vivarais a écrit : ↑16 janvier 2023 08:02mais pour lui il n'y a pas d'age buttoir pour la retraite , il pourra la prendre des la fin de son second mandat
mais elle ne sera que que de cent milles euros par an avec voiture et chauffeur de fonction
par contre entendu matin sur LCI à l'affirmation 25 % des salariés meurent avant 62 ans
rectificatif apporté par le gouvernement
faux c 'est seulement 25 % des salariés les plus pauvres qui meurent avec 62 ans
mais ce sont quand meme des gens qui ont bénéficié toute leur vie des aides sociales cela justifie qu'ils aient cotisé pour rien pour la retraite
il faut quand meme le dire
si vous mourrez avant d'avoir la retraite quelle importance vu que vous avez bénéficié des aides sociales
on voit le cynisme de ces gens là pour ceux que hollande appelait "les sans dents"
avec macron et le zéro à charge pour les frais dentaires , ils auront la consolation de mourir avec un dentier
Alors, précisions : c'est LFI qui a lancé cette affirmation qui s'est révélée vraie. Sauf que par la suite, Vivarais ne connaissant pas les raisons de cette mort prématurée des salariés les plus pauvres et, au lieu de prendre le temps de se renseigner, préfère balancer des sornettes.
"Si l’espérance de vie n’a cessé de s’accroître en France avec les années, les inégalités sociales face à la mort se maintiennent. Sans surprise, les professions exercées expliquent toujours ces écarts mais pas seulement, observe Catherine Sofer, professeure spécialiste d’économie du travail à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. « D’une part, les cadres sont moins exposés aux accidents, aux maladies ou aux produits chimiques que les ouvriers. D’autre part, les classes les plus favorisées disposent d’une meilleure hygiène de vie. Cela passe par la pratique plus régulière d’un sport, une alimentation de meilleure qualité, un tabagisme moins répandu… », rappelle l’universitaire.
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L’accès aux soins diffère également d’un milieu à l’autre. « Les classes populaires vont traditionnellement moins chez le médecin. Au contraire, elles vont valoriser la résistance du corps. Surtout, prendre rendez-vous chez un spécialiste peut s’avérer plus compliqué aussi bien d’un point de vue financier - avec des dépassements d’honoraires qui ne sont pas pris en charge par la Sécurité sociale - que d’un point de vue pratique, au vu de l’importance des déserts médicaux dans les zones rurales », complète Constance Perrin-Joly, maîtresse de conférences en sociologie à l’Université Paris 13."
https://www.leparisien.fr/economie/refo ... CVAWQI.php
Alors, au lieu de vous conforter dans votre ignorance à deux balles, ayez la curiosité d'aller voir plus loin que le bout de votre nez, même s'il est long.