque la crinière, l'éloquence, l'humour, la taille, la fortune, les femmes, le parti et sans doute quelque chose dans le pantalon.

Boff, Ciotti n'est en rien un odieux personnage, il a parfaitement l'éloquence et l'humour et a prouvé en rejoignant le RN qu'il avait des convictions et tout ce qu'il fallait dans le pantalon. Par contre il n'a pas la carrure d'un Trump, ni l'ambition, juste le désir très fort de piquer la mairie de Nice à Estrosi.

quel programme

Corvo a écrit : ↑07 novembre 2024 06:53

gare au gorille a écrit : ↑07 novembre 2024 01:33


Boff, Ciotti n'est en rien un odieux personnage, il a parfaitement l'éloquence et l'humour et a prouvé en rejoignant le RN qu'il avait des convictions et tout ce qu'il fallait dans le pantalon. Par contre il n'a pas la carrure d'un Trump, ni l'ambition, juste le désir très fort de piquer la mairie de Nice à Estrosi.

"Le petit chose" à l'âme d'un traitre se rêvait sous les ordres de Bardella devenu premier ministre...ministre de l'intérieur sauf que pas de chance pour eux deux le RN a été battu et lui se retrouve président d'un groupe qui ne pèse lui...pas "grand chose".

Ciotti n'a trahi personne, il est simplement allé au bout de ses convictions et s'il a rejoint le RN c'est tout simplement parce que ses électeurs Niçois menaçaient de ne plus voter LR mais RN. Il n'a pas rejoint le RN en espérant un poste de ministre mais tout simplement pour continuer à être un député actif dans son département. Et encore une fois ses ambitions se limitent à prendre la marie de Nice. Ciotti a un ancrage local et une forte rivalité avec son ennemi juré qui est Estrosi l'actuel maire de Nice.

Tu expliques toi-même qu'il a trahi les LR pour garder son poste de député tout en disant qu'il n'a trahi personne.

Joli déni.

Quand à ses ambitions, si c'était juste la mairie de Nice il ne ferait pas en permanence le tour des médias nationaux. Et pourquoi, dans ce cas, prendre un mandat de député qu'il ne pourra pas cumuler avec le poste de maire dans deux ans au lieu de se trouver un CDD dans le privé ?

Mesoke a écrit : ↑07 novembre 2024 20:30 Tu expliques toi-même qu'il a trahi les LR pour garder son poste de député tout en disant qu'il n'a trahi personne.

Joli déni.

Quand à ses ambitions, si c'était juste la mairie de Nice il ne ferait pas en permanence le tour des médias nationaux. Et pourquoi, dans ce cas, prendre un mandat de député qu'il ne pourra pas cumuler avec le poste de maire dans deux ans au lieu de se trouver un CDD dans le privé ?

Ciotti n'a trahi personne. Son positionnement sur l'immigration, sur la sécurité qui est liée ne date pas d'aujourd'hui. Il a été élu président de son parti sur ces prises de positions qui sont celles du RN et ce sont ses électeurs qui l'ont poussé à se joindre au RN pour un même combat.
D'ailleurs il a été réélu à son poste de député même après s'être rapproché de Bardella.
Mais c'est un enfant de Nice et je sais que la mairie est quelque chose qui lui tient à coeur.