Il était une fois....

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Crapulax
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Re: Il était une fois....

Message par Crapulax » 05 mai 2023 12:49

............Il était une fois.........La "fin de la belle vie" pour les influenceurs:

...............................................«C'est la crise»: Les influenceurs à la recherche de nouvelles sources de revenus.

Avec la chute des placements de produit,le business model des influenceurs s'effondre...Pour compenser cette perte de revenu,les stars des réseaux sociaux misent sur les prestations en boîte de nuit et sur la vente de photos de charme.
Combinaison de ski Dior pour ses vacances à Courchevel,acquisition d'une propriété à Dubaï, bolide rutilant pour se rendre en soirée, etc.Maeva Ghennam,influenceuse,exhibe son quotidien de luxe à ses trois millions d'abonnés sur Instagram.

Pendant dix ans, les likes et les abonnés s'enchaînent au même rythme que les partenariats de marque. À coups de stories hautement rémunérées, la star du petit écran se transforme en vitrine publicitaire pour ses millions d'abonnés. Et l'argent coule à flots. Un véritable conte de fées... du moins en apparence.

Selon plusieurs experts du secteur, l'ancienne candidate de téléréalité a vu ses revenus divisés par dix.

Comme Maeva Ghennam, les influenceurs ont connu le succès - et les millions - en quelques clics. Mais depuis un an, les paillettes ont laissé place aux arnaques, formations douteuses et autres produits dangereux pour la santé. La loi pour réguler le secteur, examinée par le Sénat, donne le coup de grâce.

La grande époque des partenariats est terminée. «C'est la fin d'un modèle»,tranche Jeff Lang,Youtubeur spécialisé dans la téléréalité.«En vendant tout et n'importe quoi, les influenceurs ont définitivement terni leur image et perdu la confiance de leurs abonnés.»

Les partenariats ne font plus vendre et les annonceurs revoient les salaires à la baisse. Cindy Reymond s'est lancée dans l'influence en 2020. À l’époque, les placements de produits atteignent des sommets. La mère de famille obtient 2 000 euros pour un post Instagram. «Maintenant, c'est la crise. Le chèque ne dépasse pas les 500 euros», déplore-t-elle.

«Pourtant, ma communauté est bien plus grande qu'avant.» D'autres stars d'Instagram, dotées de communautés de plusieurs millions d'abonnés, ont vu leur rémunération passer de 400 000 euros par mois à 40 000 euros, selon nos informations. Des sommes qui paraissent encore extravagantes...

Le booking,un retour en arrière:

Faute de revenus, «les influenceurs sont obligés de se réinventer», analyse Nisrine Boussarhane, consultante influence pour l'agence OTTA. «Ils recherchent de nouvelles sources de revenu... ou recyclent d'anciennes pratiques.»

Depuis plusieurs mois, beaucoup de stars du petit écran renouent avec les «bookings», ces apparitions en boîte de nuit contre rémunération. Dans une publication sur Instagram, Jazz Correira (4 millions d'abonnés) propose sa présence dans des discothèques en France. Tendance similaire chez Julien et Manon Tanti. Une vidéo les montre au VIP Ice à Saint-Savin, près de Lyon, le 10 mars.

«Il reste encore des trous dans le planning. Si vous êtes un restaurant, un coiffeur, un bowling, un karting, peu importe, n'hésitez pas !», chantonne la star aux trois millions de fans dans une vidéo sur Instagram.

«Depuis leur starification,les candidats trouvaient ça dégradant de se montrer en boîte»,relate Varruecos,blogueur spécialisé dans la téléréalité.«Ce retour en arrière,c'est une humiliation pour beaucoup d'influenceurs.Mais ils n'ont plus le choix s'ils veulent maintenir leur train de vie»,grince l'expert.

Après une pause de plusieurs mois - pour laisser derrière lui les scandales - Simon Castaldi a repris le booking. En octobre, le jeune homme de 23 ans animait une soirée au What's, à Caen. Il y a quelques semaines, le candidat a été aperçu enfilant un costume de mascotte lors d'une fête pour enfants. Les palmiers de Dubaï et les sacs de luxe paraissent bien loin.

Simon Castaldi facture entre 1 000 et 1 500 euros la prestation, en fonction de la durée. «C'est la moyenne, surtout avec la crise actuelle», se justifie-t-il. Car les montants réclamés par les influenceurs flambent. «Les cachets peuvent monter à 6 000 euros pour une soirée. Il y a dix ans, c'était 500 euros», chiffre le blogueur Varruecos. Mais proposer ses services sur les réseaux sociaux est loin d'être suffisant.

«Encore faut-il que des établissements soient prêts à les accueillir», rappelle l'expert. Car les influenceurs n'ont plus la même notoriété qu'il y a dix ans. Deux mois après sa publication sur Instagram, Jazz Correira n'a encore signé aucun contrat de booking.

100 000 euros par mois sur MYM:

Face à ce constat, certains influenceurs se tournent vers des solutions plus lucratifs pour arrondir leur fin de mois et créent des comptes sur Mym ou Only Fans. Moyennant un abonnement d'une dizaine d'euros, les internautes ont accès à des clichés privés souvent érotiques, et parfois pornographiques. Un business qui rapporte gros.

«Les montants atteignent rapidement 30 000 euros après quelques mois de présence», souligne JeffLang2Vip. Pour les plus connus, les sommes s'envolent. «Rien que le mois dernier, j'ai gagné plus de 100 000 euros sur la plateforme», avoue à demi-mot une candidate.

Sur MYM ou Onlyfans, l'abonnement n'est pas la seule source de revenu des créateurs. Les abonnés peuvent demander des photos et des vidéos exclusives contre de l'argent.

«On mise beaucoup sur les demandes de contenus privés », fait remarquer Amandine Pellissard. La mère de famille s'est lancée dans l'influence en 2020, après l'émission Familles nombreuses. Elle le reconnaît volontiers : «Mes revenus en avaient pris un coup ces derniers temps. Mais avec MYM, on gagne très très bien notre vie avec mon mari.»

Depuis décembre, les photos et vidéos sulfureuses du couple s'arrachent. Les prix varient d'une cinquantaine d'euros à 150 euros, selon la demande et la durée de la prestation. «Un abonné a déjà dépensé 2 000 euros en un week-end !», s'exclame la mère de famille.

Depuis sa reconversion, Amandine Pellisard a abandonné les émissions télé et les placements de produit. L'influenceuse envisage d'investir dans un studio pour filmer ses contenus de charme. «C'est le meilleur choix de notre vie », insiste-t-elle. Et surtout le plus lucratif.
Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/medias/c-est-la ... s-20230505
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Il était une fois....

Message par Crapulax » 05 mai 2023 12:56

............Il était une fois...La "place" des transgenres dans le cyclisme professionnel:

............................................Cyclisme: L'UCI annonce rouvrir consultation sur la place des athlètes transgenres.

Après la controverse liée à la victoire de la femme transgenre Austin Killips sur le Tour de Gila au Nouveau-Mexique,l'instance internationale a annoncé vouloir «analyser la situation actuelle».
Le débat est relancé.....

Dimanche dernier, Austin Killips a remporté le classement général du Tour de Gila au Nouveau-Mexique,devenant ainsi la première athlète transgenre à remporter une course cycliste par étapes.Une victoire qui a suscité la controverse dans le milieu du cyclisme féminin.Inga Thompson,triple championne des États-Unis sur route à la fin des années 1980 et au début des années 1990,a par exemple affirmé que laisser les athlètes transgenres participer à des compétitions réservées aux femmes était «de fait, en train de tuer le cyclisme féminin».

De son côté, l'ex-vététiste canadienne Alison Sydor, triple championne du Monde de cross-country dans les années 1990 et médaillée d'argent en cross-country aux Jeux Olympiques d'Atlanta (1994),assure que le fait d'avoir fait sa puberté en tant qu'homme «n'est pas différent du dopage».

Pour faire face à ce qu'elle appelle des «inquiétudes»,l'UCI a décidé d'agir.

Une décision prise au mois d'août?

Comme l'ont révélé Associated Press et The Guardian, l'instance internationale de la Petite Reine a décidé de rouvrir des discussions avec les coureuses et les fédérations nationales sur la place des athlètes transgenres. Elle espère pouvoir présenter ses conclusions au mois d'août.

«L'objectif de l'UCI demeure le même : prendre en considération, dans le contexte de l'évolution de notre société, le désir des athlètes transgenres de pratiquer le cyclisme, a-t-elle expliqué. L'UCI entend aussi les voix des athlètes féminines qui s'inquiètent de l'importance de courir à forces égales et nous allons tenir compte de tous les éléments, y compris l'évolution des connaissances scientifiques.»

Pour rappel, l'UCI a récemment durci ses règles concernant la participation des athlètes transgenres aux compétitions réservées aux femmes en abaissant le taux de testostérone autorisé. Insuffisant pour le peloton féminin.

En effet, d'après The Telegraph, l'an dernier, l'ex-cycliste française Marion Clignet aurait présenté à l'UCI une enquête montrant que plus de 90% des coureuses ne souhaitaient pas que les athlètes transgenres puissent prendre part aux épreuves féminines.
Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/sports/cyclisme ... s-20230505
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Re: Il était une fois....

Message par Crapulax » 10 octobre 2023 13:30

Il était une fois.."Un crapaud aimait une princesse"...C'est un titre de LV 88...Un excellent petit conte... zinzin
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